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32 réponses à “La monnaie : le point de notre débat (III)”
@ Stilgard
Je n’ai malheureusement pas d’avis sur les causes du ralentissement de la vitesse de circulation de la monnaie (en France ?), car je ne dispose pas des éléments qui entrent dans son calcul. J’ai la manie de toujours vouloir vérifier les calculs moi-même, sans doute par déformation professionnelle !
J’ajouterai que la vitesse de circulation à mon avis n’est pas significative puisqu’elle ne distingue pas l’activité de production de l’activité financière et monétaire.
Pour ce qui est de la présence de l’épargne bancaire dans les parkings monétaires, je crois qu’ils ont une incidence à la baisse sur l’activité de production d’autant plus forte que le crédit qui pourrait la réduire est insuffisant. L’épargne produit un effet de frein, tandis que le crédit fait effet d’accélérateur; c’est le résultat de mes travaux de recherche.
A mon avis, notre société a besoin que le PIB augmente : parce que son augmentation est aussi celle des revenus, et sans elle il n’y a ni croissance ni relèvement du pouvoir d’achat. Tout le problème se trouve alors dans la répartition des revenus entre les différents agents, et là je vous rejoins. Mais, la répartition qui résulte de conflits, disons sociaux, ne peut être que plus difficile en période de contraction du PIB (des revenus, donc) qu’en période de croissance (de relèvement des revenus et du pouvoir d’achat). Les tentatives faites actuellement sur les prix pour dégager du pouvoir d’achat au bénéfice de la population ont un impact sur la répartition des revenus à activité comparable, mais n’ont pas d’effet direct sur les revenus, sauf si pour obtenir la baisse des prix il faut abaisser les salaires ou améliorer les rendements du personnel, dans les grandes surfaces par exemple, ce qui est malheureusement trop souvent le cas et inadmissible. Mais là, nous abordons un autre sujet.
Les conséquences de l’égalité, généralement admise du PIB et des revenus, et leur lien, semblent passer totalement inaperçues. Je ne sais pourquoi.
jb
Jean B.
Je suis tout à fait d’accord, au moins intuitivement (je n’ai pas approfondi ce sujet).. ça me semble d’ailleurs rejoindre l’idée de la monnaie fondante (par « timbre » ou simplement par l’inflation), et ça rejoint la notion de vitesse de rotation de la monnaie (PIB/M1)… je parlais de la zone euro dans mon intervention précédente.
Nous sommes un peu hors sujet en ce qui concerne le PIB (augmentation ou diminution). Je pense seulement que le PIB est un très mauvais thermomètre… et qu’on peut donc avoir plus de « bonheur » avec moins de PIB. Mais si on reste sur le PIB, à PIB constant, c’est la répartition des richesses (qui ne sont pas toujours comptabilisées dans le PIB) qu’il faut privilégier…
AJH