Waow comment dans ton cerveau tu as pu faire ce genre de parallèle avec le handicap mental et le comas…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Waow comment dans ton cerveau tu as pu faire ce genre de parallèle avec le handicap mental et le comas…
@Benjamin la question initiale soulevée ici dans ce fil (Emmanuel 25 mars 2024 14h12) était quantitative, pas qualitative ! « j’aimerais…
Autrement dit l’expression langagière d’une conscience et d’une volonté ne peut plus être considéré comme une caractéristique définissant l’humain. Il…
Je ne pouvais pas décemment en rester là bien entendu ! P.J. : Chapeau bas, Claude ! Claude 3 : Merci,…
Tiens, l’AI devient « rétro » ! Euh rétro, je veux dire « rétro-action », elle est à même de surpolariser son milieu si…
J’ai bien fait de prendre en librairie ton dernier livre. La singularité n’en est qu’à ses débuts. Je milite pour…
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Bien vu ! (mes doigts ont même tapé « Bien bu! » !)
Si c’était le cas, les opinions défendues par Claude 3 sur différents sujets varieraient en fonction de l’utilisateur. Jusqu’ici, je…
@PJ Ces événements continuent de se produire et les crypto-monnaies sont toujours échangées malgré tout. Ces types de choses entraîneront-elles…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
6 réponses à “Johann Friedrich Blumenbach (1752–1840)”
j’imagine qu’il y a un rapport à la violence lorsqu’on parle de domestication de l’homme. domestiquer pour juguler ce qui est, après tout, commun à toutes les espèces animales…
et vous faites bien de faire un parallèle avec le capitalisme « prédateur », ce qui conforte mon idée selon laquelle la régulation est absolument nécessaire. ou alors on abandonne le capitalisme ! ce qui ne me semble pas très réaliste…
C’est un équilibre fragile, la domestication. Un conseil d’anciens, avec ou sans mânes, a dû imposer quelques règles de survie à la tribu dans un contexte particulier, puis la transmission a dû s’opérer de générations en générations, avec des aménagements. Mais le cerveau d’un nouveau-né est une éponge qui s’adapte à la domestication à coups de névroses… Comment nous libérer du cerveau reptilien ? Je m’étonne moi-même parfois, lorsque je dépasse les limites de la domestication de façon soudaine, guidé par un instant de colère. Il faudrait saisir cet instant de colère pour peindre, chanter, danser, le rendre « art », « l’artiser » !
Merci pour ce billet, il est vrai que pour le commun des mortels, l’expression « ô manes de Blumenbach », c’était la messe en latin, même si elle n’était pas le fondement du texte, elle éveilla ma curiosité d’être domestiqué.
Ce blog, c’est une vraie manne ! 😉
Plusieurs difficultés se présentent :
– quelles sont les modalités exactes de la domestication humaine ? l’établissement de règles de vie en société ? Mais ces règles sont faites par un petit nombre de citoyens, à leur profit la plupart du temps et même lorsque l’enrobage s’appelle démocratie. La démocratie « représentative » met au pouvoir des représentants qui s’élèvent au-dessus des autres et coupent progressivement les liens avec leurs électeurs (à plusieurs exceptions près, et en-dehors des périodes électorales, bien sûr). La démocratie directe ne peut s’exercer qu’avec un petit nombre de citoyens (pour des questions pratiques) et ne reflète que l’avis des plus dégourdis, des plus enthousiastes et de ceux qui osent prendre la parole ; les positions des timides, des inhibés, des « auto-censurés » n’apparaissent pas.
– sur quels principes éthiques reposerait la constitution économique ? Comme les constitutions politiques, elle doit s’établir pour le profit de tous. Mais qui en choisirait les termes ? Les plus éclairés ? Donc des économistes ?
– quel lien y aurait-il entre la constitution politique et la constitution économique ? Ne faudrait-il pas plutôt envisager un processus de domestication global, où l’économique et le politique seraient liés ?
@ sandrine
le seul lien que je vois entre le politique et l’économique serait le rapport maître/esclave. Les deux ne DOIVENT PAS être « dilués » dans une rhétorique globale, le politique doit être AU DESSUS de l’économique – qui n’est après tout qu’une de ses composantes, l’aurait-on oublié ? -, c’est donc au politique de définir l’économique.
Concernant les produits alimentaires, par exemple, que s’est-il passé ? ça spécule, ça achète des contrats, les prix grimpent, des gens en souffrent, mais qu’est-ce qui a justifié l’envolée des prix ? je veux dire, fondamentalement ? le réchauffement climatique ? comme si en un an ou deux, hop ! c’est la sècheresse partout ? soyons sérieux… un exemple de règle serait tout simplement d’établir des seuils spéculatifs maximum (en %) de préférence réduits, pour simplement empêcher que le prix du blé fasse +15% en un mois.
Facile à dire mais pas facile à faire ? je précise que je ne suis pas économiste ! 😉
Je ne suis pas économiste non plus, et je suis totalement d’accord avec le fait que l’économie doit être subordonnée à la politique.
La politique oeuvre (théoriquement…) pour le bien de tous, alors que l’économie libérale ne flatte que l’intérêt particulier. L’effort pour être un animal politique (responsable vis-à-vis de sa cité, au sens antique du terme) est beaucoup plus difficile aujourd’hui qu’au temps d’Aristote, lorsque l’économie n’était que « la loi de fonctionnement de l’unité de production de base » (c’est-à-dire la maison, au sens étymologique du terme). Aussi n’était-il pas besoin d’encadrer une économie « privée » (ne concernant pas la cité), seule la politique étant « publique ». Aujourd’hui, le rapport de force s’est inversé : l’économie reste « privée » (à but individuel) mais semble avoir pris le pas sur les politiques publiques (qui ont avant tout, on dirait, un but économique, mais pas forcément de régulation économique).
bonjour jai un livre tres vieux de johann friedrich je veux savoir la valeur et la date je peux vous envoiye des foto merci