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Dop Bles (1883 – 1940) – Blog de Paul Jorion

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6 réponses à “Dop Bles (1883 – 1940)

  1. Avatar de A.
    A.

    « Poetry is what gets lost in translation »

    Bon réveillon à Paul et aux habitués du blog.

  2. Avatar de François Leclerc
    François Leclerc

    @ Paul Jorion

    Je vous suggère de vous intéresser, si vous ne le connaissez déjà, à Claude Esteban. Il défendait les mêmes idées que vous à propos de la traduction (lire « le partage des mots », Gallimard) et les mettait en pratique activement. Borge, Lorca, Guillen et Octavio Paz ont notamment profité de son talent, quand il n’écrivait pas pour son propre compte si je peux dire. Un homme drôle et délicieux disparu en 2006. Voir dans wikipedia sa bio.

  3. Avatar de 2casa
    2casa

    Merci et Bonne Année à vous, à tous.

  4. Avatar de Vince

    Seuls
    Deux investisseurs ruinés
    Au milieu du marché fou
    Triste cupidité

    Bonne année 2009 ! 😉

  5. Avatar de oppossum
    oppossum

    Bonne année à tous.

    « Je suis fasciné par la distance qui existe entre une bonne traduction et une traduction littérale »

    Voici ègalement la formule tarte à la crème : « traduttore traditore ».
    Elle contient une évidence, un constat, une cruauté nécéssaire ET en même temps une hypocrisie, un contresens , une erreur inévitable et nécéssaire.

    Pour qu’une traduction soit la plus fidèle au sens , il faut fatalement qu’elle trahisse dans la forme car les matérieux ne sont pas les mêmes (il n’y a pas équivalence dans les matériaux).

    La chose à traduire doit être considérée comme un objet brut externe qui sera la source d’une nouvelle création.
    La traitrise est donc nécéssaire.
    Bien entendu (sans quoi ce n’est plus une traduction) il y a comparaison perpétuelle entre votre création et la source.

    Il y a donc fatalement à la fois une depossession et une réappropriation.

    Ca suppose de bien connaître l’ouvrage c’est à dire de l’avoir compris correctement (selon les ‘intentions’ de l’auteur) : sans quoi vous faite une ‘adaptation’ ou même carrément autre chose.
    Ca suppose éventuellement de connaître l’oeuvre entière et la vie de l’auteur … et parfois de tout ce qui s’est dit là dessus : encore que ces connaissances puissent être perturbatrices … car vous traduisez UNE chose précise et pas une vie.

    Bref la traduction n’est pas une translation , c’est une re-création qui s’inspire d’un objet et qui accepte de se re-comparer, après coup, avec cet objet.

    D’ailleurs la traduction existe aussi dans une même langue : lorsqu’ on réactualise des textes anciens, lorsqu’ on théatrâlise un roman, lorsque l’on fait des adaptation, et même en théâtre lorsque les metteurs en scène se permettent de nombreux changements à des oeuvres manifestement trop verbeuses (pour notre présent …)

  6. Avatar de Vincent
    Vincent

    D’où vient ce haiku et quelle en est la date ?

    Son prédécesseur n’avait-il pas écrit:
    Pour seul
    Refrain
    Une marseillaise
    En guise de brabançonne

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