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Rien de nouveau sous le soleil : les propos d’un jeune Belge il y a 45 ans
Je m’étonne que Paul Jorion n’intervienne pas, avec notamment son article passé sur la conscience ‘a posteriori’ qui m’avait fort…
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Rien de nouveau sous le soleil : les propos d’un jeune Belge il y a 45 ans
35 réponses à “Rien de nouveau sous le soleil : les propos d’un jeune Belge il y a 45 ans”
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Un peu désespérant, non ?
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Effrayant, le diagnostic est toujours le même 45 ans plus tard !
Nous sommes vraiment de mauvais médecins de la politique (« nous » = nos professionnels attitrés). Nous nous obstinons à gérer les symptômes sans analyser les causes profondes, volontairement pour certains qui en connaissent les rouages, les mécanismes et qui en tirent des intérêts, « les marrons hors du feu ». C’est la meilleure manière d’alimenter ou de pérenniser le système, de maintenir le malade en vie tant qu’il continue de consommer ses médicaments (qui limitent ses symptômes et le maintiennent en vie mais malade) jusqu’au dernier souffle.
Et pourtant, des traitements existent, proposés sur ce blog ou ailleurs; mais aussi longtemps que nous serons considérés comme spectateurs…plus le traitement sera « de choc ».-
Nous nous obstinons à gérer les symptômes sans analyser les causes profondes, volontairement pour certains qui en connaissent les rouages, les mécanismes et qui en tirent des intérêts, « les marrons hors du feu ».
Diagnostic pertinent.
« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » BOSSUET
S’attaquer aux causes, cela demande un réel courage et de réels efforts. Or sur ces deux
plans, notre espèce n’est pas très bien dotée. Notre pente naturelle est plutôt celle du moindre effort, et de la lâcheté. Donc je crains que dans 45 ans, certains n’écoutent les critiques qui sont faites aujourd’hui, mais n’aient à déplorer que rien n’aura changé dans le sens souhaité.
Pour autant faut-il céder à la résignation, ne rien tenter ?
Non, car ne dit-on pas : « Les causes désespérées sont les plus belles. »
Et l’aspiration à rendre le monde meilleur (l’Homme plutôt…) est bien une cause désespérée.
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Merci Paul! Mais par « rien de nouveau », car c’est un excellent rappel, au moment où en Espagne, ce ras le bol des politiciens professionnel rassemble pour renverser la table. Pour l’Espagne, suivre ici l’évolution de ce printemps qui devienfra européen:http://www.anti-k.org/category/espagne/
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Anastasie, l’ennui m’anesthésie!
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En musique: « On est les dindons…On est les dindons…Ohé, Ohé, on est les dindons… »
Mais, bon, peut-on imaginer un monde qui serait possible sans dindons?
Parce que, « sans dindons, Monsieur, y a point de farce », comme disait ma grand-mère Savoyarde…!
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On aurait tout autant envie d’appliquer la formule » rien de nouveau sous le soleil « , à l’attitude des « protestants » ( dont l’échec quarante cinq ans après , en dépit de l’a-partisme affiché , est éloquent ) , qu’à la chape de plomb des possédants .
Un autre disait que s’il n’y a rien de nouveau sous le soleil , par la lune il y a du nouveau , cette compagne étrange de l’inattendu , du féminin , et de l’impensé .
Un autre encore écrivait que le soleil , comme la mort ne peuvent se regarder en face .
Pour moi , je me contenterai de réfuter la vision anthropomorphique d’un éternel recommencement symbolisé par le cycle du soleil ( qui n’est pas si éternel que ça ), et ne conserverait que le » nouveau » , sans trop savoir encore si le bonheur et l’harmonie universelle passent par un « nouveau » , recyclage de l’existant , ou un « nouveau » inouï , créé .
En l’état, je vais opter pour la première solution qui peut nous donner une chance de ne pas ressortir des archives le même extrait audio , car je ne crois pas l’espèce humaine capable de s’adapter , très rapidement , à des contraintes mêmes hyper-violentes qui demanderaient des réponses « immédiates » . Les mesures prises ( ou plutôt non prises) pour anticiper les effets du réchauffement climatique , en sont une illustration .
Tiens , revoilà le soleil …avec du nouveau .
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@juanessy
« ou un « nouveau » inouï , créé . »
Ha enfin une douce brise fraîche et printanière dans cette sinistrose slérosante……que du bonheur !
ha bravo, je plussoie : YYYYYYYYYYES………… ! 🙂
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La création d’artefacts (organes, outils, …) est le symptôme de la mort. Plus un être vivant (une société) ressent sa mort plus il (elle) développe d’artefacts pour la conjurer.
Je suis convaincu que notre société de croâssance et de praugrès anarchiques en est là: le « struggle for life » darwinien n’est qu’une lutte désespérée, sans espoir, contre la mort.
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Il m’a semblé reconnaître la voix du taulier de ce blog…. Ou alors c’est l’accent Belge qui me fait ça….
En tout cas le discours reste d’actualité !
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Moi en 1970 j’étais au collège, en classe de 5ème et j’étais loin de comprendre ce qui se passait, heureusement que nous avons des phares pour nous montrer le chemin, des gens qui voient plus loin que les autres et qui il y a 45 ans avaient déjà tout compris, merci.
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Le Club de Rome, c’est la même époque. 40 ou 50 ans, à l’échelle d’une civilisation qui trépasse, ce n’est pas grand chose…
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Ils fraudent le fisc pour financer la révolution. Avec un budget de 490 000 euros, la Coopérative intégrale catalane (CIC) tente de construire ses propres « services publics coopératifs » dans le domaine de la santé, du logement, du transport ou encore de l’éducation. Leur but : se passer de l’euro, de l’Etat et des banques.
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@ un naïf
attention : hula hup…barbatruc 🙂
Edward Snowden dénonce les lois post-«Charlie Hebdo» en France
http://www.20minutes.fr/monde/1614555-20150523-edward-snowden-denonce-lois-post-charlie-hebdo-france
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Si ça n’était pas mieux avant (avant le premier « choc pétrolier » donc à une époque de croissance et de plein emploi) alors ça veut peut-être dire que retrouver la croissance et le plein emploi n’est pas le meilleur but qu’on puiisse se fixer (…)
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S’il y a quelque chose de nouveau, ce n’est pas qu’on pense cela, mais que ce soit dit ou bien, en quelque sorte, l’endroit d’où c’est dit ; car, soyons francs, dans la plupart des cas, les cyber-révoltés sur (ou « pris dans » ?) la toile ne font trembloter que les réactionnaires virtuels.
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« car, soyons francs, dans la plupart des cas, les cyber-révoltés sur (ou « pris dans » ?) la toile ne font trembloter que les réactionnaires virtuels. »
un peu faiblard l’apriorisme sans argumentaire….
Mouarf mouarf mdrrrrr….
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Rien de nouveau…..je ne sais pas,
On a affaire à un système totalitaire, non démocratique (voir Junker)
Nous avions voté le 29 mai 2005 contre la Constitution Européenne (à 55%)
Qu’est-ce qu’un référendum ? est-ce cela « la Démocratie », il y a de quoi bruler sa carte d’électeur.
Mais tout de même, on est de plus en plus conscient de cette mascarade, qui à défaut de pouvoir agir sur les parités monétaires, agit sur la dévalorisation des peuples. À monnaie commune ne peux correspondre qu’un peuple commun, le même partout, une forme d’esclavage total refusant tout droit à la différence.
Ce meilleur des mondes Huxleyen, diabolique, se montre au grand jour. Et tout les médias, tout les journaux, tout les chroniqueurs ayant le droit à la parole sont dans ce discours à la Junker, il n’y a pas d’autre choix que celui qu’on vous donne. Mais bien sur, on vous proposera quelques amuse-gueule.
Relisez la constitution Européenne, seul l’article 50 nous permet d’en sortir, car il faut sortir de ce monde Huxleyen promu par quelques familles.
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« Rien de nouveau sous le soleil »
En matière de contestation, nous pourrions remonter si loin, avant même l’écriture qu’il y aurait sûrement à dire. Les plus riches exploitant les plus pauvres, pour s’enrichir encore, les plus pauvres n’ayant d’autre choix que de rester pauvres pour la richesse des plus riches. Le monde tourne ainsi depuis toujours.
Parfois des soubresauts, des révolutions, des effondrements d’empire. Mais toujours, des riches et des pauvres. Le bien, l’argent, la terre, parfois change de main mais toujours il y a les riches et les pauvres.
Et notre problème n’est pas uniquement occidental, avec nos riches-pauvres qui ont l’eau courante, le gaz ou le fuel difficile à payer, à manger même si ce n’est pas Byzance, dans la gamelle.
Le monde est clos. On en a fait le tour. On sait tout ce qui s’y passe même si on n’a pas très envie de voir : les miséreux qui grattent la terre au risque de leur vie pour un salaire de misère, pour permettre la fabrication de nos tablettes, le travail des enfants, l’absence de sécurité sociale ou d’accès aux soins, pas d’accès à l’eau potable…les pays décharges ou poubelles de l’occident, l’océan poubelle de tous…La disparition programmée de l’Amazonie…
Nous cachons loin de nos yeux l’atrocité de notre système et maintenant que les caméras de tous les satellites du monde peuvent nous le montrer, on se voile la face, on préfère imaginer que c’est loin et que c’est ailleurs mais c’est chez nous, sur terre et à cause de nous.
Nous cherchons la solution au problème des migrants…de la crise en Grèce…de l’extinction des espèces ; notre mode de consommation et d’exploitation des hommes et des richesses de la planète sont la solution. Il suffit d’en changer en acceptant les préconisations éclairées de certains pragmatiques de tous temps : Science sans conscience n’est que ruine de l’âme, Bien mal acquis ne profite jamais, et autre « Misère de la pensée économique »…
Et pour aider chacun à changer un peu, il y a aussi la révolution des colibris, en campagne de révolution intérieure, pour ceux qui auraient un peu peur de changer…en soi.
http://www.colibris-lemouvement.org/
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Juste pour dire que le « E Pluribus Unum…. » n’est pas ouvert aux commentaires (a priori)
Bonne nuit !
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En relation avec le billet E pluribus unum :
« La biologie est-elle un humanisme ? »
« Le Nouvel Observateur : Votre livre, «Le Singe, le Gène et le Neurone», raconte comment les avancées de la biologie ont installé l’idée que la science était désormais en mesure de comprendre les secrets de la nature humaine. Vous qualifiez ce phénomène de «biologisme». Qu’entendez-vous par là ?
Le biologisme actuel tire son matériau des grandes découvertes réalisées depuis les années 1960 dans trois domaines: l’éthologie, dont les figures les plus connues en France sont Konrad Lorenz et Boris Cyrulnik; la génétique, incarnée par Jacques Monod et François Jacob; les sciences du cerveau, popularisées par Henri Laborit, puis Jean-Pierre Changeux.
La tentation d’expliquer les comportements humains par la biologie est aussi ancienne que le projet de constituer une science de la société. Au XIXe siècle, la phrénologie affirmait l’existence d’un rapport entre la forme du crâne de l’individu, son caractère et ses comportements.
Plus tard, Gobineau pensait avoir prouvé scientifiquement l’inégalité entre les races. Juste avant la guerre, le prix Nobel de médecine Alexis Carrel, qui devait travailler pour Vichy, a publié «l’Homme, cet inconnu», dont les thèses eugénistes rencontrèrent un écho immense.
Ainsi, jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, la biologie était très présente dans les débats politiques. C’est avec la découverte de l’usage qu’en firent les nazis que l’on a considéré, notamment en France, qu’elle constituait un danger pour le débat public. »
suite ci-dessous :
https://lesimbecilesontprislepouvoir.wordpress.com/
et
« Pourra-t-on bientôt « hacker » les cerveaux ? »
« Le neurobiologiste Laurent Alexandre tire la sonnette d’alarme : selon lui, le développement des nanotechnologies, des biotechnologies, de l’informatique et des neurosciences permettra bientôt de « pirater » le cerveau humain.
REVUE DE PRESSE – Science et Avenir publie aujourd’hui un article dans lequel le neurobiologiste français Laurent Alexandre tire la sonnette d’alarme face aux risques à venir de « hacking » du cerveau (lire l’article de Science et Avenir : « Hacker le cerveau : la menace ultime ? ») : selon ce chercheur, il existerait un risque réel que nos cerveaux puissent être « piratés » à distance dans un futur proche, avec l’aide des dernières découvertes issues des nanotechnologies, des biotechnologies, de l’informatique et des neurosciences. »
http://www.journaldelascience.fr/cerveau/articles/pourra-t-on-bientot-hacker-cerveaux-4324
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@ gudule
Comme annoncé en commentaire de « Fermez le ban » je poste ici un commentaire prévu pour le billet de Roberto Boulant « ouvert virtuellement aux commentaires »:
Roberto Boulant: « Le cerveau (et le corps qui va avec), comme moyen d’accès à l’infinie subtilité du monde, serait alors soumis à la tentation de ‘geler’ une fois pour toute ce processus, dès lors qu’il aurait trouvé une explication satisfaisante – et surtout rassurante – au Pourquoi des choses. Un processus de rationalisation, qui soumis au bug de la peur, produirait alors de l’irrationalité. »
« …la pertinence qu’il y aurait à comparer UE et 3ème Reich. La peur dans ce cas ne venant pas tant de la comparaison en elle-même, mais du fait que nous sommes si peu à la percevoir. »
Selon Arnold Toynbee « Civilizations die from suicide, not by murder ». Si j’interprète correctement la citation ci-après de Thom, les civilisations meurent plutôt, selon lui, de cancer provoqué par une idéologie initiale qui s’est multipliée dans les esprits (cf. la dernière phrase de la citation). Peste brune = cancer? Je reproduis le paragraphe presqu’en entier parce qu’il reflète, à mon avis, la façon dont Thom pense les rapports de l’unique au multiple, de l’unum au pluribus:
« Sur l’organisation générale du monde sémantique, l’Antiquité nous a légué un objet d’une grande célébrité -la totalité des genres et des « hypergenres » représentée par un graphe dit arbre de Porphyre. Décrit (très brièvement) dans l’Isagogè de ce philosophe néo-platonicien, il s’agit d’une représentation des bifurcations successives conduisant de l’Être en soi (le « genre » le plus universel) vers l’Animal, l’Homme, puis les individus Socrate et Platon. De bifurcation en bifurcation, on aboutit ainsi à l’espèce dernière, l’individu. Mais cette représentation en arbre ne tient pas compte des différences parallèles définies par le même genre général sur des substrats distincts. (…) Si l’on voulait tenir compte de cette identité des différences, il faudrait définir le graphe non dans le plan mais dans l’espace fibré admettant pour fibre le produit de tous les espaces de genre. Une représentation de ce type est pratiquement celle-même que nous utilisons en Embryologie lorsque sur l’espace-temps R³xT nous mettons en fibre l’espace physiologique de la BP [Blastula Physiologique]. D’ailleurs, le graphe devrait continuer, dissociant les individus selon la stratification organique définie par les homéomères. Ainsi le graphe de Porphyre se prolongerait-il au-dessous des individus, en divisant leur corps selon la « moriologie » que constituent les homéomères.
L’image de l’arbre de Porphyre me suggère une échappée en « Métaphysique extrême » que le lecteur me pardonnera peut-être. Il ressort de tous les exemples considérés dans ce livre [Esquisse d’une sémiophysique] qu’aux étages inférieurs, proche des individus, le graphe de Porphyre est susceptible -au moins partiellement- d’être déterminé par l’expérience. En revanche, lorsqu’on veut atteindre les étages supérieurs, on est conduit à la notion d’hypergenre dont on a vu qu’elle n’était guère susceptible d’une définition opératoire (hormis les considérations tirées de la régulation biologique). Plus haut, on aboutit, au voisinage du sommet, à l’Être en soi. Le métaphysicien est précisément l’esprit capable de remonter cet arbre de Porphyre jusqu’au contact avec l’Être. De même que les cellules sexuées dans nos gonades peuvent reconstituer le centre organisateur de l’espèce, le point germinal, pour en redescendre ensuite les bifurcations somatiques au cours de l’ontogénèse, de même le métaphysicien doit en principe parvenir à ce point originel de l’ontologie, d’où il pourra redescendre par paliers jusqu’à nous, individus d’en bas. Son programme, fort immodeste, est de réitérer le geste du Créateur. Mais très fréquemment, épuisé par son effort dans l’ascension dans ces régions arides de l’Être, le métaphysicien s’arrête à mi-hauteur à un centre organisateur partiel, à vocation fonctionnelle. Il produira alors une « idéologie », prégnance efficace, laquelle, en déployant cette fonction, va se multiplier dans les esprits. Dans notre métaphore biologique ce sera très précisément cette prolifération incontrôlée qu’est le cancer. »Pour moi les idéologies ordo-libérale allemande et ultra-libérale anglo-saxonne actuelles restent au niveau des branches basses de l’arbre de Porphyre et nous devons combattre à la fois la peste (brune) et le choléra (vert caca d’oie? ).
Avons-nous d’autre alternative que de produire une nouvelle idéologie qui, à son tour, proliférera comme un cancer?
L’ascension de l’arbre de Porphyre nécessite du métaphysicien une Intelligence Naturelle. D’où la question: quelles branches peut-on espérer atteindre avec l’Intelligence Artificielle telle qu’elle semble se développer actuellement?
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« Quelles branches de l’arbre de Porphyre peut-on espérer atteindre avec l’Intelligence Artificielle telle qu’elle semble se développer actuellement? »
lemonde.fr/sciences/article/2015/05/27/le-premier-robot-qui-s-adapte-aux-pannes-en-deux-minutes_4641897_1650684.html …
De l’efficacité des robots lamarckiens?
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En attendant, comme Gudule, à Roberto Boulant :
C’est drôle parce que je retrouve vraiment dans votre texte, assez précisément, une discussion récente avec un ami ostéopathe :
Nous trouvions tout deux que les conflits se résument souvent à deux conceptions du monde qui se rencontrent et ne se mélangent pas : La coopération, et la compétition.
Ces deux conceptions étrangères l’une pour l’autre, se retrouvent face à face partout sur la Terre entière, et donc aussi entre le mari et la femme, le frère et la sœur…. comme source de base des désaccords.
Et rien d’évident ne me permet d’expliquer pourquoi untel est (ou devient) « coopérant », et tel autre « compétiteur » (y compris parmi mes propres enfants).
C’est pour cela que j’ai du mal à vous suivre à la fin, dans votre volonté de « développer la bienveillance », parce qu’au delà de votre bienveillance à vous, il me semble que le pouvoir s’arrête… net.
Mais si c’est un vœux, je vous suis !
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« C’est pour cela que j’ai du mal à vous suivre à la fin, dans votre volonté de « développer la bienveillance », parce qu’au delà de votre bienveillance à vous, il me semble que le pouvoir s’arrête… net. »
Je n’ai aucunement envie de développer la bienveillance chez autrui, cela ne m’interesse pas et je suis pas prosélyte, d’ailleurs le prosélytisme m’ennuie au plus haut point pour ne pas dire m’emmm….de !.
A chacun de se responsabiliser en conscience, en paroles et en actes et à défaut d’en répondre avec respect de préférence.
En outre, je situe l’affaire dans le rapport entre l’égo et l’esprit, lequel est au service de l’autre pour que la relation soit collaborative: même si il y a une émulation tolérante et intelligente au sens noble ou compétitive bête et écrasante, à votre avis?
et
où mettez vous le curseur au niveau des valeurs et donc du celui qui est VRAIMENT le maître des lieux et QUI A Lui le véritable pouvoir au détriment du nain de jardin qui veut se faire passer pour un lion …mais bon tant qu’il ne :-)bronche pas trop; il a droit de faire mumuse…amicale mais ferme tolérance.
Sinon; après c’est version samouraï comme dirait Julien Alexandre…..lol
Et oui faut ce qui faut , on peut la faire soft mais samouraï kanmême !
Tous les parents connaissent ça !
Pigé ? 🙂
You’re welcome !
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Bin faut avouer que j’ai pas tout saisi, Gudule, je pédale dans le branche basses de l’arbre de Porphyre, on dirait…mais merci pour les liens.
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Rien de nouveau ?
Bien sûr !
les imprécations d’hier sont identiques à celles d’aujourd’hui:
Nous sommes les bons, les riches (les autres) sont les méchants. Ce type de (dé)raisonnement explique que les ‘méchants’ (qui eux ont au moins compris que la nature humaine est égoïste et allergique à l’intelligence) continuent à gagner leur ‘lutte des classes’.
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@Thomas
pour que l’esprit qui est le maître et au centre, soit incarné en paroles et en actes, en lieu et place du valet (à la périphérie) qui doit être à son service et non pas se prendre pour ce qu’il n’est pas, des explications plus claires et simples , ci dessous :
« Eckhart Tolle est un des enseignants spirituels les plus zen, laïques et simples qu’on puisse rencontrer aujourd’hui. Quand on écoute son message, on s’aperçoit que les choses sont plus simples que cela qu’on pensait. Il insiste sur le pouvoir du moment présent pour comprendre les stratagèmes de l’ego au quotidien. » 🙂
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Oui…Laissez un commentaire ici, c’est le parcours du combattant. Bon le jeune belge d’il y a 45 ans, oui pourquoi pas le jeune indien il y a 150 ans…
Jorion se plaint d’etre dans les gares et les aéroports pour aller dans des symposium, peuplé de requins de la finance, et de ceux qui ont par leur insondable bétise ontologique (Le capitalisme est ontologiquement mauvais, et par définition ultimement mauvais pour l’histoire de l’humanité) ont fait capoter leur propre système. Logiquement…
Mais que peut Jorion devant des trisomiques formels? Ces gens la ne comprendrons jamais rien, il chercherons toujours, systématiquement, la solution pour vivre encore quelques années. Réformer ces gens la? Mais ces scorpions ne cherchent qu’à survivre. Et il cherche chez leur ennemis, la solution qu’il n’ont pas trouvée. Ne cherchez pas les scorpions: IL N’Y A PAS DE SOLUTION.
Mon pauvre Jorion, c’est comme vouloir réformer un Waffen SS…Laisse tomber, et la meilleure méthode pourqu’ils se posent enfin les vraies questions:
-Va les faire chier!
Ma no! Tu tiens trop à ta chaire universitaire, parce que ce sont EUX qui te l’ont donnée. A quoi bon la reconnaissance des scorpions?
Tu connais l’histoire du scorpion et de la grenouille?
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En France un prof d’université gagne 5500 euros/ mois….Ca peut aller jusqu’à 6800 euros.
Pas mal, non? A moins que sur ce blog ce soit votre salaire habituel….Faut voir que 60% de la population française est trés largement en dessous des 2000 euros. Et j’en fais partie. Alors scusez moi, m’sieur dame!
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Ma chaire à la VUB est « six dixièmes de poste ».
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Ton analyse rejoint la mienne. Tu n’as donc pas regardé ma vidéo de ce matin ? Je t’y répondais par avance.
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@ izarn
C’était ton coup d’épée dans l’eau, plouf !
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A PJ,
Bonjour.
Je voudrais éviter l’affadissement du vocabulaire, qui déprécie votre discours (le temps qu’il fait du 29/5).
La troïka – ou l’ultra libéralisme – n’est PAS d’extrême droite.
En effet le marqueur principal de l’extrême droite réside dans le nationalisme alors que l’ U.L. prône le mondialisme. L’ E.D. déteste d’ailleurs l’ U.L. , qui quant à lui excelle à manier le nationalisme des peuples pour mieux les manipuler.
On peut combattre les deux sans les confondre. En outre, il existe des ‘méchants’ qui ne sont ni l’un ni l’autre. Evitons donc de prendre ‘extrême droite’ comme synonyme de ‘haïssable’.
Hors propos, je viens de lire votre ‘misère de la pensée économique’. Très bon, j’y reviendrai à l’occasion. Je le conseille à tous.
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Mais que peut Jorion devant des trisomiques formels?
Merci pour les trisomiques, et vous croyez naïvement qu’il n’y a que dans la finance que cela se passe?
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