Pourquoi vouloir interdire les stocks-options ? Ne suffirait il pas de les assujetir (pour la plus value lors de l’exercice)…
Email a copy of 'La crise de l’immobilier américain : le rôle joué par le nouveau régime de la faillite personnelle' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Pourquoi vouloir interdire les stocks-options ? Ne suffirait il pas de les assujetir (pour la plus value lors de l’exercice)…
@l’arsène Celà n’a rien à voir avec le partage de la valeur ajoutée, qui résulte de la vente réussie du…
Quand l’intelligence humaine n’a pas besoin d’intelligence artificielle ! https://basta.media/Produits-pris-en-charge-village-experimente-securite-sociale-alimentaire?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
Handpan ? absolument : https://youtu.be/xIWaYCklt_o
Sur les ailes de la technologie et de l’esprit, Hommes et machines tissent l’avenir écrit. De données et de modèles,…
Quelle dépense d’énergie pour recréer ce qui existe déjà !😉
Dans les arcanes du pouvoir et de l’argent, Des dirigeants aux ambitions flagrantes, Comment réformer, oh douce espérance, Ces mécanismes…
@François M Pour la prise en compte de l’environnement extérieur on voit mal ce qui empêcherait une IA d’être doté…
Oui pour le moment et -tant que nous avons besoin des produits manufacturés dont nous renonçons à l’industrie (ça peut…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
4 réponses à “La crise de l’immobilier américain : le rôle joué par le nouveau régime de la faillite personnelle”
Monsieur,
si vos analyses du marché immobilier US sont bonnes, et compte tenu de l’importance de ce secteur, les implications macroéconomiques seront substantielles et la croissance n’a pas la moindre chance de dépasser 2 % en 2007 aux USA.
Voici donc ce que je vous propose : on se fixe un RDV sur internet vers janvier-février 2008, quand les chiffres définitifs du 4e trimestre commenceront à faire l’objet d’un consensus. Si vous avez raison (ce qui implique une chute du PIB, ou du moins une croissance fortement ralentie, disons moins de 2 %, hors scénario d’un baril a 100 dollars et hors attentat terroriste majeur sur le sol US), je vous donne 500 dollars. Je suis solvable et déjà sur le sol américain, ce qui facilitera la transaction. Si c’est vous qui avez tort (une croissance finalement peu affectée par le ralentissement immobilier), c’est vous qui m’envoyez un chèque de 500 dollars.
De façon à pimenter les choses, je vous autorise à mettre cette proposition sur votre site et n’hésitez pas à ébruiter le pari le plus possible.
Mon analyse repose sur la résilience du secteur immobilier US, et plus généralement sur la résilience de l’économie US toute entière, mais peu importe : nous devrions juger les théories selon leurs résultats.
Chiche ?
mathieu mucherie,
mucherie@hotmail.com
Alors Paul, avez vous reçu le chèque de 500$ de Mathieu Mucherie ? 😉
@ Sébastien
Ah ! la belle époque : chaque billet ne recevait qu’un ou deux commentaires. Mais vous faites bien de me le rappeler : chacun me rapportait 500 $ !
Quoi? Il n’a pas payé son pari? Sans doute un spéculateur, ils encaissent les gains et filent à l’anglaise lorsqu’il y a des pertes… 🙂
Si j’avais le temps, je lirais bien tous ces vieux posts, nul doute qu’il y ait là des friandises d’autant plus savoureuses à lire rétrospectivement. Ne trouveriez-vous pas intéressant, Paul, de nous en ressortir à l’occasion quelques-unes que vous jugez importantes, pour analyse rétrospective? (pas nécessairement les articles où vous vous êtes montré « prophétique »)