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Qu’est-ce que penser ? – Blog de Paul Jorion

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3 réponses à “Qu’est-ce que penser ?”

  1. Avatar de lizo lonh venance

    Selon moi, nous ne pouvons pas trouver une définition claire á la pnsée car celle-ci n’a pas de fin et même en se disant qu’on cherche á lui attribuer une définition, on se fait une pensée déja et lorsqu’on vie on pense toujours. de même, je peux dire que ceux qui sont déja morts pensent. aissi, je me demande pourquoi peut on se demander la definition de la philosophie? celle-ci est comme la philosophie qui n’s pas encore de définition dépuis des temps et pour moi,elle demeurera toujours san definition.
    Si nous arrivons á trouver une defionition á la philosophie, cela sera claire pour la penssée.
    lizo lonh venance en classe de secopnde c.

    1. Avatar de péne
      péne

      oui tu as parfaitement raison, mais t’aurais pu te faciliter la tache tout en disant qu’on ne peut conceptualiser ce mot et de ce fait il nous serait très difficile de le définir. la pensée est cette matière que l’on ne peut emprisonner, ni saisir…

  2. Avatar de coucou
    coucou

    Ces derniers mois, je replongeais plutôt dans les archives monétaires et économiques du blog, mais ce billet que je découvre est très intéressant.

    La logique aristotélicienne a certainement contribué à former cet objet oral totalement perdu aujourd’hui : la rhétorique.

    Je pense en particulier au « palais de la mémoire » tel que le définit La Rhétorique à Herennius.

    Quelle est la place de l’affect du locuteur dans un discours structuré comme cela ? Quelle est la part de ‘l’association libre » ? Et celle du « calcul » ?

    La dynamique du « lieu commun », du « topos », survit surtout de nos jours dans les slogans de masse : « n’écoute que toi », « change les choses » (céréales Crunch !) et autres « sois toi-même ». Cependant ce sont des lieux vides, passés et repassés, le topos dans son sens péjoratif..

    La crise présente peut nous ramener à la fois vers une économie plus saine, et vers un discours qui utilise de vrais mots, pas des signifiants dont les signifiés seraient enterrés depuis longtemps.

    Le malicieux Beckett notamment, avait senti le coup venir, en habillant le silence de ses pièces d’onomatopées, d’interjections, de répliques dérisoires, de gestes gratuits.

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