Bonjour : .Ma réponse se porte sur les abus sexuels, incestes…que les enfants subissent. Il y a des institutions pour…
Email a copy of 'Dop Bles (1883 - 1940)' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Bonjour : .Ma réponse se porte sur les abus sexuels, incestes…que les enfants subissent. Il y a des institutions pour…
@ilicitano 150 000 pour Microsoft ça fait 100 MW soit moins de 10% d’une centrale nucléaire, Il suffirait de faire…
Je prolonge la réflexion. En commun : ce sont trois forts en gueule. Très imbus d’eux-mêmes, certains de leur destin…
Israël-Iran : appels internationaux à la désescalade • FRANCE 24 https://youtu.be/s7oL9QPdXOg?si=3ulrgnUHur_AIsZz
Je ferai sans doute une vidéo lundi.
La taille de la machine influe directement sur le niveau de l’IA. Dans le livre de Paul Jorion « l’avènement de…
Bonjour @ CORLAY (Isabelle). Vous remerciant pour votre contribution, j’aimerai savoir ce que vous trouvez « éloquents » dans mes remarques ?…
Musique électro, fin du XXème siècle https://www.youtube.com/watch?v=Mkd7LbQnfIQ
«… et vous rendrai compte du procès qui débute aujourd’hui. » Merci !
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
6 réponses à “Dop Bles (1883 – 1940)”
« Poetry is what gets lost in translation »
Bon réveillon à Paul et aux habitués du blog.
@ Paul Jorion
Je vous suggère de vous intéresser, si vous ne le connaissez déjà, à Claude Esteban. Il défendait les mêmes idées que vous à propos de la traduction (lire « le partage des mots », Gallimard) et les mettait en pratique activement. Borge, Lorca, Guillen et Octavio Paz ont notamment profité de son talent, quand il n’écrivait pas pour son propre compte si je peux dire. Un homme drôle et délicieux disparu en 2006. Voir dans wikipedia sa bio.
Merci et Bonne Année à vous, à tous.
Seuls
Deux investisseurs ruinés
Au milieu du marché fou
Triste cupidité
Bonne année 2009 ! 😉
Bonne année à tous.
« Je suis fasciné par la distance qui existe entre une bonne traduction et une traduction littérale »
Voici ègalement la formule tarte à la crème : « traduttore traditore ».
Elle contient une évidence, un constat, une cruauté nécéssaire ET en même temps une hypocrisie, un contresens , une erreur inévitable et nécéssaire.
Pour qu’une traduction soit la plus fidèle au sens , il faut fatalement qu’elle trahisse dans la forme car les matérieux ne sont pas les mêmes (il n’y a pas équivalence dans les matériaux).
La chose à traduire doit être considérée comme un objet brut externe qui sera la source d’une nouvelle création.
La traitrise est donc nécéssaire.
Bien entendu (sans quoi ce n’est plus une traduction) il y a comparaison perpétuelle entre votre création et la source.
Il y a donc fatalement à la fois une depossession et une réappropriation.
Ca suppose de bien connaître l’ouvrage c’est à dire de l’avoir compris correctement (selon les ‘intentions’ de l’auteur) : sans quoi vous faite une ‘adaptation’ ou même carrément autre chose.
Ca suppose éventuellement de connaître l’oeuvre entière et la vie de l’auteur … et parfois de tout ce qui s’est dit là dessus : encore que ces connaissances puissent être perturbatrices … car vous traduisez UNE chose précise et pas une vie.
Bref la traduction n’est pas une translation , c’est une re-création qui s’inspire d’un objet et qui accepte de se re-comparer, après coup, avec cet objet.
D’ailleurs la traduction existe aussi dans une même langue : lorsqu’ on réactualise des textes anciens, lorsqu’ on théatrâlise un roman, lorsque l’on fait des adaptation, et même en théâtre lorsque les metteurs en scène se permettent de nombreux changements à des oeuvres manifestement trop verbeuses (pour notre présent …)
D’où vient ce haiku et quelle en est la date ?
Son prédécesseur n’avait-il pas écrit:
Pour seul
Refrain
Une marseillaise
En guise de brabançonne