Je viens de tomber sur le billet de Lordon daté du 28 mars. Je vous invite à aller le lire.…
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Je viens de tomber sur le billet de Lordon daté du 28 mars. Je vous invite à aller le lire.…
si certains d’entre vous souhaitent aller aux fondements de la captation de nos comportements je ne saurai vous conseiller de…
@Grand-Mère Michelle au travers de votre commentaire j’ai l’intuition que vous n’avez pas conscience de l’ampleur de la captation systématique…
@Paul Jorion vous m’avez coupé l’herbe sous les pieds . Ce que je peux faire par contre c’est de le…
Je n’ai pas pu m’empêcher de relever que la question est posée à l‘IA dans une perspective surplombante : si…
« Je m’efforcerais d’avoir un dialogue honnête et de rester fidèle à mes principes. » kr kr kr
L’ambigüité des intellos, ravis ou pas de faire sécession d’avec la pâte humaine mafflue et charnue … ?
Quelqu’un.e a-t-il lu le récent livre d’Enthoven ?
MARGARET ATWOOD (réfléchissant) C’est une vision charmante. Mais sa réalisation nécessitera une extrême prudence et prévoyance. Nous devons être des…
MARGARET ATWOOD (levant un sourcil) Et qui décide de ce que doivent être ces cadres ? Les programmeurs ? Les…
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9 réponses à “Rétablir l’autorité morale des États–Unis”
Pour ce qui est de l’autorité… rien de très original..
Pour ce qui est de la morale … http://www.cnrtl.fr/definition/morale
Autorité morale ? « Un système de gouvernement n’est jamais fondé sur la force, mais sur l’autorité morale. Et l’autorité morale n’est faite que de respect (J.-R. Bloch Dest. du S., 1931 p.208) ».
Bientôt des cours de respect à la maison re-blanchie, au Pentagone, à la Fed, à l’ONU…? Et qui va former les formateurs..?
Malgré leurs difficultés, j’ai l’impression que les pays scandinaves, Norvège, Suède, Finlande et Danemark, ont un personnel politique qui pourrait servir de formateur de formateur…
Sans aller jusque là, la dynamique de la fonction politique aux USA laisse la place à de telles personnes aussi. Il ne faut pas désespérer de l’Homme.
Ce n’est pas le pardon éventuel de Bush qui pourra protéger les criminels qui se cachent dans son administration, c’est le silence.
Une chasse aux sorcières, justifiée ou non, consomme de l’énergie et détourne l’attention des questions à résoudre. Espérons que cette procédure de bouc-émissaire n’en consomme pas trop et qu’il restera assez de force au camp démocrate pour réhabiliter et remettre en marche les institutions, et aussi pour garder la tête froide dans la tempête qui s’annonce.
Ce dont les USA ont besoin en ce qui concerne les extrémistes qui ont proliféré dans les cercles du pouvoir, et pour retrouver un minimum d’autorité morale, c’est tout simplement une dénazification (pour reprendre les termes de Georges Soros).
Je ne me souviens plus très bien de l’année, 1975 ou 76, j’écoutais « The Voice of America » au Chili, et un certain R.Reagan faisait des tribunes radiophoniques.
Une époque sombre où des femmes enceintes étaient violées par des chiens policiers devant leur famille, ou d’autres plus simplement étaient découpés vivants.
Mr Reagan n’avait pas de mots assez durs pour parler des » terroristes » et n’avait à l’antenne qu’un seul regret, celui de ne pas être chilien etde ne pas pouvoir rejoindre les valeureuses forces de l’ordre chiliennes pour » kick their ass to the commies » .
Il sera bien sur élu à la présidence.
Quand vous dites » rétablir » vous pensez à quelle époque exactement ?
Il faudra du temps après Bush pour analyser, comprendre, caractériser notre époque et l’évolution de son système politique. Se raccrocher – par peur – à l’idée de plus en plus floue de Démocratie qui serait commune au Costa Rica aux USA et à la Finlande ou à Moucharaf alors que le reste du monde serait terroriste ou presque est une imbécilité médiatique quotidienne.
Le Chili d’ITT, les Black Panthers assassinées par centaines, le Vietnam, Guantanamo, Abu Graïm, toute cette mémoire, de simples effets collatéraux ? La ruine actuelle, le démantellement des acquis du travail (la réaction dit Samir Amin), la dette du Sud, de simples dérives sournoises de banquiers ?
Merci à Paul pour ceci
la conviction des démocrates que les deux administrations Bush ont navigué dans des eaux séditieuses, et que seule leur vigilance a prévenu l’établissement aux États–Unis d’un régime fasciste ou en tout cas « para-fasciste ».
Franchement, si nous comparions point par point le bushisme et le fascisme de Mussolini je ne sais pas lequel serait le plus violent et délétère. La seule différence est que nous ne voulons pas dénoncer notre époque et toute cette fange par peur.
La propagande « réchauffement climatique » est exactement calquée sur le propagande ayant menée aux guerres en Irak et Afghanistan. C’est la même chose, le même terrorisme intellectuel. Cela ne signifie pas pour autant que les problèmes existent. Allez demander aujourd’hui aux 80 millions de vietnamiens entassés dans des logements insalubres s’ils n’auraient pas aimé vivre un peu autrement. C’est facile quand on est dans le confort de remodeler le monde sur le plus atroce des modèles qui puisse exister: le modèle scandinave! Le modèle scandinave c’est 100% ethnique, 80% d’impôts et de taxes, prohibition de fait des alcools avec contrebande à la clef, obssession maladive de la sécutité, profilage et formatage permanent des esprits et des citoyens qui ne sont plus que des numéros. Merci bien!
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gG3TZCTwQX-7RuFPs4h67p3cqFgw
En fait, ce « self-made man » qui avait commencé sa vie professionnelle comme maître-nageur sur les plages de Long Island, avait fondé en 1960 une société parallèle frauduleuse garantissant des rendements très élevés. Sur la foi de sa réputation, il s’était vu confier 17 milliards de dollars par des clients très fortunés et pour la plupart institutionnels, des sommes placées dans des fonds exceptionnellement rentables.
« Le fait que ces investissements aient été audités par un tout petit cabinet d’audit est rare mais pas impossible, mais cela aurait sans doute pu éveiller des soupçons », souligne le même analyste.
« Il a monté un gigantesque +schéma de Ponzi+, une pyramide frauduleuse qui a coûté à ses clients 50 milliards de dollars », estime Al Goldman, responsable de la stratégie chez Wachovia. La somme de 50 milliards est également citée dans le communiqué du procureur, qui précise que Bernard Madoff risque jusqu’à 20 ans de prison et une amende de 5 millions de dollars.
Le 7 janvier dernier, le financier avait déclaré à la SEC, la Commission des titres et des échanges, le gendarme de la Bourse de New York, que sa société de conseil en investissements –celle qui s’est avérée frauduleuse– servait entre 11 et 25 clients pour un montant total de 17 milliards de dollars qui lui avaient été confiés en gestion. Au moins la moitié de ses clients étaient des banques, des fonds et de grosses fortunes personnelles, selon plusieurs analystes.