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Séparation et concentration du pouvoir. Le capitalisme, c’est la ponction de tous les flux commerciaux pour mieux contrôler leurs sources…
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👍 très intéressant, merci pour ce partage !
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2 réponses à “Quel est le rapport entre la réalité et, d’une part les mots, d’autre part les formules mathématiques ?”
L’introduction de votre dernier billet appelle plusieurs remarques à propos de « l’histoire naturelle des objets ». La terre , la lune et la pomme s’attirent bien avant nous. Que certains objets nous préexistent ne change pas le statut des objets. La lune existe pour la terre comme pour nous, mais pas de la même façon. Par ailleurs, certains « objets » ne communiquent pas entre eux, par exemple, la lune n’en a rien à faire des signaux électriques défaillants actuellement dus aux poussières dans mon clavier.
La distinction entre une « pomme » et « néanmoins » est, me semble-t-il, plutôt une question de degré de notre sentiment de réalité à propos du référent. L’étiquette « pomme » réduit la chaîne complexe des réactions sémantiques allant de la perception immédiate à un énoncé en passant par les constructions sociohistoriques de l’utilisation de cette forme phonétique. La « pomme » telle que nous la voyons avec ses qualités n’a pas la même allure lors que perçue par une méduse…
De la même façon, « néanmoins » sert d’étiquette conventionnelle pour une chaîne de réactions sémantiques portant sur une non moins réelle réaction psychophysiologique de mon propre corps, mélangeant retrait et affirmation. Le support physico-chimique des « atomes » dans la « pomme » et dans « mon corps en affirmation retrait » est en gros du même niveau « de réalité ».
Tout ceci est fort banal et n’a pour but que d’éviter de poser une dualité de départ…
Dans cette perspective, la vision génétique des objets mathématiques est tout aussi valable pour le monde des objets usuels. Notre vision mécanicienne du monde résulte sans doute de notre pratique des percussions lancées, posée, etc. acquise il y a plus de quarante mille ans. Si notre vision d’électricien est très récente, elle reste partiellement attachée aux petites billes circulant dans des champs…
Il y a quelques jours, vous souligniez la vanité de la quête des petites pommes fondamentales. Certes, renoncer à la « réalité » de « l’objet » reste difficile. Comme vous le rappeliez dans un billet précédent, nous sommes nous conformés par l’usage de la construction sujet-verbe-prédicat, et vraisemblablment , le verbe « être » traîne-t-il encore avec lui un relent d’identification du mot et de la chose. Ceci ne signifie évidemment pas que le monde n’existerait pas en dehors de la conscience que j’en ai, mais simplement que le mieux que nous pouvons faire est de faire à tout instant l’anamnèse des processus d’abstraction par lesquels nous construisons une image. Quant au vieux problème de l’adéquation de cette image, les processus d’abstraction étant, de votre avis même, dans la continuité de la nature, j’ai le sentiment que le problème ne se pose pas sur le fond… mais accessoirement pour les travers et les à-peu-près.
Une toute petite réaction face à ce texte.
Sur la question de l’intuition qu’on peut avoir du nombre « racine carrée de -1 » ; autrement dit du nombre « i »…
L’intuition qu’on peut avoir d’un nombre dépend de la pratique que nous avons sur ce nombre…
Or il apparait que, les nombres réels peuvent être associé à des similitudes du plan (transformations particulières) ; et c’est ainsi qu’on peut proposer « l’intuition » suivante du nombre « i » : une simple rotation…
Alors que les nombres réels dilatent ou contractent, le nombre « i » ne fait que tourner le plan…
On peut évidemment penser que cela consiste non pas en une « intuition » mais en une interprétation… en tout cas il s’agit bel et bien d’une représentation…
Marc Olive