« Oui mais il parle aux oiseaux… »

L’une d’entre vous m’écrit et le fait de lui répondre attire mon attention sur un trait de mon caractère : que je n’ai jamais eu trop besoin d’un interlocuteur ou d’une interlocutrice pour avoir envie de bavarder.

Voici :

… à ma connaissance la permaculture (terme australien commode pour recouvrir toutes les pratiques traditionnelles d’associations de plantes vivaces des autres parties du monde : bocage etc) ne comporte pas de notion de culpabilité, mais perso, comme on dit, je trouve plus sympa de dire merci aux plantes quand on les cueille, de leur parler quand on les taille etc. »

Et ma réponse :

« Ah ça ! apprendre à parler aux plantes, ce n’est certainement pas mon problème ! Je parle à tout : aux animaux, domestiques et sauvages, aux fleurs et aux arbres (moins aux légumes, il faut bien le dire), aux cours d’eau, aux montagnes. Et à la mer bien sûr ! Mon Dieu, qu’est-ce que la mer ne m’a pas entendu lui raconter ! »

 

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