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Quand l’intelligence humaine n’a pas besoin d’intelligence artificielle ! https://basta.media/Produits-pris-en-charge-village-experimente-securite-sociale-alimentaire?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
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Sur les ailes de la technologie et de l’esprit, Hommes et machines tissent l’avenir écrit. De données et de modèles,…
Quelle dépense d’énergie pour recréer ce qui existe déjà !😉
Dans les arcanes du pouvoir et de l’argent, Des dirigeants aux ambitions flagrantes, Comment réformer, oh douce espérance, Ces mécanismes…
@François M Pour la prise en compte de l’environnement extérieur on voit mal ce qui empêcherait une IA d’être doté…
Oui pour le moment et -tant que nous avons besoin des produits manufacturés dont nous renonçons à l’industrie (ça peut…
Racheter ses actions pour faire monter son prix est par excellence la parfaite démonstration que ce système est à détruire,…
@Ruiz Pour les robots les chiffres (2022) sont à multiplier par 1000 : Chine :290.000 Reste du monde : 230.000…
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6 réponses à “Les passantes”
[…] petit joyau, Georges Brassens chantant Les passantes, paroles d’Antoine Pol, comme je l’explique dans mon billet et comme il le rappelle aussi, […]
Une furtive rencontre et le roman nait, puis aussitôt né, s’éteint. La gratuité des adhésions sans limites réduites à des fractions de seconde, éliminées évidemment par la structure dont l’intelligence est de rabrouer toutes ces fugitudes, ridicules à revendiquer une permanence. Donc volons ces papillons qui seraient perdus autrement.
OK pour la blonde des Doors, c’est l’attraction naturelle, la survie de l’espèce ; un défi à la gravité, une force divine 😉
(si Maxime vient sur le blog, il va voir son sosie….)
merci, merci
quelle émotion de découvrir l’auteur de ce texte, ses imperfections le rendent encore plus beau.
cette chanson, combien de fois ais-je pu la fredonner, Dieu que les femmes sont belles,
mais il existe un texte de Pierre Desproges, qui n’ayant rien à voir, n’en est pas moins savoureux!
Pas très bien écrit ?!!!
Comme le dit une céramiste de mes amies : » à chacun son sale goût » !
Le « bien écrit », c’est écrit où ?
J’ouvre votre blog. Tombe sur ce texte. Je remarque sa date. C’est peut-être une erreur informatique. Mais j’aime beaucoup cette erreur. Elle me montre que vous connaissez ce miracle d’un instant de familiarité, d’un éclair de beauté dans un geste, d’une maladresse délicieuse d’un enfant et d’une image fugace qui passe mais qui contient ce qui me donne envie de continuer à vivre.
Mon meilleur souvenir est un enfant qui sourit en regardant sa mère qui le regardait en souriant. Cela a duré une seconde au maximum. C’était absolument magnifique.