Véronique Thyberghien : « Vous proposez quelque chose d’intéressant dans votre ouvrage … » [29:25/36:24] En entendant ces mots, personnellement j’ai…
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Je ferai sans doute une vidéo lundi.
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4 réponses à “Le prix du pétrole. Le prix des matières premières (II)”
C’est un peu ce que je pensais, c’est le flou total, les paramètres sont trop nombreux. Entre les tensions géopolitiques, la déplétion de certains champs, le doute concernant les réserves exactes de certains gros producteurs et leur capacité de réserve, la part d’incertitude concernant la part spéculative, la demande grandissante de la part de plus en plus de pays en développement (et des pays exportateurs eux mêmes avec une population qui croit et qui est très jeune), personne ne sait exactement où on en est. Trop d’incertitudes, et la peur sans doute pas si déraisonnable d’un pic pétrolier sans doute très proche.
On ne sait pas exactement pourquoi le prix augmente tant, et lorsqu’il baisse on ne sait pas non plus exactement pourquoi.
On ne sait si c’est le prix élevé du pétrole qui est à l’origine d’une bonne partie de la crise économique, de la récession. On ne sait pas si c’est la récession et la baisse du pouvoir d’achat qui fait baisser les cours du pétrole
Je crois que le prix élevé du pétrole, très éloigné de son prix de revient, est essentiellement dû au déséquilibre grandissant entre l’offre et la demande.
Quand l’économie de pays, peuplés au total de près de 4 milliards d’habitants, croit de 10 % par an, il n’est pas étonnant que la production des matières premières ne suive pas cette cadence infernale.
Pour moi, la spéculation n’intervient qu’à la marge même si elle peut avoir des effets brutaux d’un jour sur l’autre.
Une pause est sans doute en vue : récession dans les pays développés et chute voire arrêt momentané de la croissance dans les pays émergents
C’est un peu oublier que la couverture des risques peut s’exercer grâce à la « spéculation ».
Un exemple :
Un entrepreneur de la zone euro conclut un contrat avec un acheteur etatsunien. 100.000 USD, c’est pas mal.
Aujourd’hui cela représente environ 63.000 €. Tout va bien, je calcule que j’ai 57.000 € de frais, cela me laisse 6.000 € de bénéfice.
Mon acheteur me payera dans 3 mois.
Si dans 3 mois, le dollar a baissé de plus de 10%, je changerai mes dollars et j’en recevrai moins de 57.000 €. me voilà en perte.
Les solutions ?
1. Demander à mon acheteur de payer en euro. Cela ne fait que reporter le risque. Admettons que mon acheteur ait fait un contrat pour revendre ma marchandise dans 3 mois à 110.000 USD. Si le dollar baisse, il devra me payer 110.000 USD pour mes 63.000 €. C’est lui qui fait une perte.
2. Demander que mon acheteur me paye directement. Je ne vois pas pourquoi il le ferait.
3. Vendre mes dollars à terme (3 mois). je connais ainsi avec précision le montant en € que je recevrai.
Pour vendre à terme, il faut un acheteur.
Cet acheteur peut être un acheteur dont le prix est exprimé en dollar et les coûts en €. Et qui lui craint plutôt une hausse du dollar. Mais si cet acheteur n’existe pas, je ne peux me couvrir.
La contrepartie peut être un « spéculateur ». Et c’est souvent le cas.
C’est au fond la même chose pour ma compagnie d’assurance. Elle fait un pari que sur 100.000 clients, il n’y aura qu’un pourcentage qui aura des accidents. Elle peut gagner ou perdre.
Bien sûr certains marchés voient leur mouvement amplifiés à cause de la spéculation. Mais d’autres marchés au contraire sont « plus calmes » grâce à cette spéculation.
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