@timiota Le pilotage de l’évolution de la biomasse animale sur la terre semble vouloir être orientée vers la maximisation de…
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@gaston Mon petit doigt me l’a dit ! n’est-ce pas celà le micro-digital ! la toute connaissance de la NSA…
@timiota Jusqu’à la destabilisation de la Palestine par l’arrivée temporaire des occidentaux Britanniques ayant à coeur d’abattre l’Empire Ottoman pour…
@Pascal Magnifique titre du à un journaliste responsable (pas encore remplacé apparemment par une IA) qui n’a même pas été…
@ilicitano OK par jour ! On a gagné un facteur 400 donc une puissance moyenne apparente de 20 000 kW…
@Pascal Oui Bien sûr c’est un dieu solaire dimanche=sunday ! plein d’énergie
Pas très convaincu que monothéisme rime toujours avec totalitarisme. Rime souvent mais pas toujours. Les ottomans ont régné de façon…
Oui, d’ailleurs il y a une laiterie très exportatrice au Luxembourg (lait fermenté notamment, en usage dans les communautés nord-africaines…
Le grand choix à l’échelle mondiale (orge colza tournesol maïs , plus que blé & riz ) serait de ne…
Le livre d’Amélie Poinssot (journaliste à MP) « Qui va nous nourrir » (Actes Sud) rend assez bien compte des difficultés de…
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2 réponses à “D’une longue et pénible maladie…”
Par rapport à Freddie Mac et Fannie Mae, je viens de lire cet article sur le site les Echos (qui est en fait une dépêche AFP) :
La Russie a gagné plus de 1 milliard de dollars grâce à Fannie Mae et Freddie Mac.
Les placements de la Russie en obligations des deux organismes de refinancement hypothécaire américain menacés de faillite, Fannie Mae et Freddie Mac, ont rapporté à Moscou plus d’un milliard de dollars en six mois, a annoncé mardi le ministre russe des Finances, Alexeï Koudrine.
« Les obligations dans lesquelles nous avons investi (une partie des réserves de change du pays, ndlr) n’ont pas entraîné de pertes mais nous ont rapporté plus d’un milliard de dollars », a déclaré M. Koudrine lors d’une rencontre avec un député de la Douma, a rapporté l’agence de presse Ria Novosti.
Victimes de la détérioration du marché américain de l’immobilier et de l’effondrement de leurs cours de Bourse, Freddie Mac et Fannie Mae ont connu, début juillet, une crise qui a nécessité l’intervention du Trésor américain.
Les crédits hypothécaires « subprime » de ces organismes sont des emprunts qui ont été accordés sans précaution à des millions de foyers modestes, souvent fragiles financièrement, avec des taux initiaux très bas, pour attirer le client, mais qui montent en flèche après quelques années.
Vous l’expliquez comment ? Et faut-il voir dans cette annonce une volonté de Moscou de mettre la pression sur les États-Unis par rapport au conflit en Géorgie ?
Selon Brad Setser, le 12 juillet (les « Agencies » ici sont Fannie Mae et Freddie Mac ; GDP = IPB),
Les rentrées mentionnées dans l’article AFP / Les Echos sont sur ces obligations à court terme, pas sur les Residential Mortgage–Backed Securities, les obligations à long terme qui sont au centre de la crise des subprimes. La déclaration de Mr. Koudrine à la Douma, constitue probablement sa réponse à un député qui mélangeait les deux et qui avait dû s’indigner : « Quoi, vous investissez le bon argent russe dans ces obligations qui ne valent plus rien ! » Comme les taux associés à ces dettes à court terme sont désormais élevés, il y a effectivement de bonnes affaires à faire !
Si l’AFP rapporte cela comme une « nouvelle », il est possible qu’elle soit victime elle aussi de la même confusion. Ceci dit, les fonds souverains commencent à se méfier même des instruments de dette à moyen terme qu’émettent les Government–Sponsored Entities : l’agence Bloomberg signalait hier que :