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Les processus financiers enclins à l’emballement – Blog de Paul Jorion

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3 réponses à “Les processus financiers enclins à l’emballement”

  1. Avatar de Yogi
    Yogi

    820 millions de dollars ?? Peanuts !

    [PJ : oui, c’est une coquille. il faut lire « milliards ». Merci !]

  2. […] Si la récession qui s’annonce aux États–Unis devait se transformer – ce qu’à Dieu ne plaise – en Grande Crise, les responsables en sont déjà connus : ce sont ces contrats dérivés qui créent du risque de toute pièce en permettant de parier sur un risque réel couru ailleurs et par quelqu’un d’autre. Il suffit à tout parieur éventuel de se trouver une contrepartie prête à parier au contraire que ce risque ne se matérialisera pas. Le montant du pari ne dépend que d’eux et peut ainsi déboucher sur des sommes extravagantes, comme les 45.000 milliards de dollars auxquels s’élève l’exposition actuelle des credit–default swaps garantis par des banques ou des fonds d’investissement spéculatifs (« hedge funds »). J’ajoute – comme si cela ne suffisait pas – que le secteur est non–régulé et que les contreparties ne sont nullement requises de constituer des fonds de réserve. J’écrivais dans Les processus financiers enclins à l’emballement à propos des credit–default swaps qui appartiennent à cette famille d’instruments financiers : « Ils permettent non seulement à des agents qui sont réellement exposés à ce risque de se couvrir contre lui (stratégie de « couverture ») mais également à d’autres qui ne le sont pas, de s’assurer contre ce risque « virtuel », comme s’ils y étaient exposés (stratégie « directionnelle »). Comme rien ne limite le nombre de ces derniers, le volume de ce type d’assurance peut gonfler indéfiniment, créant un risque systémique si les assureurs se révèlent insolvables ». […]

  3. […] Là où nous sommes d’accord, c’est sur la « finance très amaigrie ». Tu dis « le poids de la finance est passé de 5% à 25% » et tu as raison mais ça n’a rien à voir avec la monnaie : c’est parce qu’on a laissé la finance parasiter l’économie réelle de la production, de la distribution et du partage des revenus. C’est là qu’il faut concentrer l’effort et de manière urgente parce que c’est l’obésité de la finance qui fait qu’elle est en train de s’écrouler sous son propre poids. Et ce à quoi il faut s’attaquer, selon moi, c’est aux trois facteurs que je mentionnais dans Les processus financiers enclins à l’emballement : […]

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  1. Et bientôt, E.S.=protéines finlandaises ! https://www.theguardian.com/business/2024/apr/19/finnish-startup-food-air-solar-power-solein. Pas compris d’où leurs micro-organismes tiraient l’azote toutefois, peut-être bien de l’air (l’énergie, elle,…

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