Pas vraiment, c’est plutôt l’inverse : que plus personne n’a besoin de connaître une autre langue que sa langue maternelle.…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Pas vraiment, c’est plutôt l’inverse : que plus personne n’a besoin de connaître une autre langue que sa langue maternelle.…
@Pad Oh… Désolée, je n’avais pas encore lu vos commentaires avant d’écrire le mien à 16h03. Je constate que ChatGPT4…
« On est au cœur des choses ici : l’IA reconnaît elle-même qu’elle utilise des mots dont elle ne connaît pas…
Voir John Berger sur ce sujet (ses articles dans le Diplo, une trentaine, notamment celui-ci sur le « regard du fou »……
Pour compléter : les T.I.C et les réseaux , c’est ça : https://www.submarinecablemap.com/ Carte des câbles sous-marins
les TIC et le monde de la finance : la guerre des T.I.C => la guerre des IAs en tant…
@Khanard le droit tout court, et il est apparent forcément. L’évolution du droit légalise des pratiques qui n’auraient pu antérieurement…
@Chabian Comme pour les doigts, il sait pas bien compter, ou reste indécis sur la perspective, c’est pourtant la première…
@Ruiz de quel droit apparent parlez vous ?
Il semblerait que la théorie des plausabilités (Cox-Jaynes) ne soit justement pas statistique, car non basée sur une approche fréquentielle,…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
54 réponses à “Crise : Gestion des toxiques et relance. Une méthodologie ? par Pierre Lang”
@ Fab Avant de répondre ou questionner il serait convenable de lire ce que l’autre écrit…
bien que la question ne s’adresse pas à moi je propose quelques pistes relatives à ta question bien que le terme de religion soit impropre.
G.Bateson (anthropologue, biologiste et épistémologue) : « une unité sacrée » seuil (1996) . Du même auteur : la nature et la pensée et vers une écologie de l’esprit…Ca pourrait te plaire..Cordialement.
@ et alors
Je connais beaucoup mieux les écrits de René Thom sur ce pour quoi il est reconnu (médaille Fields, équivalent de prix Nobel pour les math) que pour ce qu’il a écrit au-delà de son champ disciplinaire.
Il ne me semble pas difficile d’imaginer le cheminement de la sélection naturelle pour aboutir à l’asticot au bout de la langue de la lamproie. Je ne croie pas que la lamproie ait eu besoin de se faire une idée de l’idée de ses proies. Il me parait beaucoup plus facile d’imaginer que l’homme imagine cette solution parce qu'(il croit qu’)elle s’applique à sa façon de penser (sa prédation en particulier).
Une question aux lecteurs du blog : lorsque vous parlez d’un sujet (par exemple la biologie, ou la création de monnaie), connaissez-vous les bases expérimentales et savez-vous faire un calcul simple ? Par exemple connaissez-vous les échelles de vitesse de mutation d’un être vivant suivant son environnement, et savez-vous divisez un nombre d’années par une vitesse pour aboutir à une évaluation permettant d’établir la crédibilité ou non d’une « théorie » ?
J’apprécie le blog et l’humeur de Paul Jorion et l’en remercie, mais je suis parfois dérouté pour ne pas dire navré par l’absence de sens du raisonnement et du calcul (donc de sens scientifique…) de beaucoup. Je ne dis pas que le mystère, la poésie ou la littérature ne sont pas parfois savoureux, mais ne prétendez pas élucider ou comprendre le monde par le mystère, la poésie ou la littérature. Il est facile de critiquer la science lorsqu’on ne la comprend pas. Si vous cherchez à me convaincre que la littérature explique des choses, je pense que j’arriverai à vous contredire. Bien que non spécialiste en littérature.
« L’art de l’ingénieur » : dessiner un pont avec la pointe sèche d’un Dürer… mais faut-il mobiliser toutes les énergies pour étançonner le pont, l’art de l’ingénieur ne s’applique-t-il qu’aux ouvrages mammouths et en PowerPoint ? Et puis, je vais vous dire mon angoisse : un monde dans lequel quelques ingénieurs feront croire un moment qu’ils s(ont) la solution aux problèmes n’aurait-il pas, comme idéal, un monde de robots consentants au service de leurs maîtres ? Libérons le bricolage populaire !
Etat Ruiné – Et d’abord le « pont »Fortis, dont la faillite le 26 septembre eut, d’un coup sec, mis la moitié des Belges (ménage et entreprises) en mort sociale immédiate(1), est-ce bien sérieux de le reconstruire ? Ne pouvons-nous oublier quelque peu les ponts et commencer à construire de petites barques ? Car quoi, ce n’est pas Fortis qui s’effondre, mais une société tout entière. Salariés, épargnants, entreprises, petites et grosses fortunes s’identifient à une banque, laquelle est dirigée par le gratin de la nation, « peopolisée » à Knock le Zoute et sanctifiée par le prince ! – Hypothèse extrême – Tout l’effort serait perdu pour avoir joué la grenouille qui voulait manger Amro. Dans une modélisation, le pas décisif est de poser les limites du système; et bien, si j’étais économiste je me révolterais d’être le seul bouc émissaire ! « M’enfin quand même », ne savez-vous pas combien de marchés de dupes, de marchés truqués, de compromis à la belge, combien de Clowns d’État alcooliques il a fallu pour pousser Fortis. Allez-vous oublier les efforts que nous avons consentis pour parvenir à estomper la norme : Alzheimer sur l’attribution « d’Otan » de tunnels et de glaives inutiles, combien de nomination truquée aux postes de balayeur, « en chef », mais chargé de l’activation du pool des chômeurs communaux ? Pensez-vous donc que Fortis soit étrangère à ce rêve communiste réalisé ? – Etat actuel – État dont le gouvernement élu se cherche sans se trouver pendant plus d’un an, pour tomber, par un curieux sursaut de décence, parce que les règles de l’État de droit n’auraient pas été respectées, seulement la veille? Vers une méthodologie, pt.3 produits toxiques – : « produit toxique », Cela sonne « novlangue de bois » il me semble; à retraduire par – transactions entre escrocs en complet gris et groupes de benêts bercés d’argent confortable, mais dont le produit est à charge de tous les autres ! Faut-il espérer que l’ingénierie nous lavera de cette merdouille (comme dans ma réponse à votre précédent billet, je vois que je persiste, à écrire non pas sur la table du salon, mais bien sous la « commode »). Que deviennent les produits toxiques, quelle mafia les enterrera ? La question est déjà dans la presse et le nouveau gouvernement « en est pendu », par commissions interposées, aux démêlés entre les actionnaires ruinés de Fortis holding et la stratégie de BNP Paribas. S’il s’agit de diluer le fond du vase avant de l’avaler, autant savoir qui et à quel moment boira la soupe ? Ha, mais nous tenons à notre dignité de Belge : sauvons l’état de droit bafoué ! Le 26 au soir, qui était aux manettes : une poignée d’hommes et de femmes politiques indignes de Montesquieu, le croyez-vous ? Le droit n’y avait rien à faire, la valeur des actions pourries concentrées dans Fortis holding s’est jouée au rapport de force (merci Aristote) entre quelques milliers d’actionnaires dans la rue, ou la moitié d’une population ! Certes aujourd’hui les actionnaires (et chacun de nous les comprends, là n’est pas la question) voudraient revenir en arrière, et crier « nos sous » ; c’est trop direct, mieux vaut « procédurer », adopter la tactique de « la défense de l’État de droit », la négociation suivra. Certes, je suis aussi pour défendre l’État de droit ! Mais que ne l’ont-il défendu durant ces trente années de casse sociale, et pourquoi avoir attendu que les tirelires soient en morceaux ? : La solution est indépendante de la genèse du problème-, soit, mais alors, pourquoi garder le même problème. Arrangeons-nous pour en aborder d’autres, plus sympathiques
Montage – Le pont est lieu d’octroi. Les gens de la rive A vont travailler dans les usines de la rive B et inversement, des marchandises fabriquées en B sont achetées par les A dans des magasins situés en A, mais dont les propriétaires sont de B ; (le tout en miroir et ricorsi, cela nous fait une fameuse boîte noire, dans laquelle faire circuler nos pots de yaourt). « Gare au protectionnisme », tonne « Pascal Lamy »(2) ! Assurément les filles de A aiment bien les gars de B et réciproquement, alors là, je suis d’accord continuons à traverser le fleuve, mais autrement. (Montage bis), en avant les ingénieurs inventez, et ne nous faites pas croire que nous ne pouvons rien faire d’autre que de réparer le pont ! L’image à séduit au JT, « ce n’est pas au milieu de l’incendie que l’on dessine les nouveaux plans, nous verrons ça après ». Les nouveaux plans sont déjà en route, éoliennes, microcrédit, captation des terres agricoles… modélisez moi donc ce qu’il y a de marron dans ces boîtes noires, çà pourra servir… Pour traverser le fleuve, à côté de rafistoler le pont, nous avons besoin de guinguettes sociales, d’atelier de canotier, chapeau et barques en bois vernis, d’accordéons, il va en falloir des écoles d’ingénieurs pour que tout ça nourrisse son monde et fonctionne harmonieusement avec les abeilles, mais ça sera tellement plus gai ! Que de beaux travaux, de belle vie et non pas de l’emploi vulgaire, mais de l’ouvrage en perspective, et en plus pour Jorion rêvé aux étoiles en pédalo hydroptère! En avant la croissance de la décroissance, en avant les outils conviviaux! En avant les crayons pointus, sortez-nous les SEL de l’âge de la pierre, inventez-nous la monnaie de l’avenir, et surtout, dégagez-nous des « pôles emplois », et autres académies du repassage ! Bien entendu, ne nous noyons pas dans l’entrepont, pendant que ça coule, essayons de faire mieux qu’à la Bérézina, il faudra bien quelques pontonniers se sacrifient c’est bien, merci à vous les gars, mais nous ne faite pas croire que nous retournerons vers Moscou !
(1) Joëlle Milquet, Ministre de l’Emploi, RTBF, ce jeudi matin.
(2) Pour Lamy, France inter, mercredi matin, « il faut remplacer le capitalisme », mais ajoute « il est monstrueux de parler de décroissance à trois-quatre milliards d’êtres humains », il a raison sur les deux points ! Toutefois, à quoi rime encore cet ostracisme sémantique sur le mot « décroissance » alors que nous pouvons presque tous, aujourd’hui, nous entendre sur multiplication d’outils et de circuits économiques conviviaux – au sens d’Illich – ?
C’est réglé : Obama va faire fabriquer des panneaux solaires aux américains : ça tombe bien , des chercheurs ont justement publié une étude sur l’évolution du climat : c’est la cata. Et attention petit américain, si tu ne veux pas mettre de panneaux sur ta maison, tu pourrais bien passer pour un affreux fasciste (un peu comme les fumeurs de cigarettes). Comme quoi on pourra toujours recréer de l’activité économique avec un peu de civisme et de confiance…
Réponse à Fab 20:53
J’ai mes limites comme tout le monde et j’utilise la langue française à ma façon, avec ce que je crois comprendre, moi, des mots que j’utilise. Il est probable que ceux qui me lisent ne donnent pas le sens aux mots que j’emploie et que l’on m’interprère de plus. De plus, il m’arrive d’être un peu impatient, par exemple pour passer à autre chose et mes phrases sont mal construites, avec des fautes d’orthographes.
Point 1. Le mot connerie ne fait pas partie de mon vocabulaire. Pour une fois je me suis laissé allé et j’ai passé xxxx-à-la-con. Mon corps calleux (entre cerveau droit et cerveau gauche) dont le débit est très réduit (comme tout le monde) a laissé passer.
L’intelligence. J’ai écrit de nombreux documents là-dessus, un sujet bien complexe. J’espère qu’aucun psychologue ne lira ce blog, car je me suis autorisé (pour moi, pour moi seulement) à bâtir un simulateur de cerveaux hétérogènes où 30 formes d’intelligence très différentes interagissent les unes avec les autres. Elles sont corréléées, pour l’une à des personnages de la littérature … pour une autre à des modélisations logiques d’esprits rationnels … etc.
Il y a des milliers de sujets sur lesquels je doute, mais je suis certain que la connerie n’est pas la décontraction de l’intelligence. Dans cette observation, j’associe connerie à bêtise. Pour moi, les trente formes d’intelligence précitées ont des atouts que l’on ne trouve nulle part ailleurs, mais aussi des revers que l’on trouve souvent à plusieurs endroits.
Point 2. Pour l’instant je ne suis pas tellement un sacré déconneur … c’est surement pas ce que l’on pense autour de moi.
Point 3a. Je n’ai plus la fraîcheur de mon esprit prépubère. Je crois que ne me souviens plus du tout de la façon dont mon cerveau fonctionnait alors. Et je ne sais pas méditer.
Point 3b. L’Homme avec un grand H. Pour moi, le concept Homme ave un grand H n’existe pas, n’est pas même esquissable pour servir je ne sais quelle théorie. Il est toujours singulier. Déjà avec mes trente classes qui passent à 90 selon le climat est encourageant ou désolant, il y a beaucoup de psychologues qui viendraient me taper dessus, tous les champions du DSMIV.
Point 3c. En règle générale, disons pour 98% des gens, le changement est intolérable. Il faut l’accepter, c’est un fait physiologique. Peut être que des neurophysiologues sauraient l’expliquer. Je vais prendre un exemple concret. Le matin, après avoir petit-déjeuné, je préfère filer composer ma meilleure idée prioritaire du matin. J’ai vraiment en horreur la pile du courrier qui attend. Il me faudrait une très sérieuse thérapie de plusieurs années pour commencer la matinée à traiter le courrier.
A la question « Pensez-vous que les femmes et les hommes soient prêt(e)s à quitter leur religion ou « croyances absolues » ? Ma réponse est NON. La personne qui appartient au % qui répond OUI aimerait sans doute changer de croyance, mais son cerveau le peut-il ? On ne fait pas avec ce que l’on veut.
Transition. Les deux mots « Autrement écrit » devraient être rayés. Il n’y a peu de corrélation entre la question qui précède et la question qui suit.
Point 4a. Qui peut croire que la Société de Consommation soit une fatalité ? Pas moi.
Point 4b. L’expression « Systeme Economique » n’a, pour moi, pas de sens. L’économie n’est pas un système, car elle est au moins autant fantasque, humaine, irrationelle, etc. que codée.
Pendant des années j’ai suivi des cours sur la « Dynamique des Systèmes Complexes ». Un livre d’économie peut au mieux tenter de modéliser tel ou tel sous-système avec tel ou tel jeu d’hypothèses.
J’ai un peu tort en disant cela (j’ai envie d’en finir). En effet, j’ai la faiblesse de croire le sigma de toutes les formes de modélisation mathématique pourrait contribuer à mieux représenter le réel y compris celui que l’on dit économique. En effet, tel l’amoureux ravi, je suis séduit par les théories sur les différentes de chaos dont le chaos frustré. J’adore le « <Diagramme de bifurcation de la logistique » (de Feingenbaum, je crois). Je suis frustré de pas comprendre les paramètres &beta: (beta) qui sont en abscisse. .
Vu mon âge, cela n’existait pas quand j’étais à l’école et je n’ai eu aucun prof pour me l’expliquer. Ce diagramme est la page 87 de l’excellent livre « Des réseaux et des sciences » (Biologie, Informatique, Réseaux, Sociologie, l’omniprésence des réseaux d’Hugues Bersini (Ed. Vuibert). Je m’arrête là. J’ai des livres entiers (non publiés) sur tout cela.Bref, pour celles et ceux que j’ennuie, j’en ai tiré la conclusion que le bonheur se trouvait à la frontière du chaos, en faisant bien attention de ne pas s’approcher trop près des quatre formes de ravins.
Point 5. Je n’ai pas très bien compris à quoi je devais répondre OUI pour vous faire plaisir. Je crois deviner ce que vous vouliez dire et — pour le mot « viable » je réponds OUI, absolument, sans hésitation.
J’ai articulé tout un ensemble de compositions hétérogènes et complémentaires entrelacées. Non seulement c’est viable mais c’est une belle civilisation, respectueuse des individus et de ce à quoi les gens sont habitués. .
La difficulté « artistique » c’est que cela n’appaisse pas comme un changement. C’est possible. J’y travaille depuis des années. La difficulté majeure, celle qui a multiplié les années de réflexion, c’est de houspiller le dogmatisme en dehors du terrain. .
Aussi, pour le mot « religion » je réponds NON, catégoriquement, pas venant de moi, pas davantage venant d’un tiers et qui me serais destiné.
Résumé du point 5 ; OUI et NON … je suis normand. Mes études secondaires se partagèrent entre le lycée Fontenelle et le lycée Corneille de Rouen.
Bonne réception.
Hum, mais comment empêcher les chinois de fabriquer des panneaux solaires 10 fois moins chers…Je n’y avais pas pensé ; et Barack ?
Nadine dit: 8 janvier 2009 à 8 : 15
Non, ce n’est pas Lyndon LaRouche, mais Clifford Hugh Douglas (1879-1952), ingénieur britannique d’origine écossaise qui inventa le – Crédit-Social – (qu’on peut aussi appeler: Argent-Social) en 1924, dans son livre: Social Credit.
Mais bien sûr, loin du Crédit-Social évidemment, voici ce « qui nous attend »(?): un genre de gestion des toxiques et la relance? RV pris le 2 avril prochain à Londres, par un grand inconnu, sorti de nulle part, et qui aurait mal supporté que Barack Obama lui fauche la vedette mondiale…
http://www.lefigaro.fr/economie/2009/01/08/04001-20090108ARTFIG00558-capitalisme-financier-sarkozy-met-en-garde-obama-.php
@ François Jéru
C’est dommage que votre billet en X parties se retrouve enfoui dans les commentaires d’un billet s’étalant déjà énormément dans notre espace cérébral. Vous semblez être une vraie vieille bique débordant d’expérience, et ayant toujours échappé au loup. Vous auriez des éléments à verser au dossier méritant plus de visibilité.
Le monstre grandissant, depuis des décennies, pour ne pas annoncer des siècles, semble être de l’ordre des choses.
Néanmoins ce qui est très gros devient trop gros, et fini toujours par tomber. Tous les empires s’effondrent parce qu’il est de la logique d’un empire de s’effondrer par l’abus de ce qui l’a aidé à se constituer. Le moment vient où il ne peut plus épuiser davantage ce qui l’a alimenté, pour occuper tout l’espace.
Ne serions nous pas au moment où nous touchons justement les limites d’expansion de la bête, ce moment où on ne peut qu’aller dans l’autre sens, malgré le désir de cette autorité manipulatrice, de vouloir retenir l’ensemble de ce qu’elle a accumulé.
La position stable n’existe pas.
N’hésitez pas a en lâcher de jolies ( non, « on » ne surveille pas les commentaires sur ce blog, ce serait trop long à éplucher ), sur le jeu du banquier, pour offrir plus de pistes, afin de mieux comprendre où lancer ses lassos aidant un peu prématurément, à terrasser le carnassier, mais qu’il ne tombe pas sur le parterre en capucines, éradiquant les capucines.
@ pariste… rassure-toi, je ne suis pas un fan du finalisme…ni de Thom..et de Zeemann…
« Il est facile de critiquer la science lorsqu’on ne la comprend pas »… La Science ? économique, politique, sociale etc ? Ou le « scientisme » ?
Rappel : Prigogine (Prix Nobel).. »La fin des certitudes »…aussi par le raisonnement et le calcul… Pas encore le début de l’humilité…
Epistémologie :
– Théorie de la connaissance et de sa validité
– Étude critique des sciences, destinée à déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée. Épistémologie philosophique ou philosophie des sciences. – Spécialt. Étude des théories scientifiques, indépendamment de la méthodologie. (Le Grand Robert)
-De tradition et de vocation, l’épistémologie est le lieu où se débat de la manière la plus particulière et précisée le problème philosophique de la vérité; le lieu où ce problème est projeté, circonscrit, déterminé, effectué. C’est le support où toute théorie de la connaissance, quelle qu’elle soit, est obligée d’aller prendre ses valeurs. Michel SERRES, Hermès I, la Communication, p. 62.
Monsieur Jéru,
Merci de votre réponse.
Point 1. Désolé pour la connerie ! Et encore une fois merci d’être passé au-dessus. Chez moi, j’habite plus au Sud que vous, vers là où il n’y a pas de jardins du roi, on donne à connerie et déconneur un sens un peu différent de celui du petit Larousse ou du gros Robert. Par exemple, pour essayer de vous situer, imaginez-vous (un peu ce que vous proposiez à M.Jorion) à une terrasse d’un bistrot, le soir, au bord de la mer, les dernières cigales chantent…un verre de votre apéritif préféré à la main, entre « amis »:
-« Oh ! François ! T’as compris ?! »
-« Bien sûr, mon corps calleux (entre cerveau droit et cerveau gauche) dont le débit est très réduit (comme tout le monde) a laissé passer ».
Là, vous auriez droit à une grosse tape sur le dos et un :
-« Qué déconneur ce François ! »
Point 2. Voir Point 1.
Point 3a. Il devait faire frais dans votre entourage, à l’époque…Mais je sens encore un courant d’air.
Point 3b. Je n’ai pas tout compris, notamment vos 30 classes qui passent à 90 suivant le climat…Quant au h ou H, vous siérait-il, siérait-il à votre singularité d’homme, que j’utilise la notion de votre 3c, à savoir les 98% ? Vous n’aimez pas les arrondis ?
Point 3c. Vous dites que pour la quasi-totalité d’entre nous le changement est intolérable. Je ne suis pas d’accord. Est-ce un constat, une déduction, une déception ?
Mais supposons, qui sont alors les 2% ?
Et puisqu’il apparaît que l’on peut faire prendre des vessies pour des lanternes à beaucoup, que l’on peut envoyer à la guerre beaucoup de gens par exemple, que l’on peut « du jour au lendemain » faire accepter à beaucoup qu’ils ont un Dieu et que ce Dieu a une belle barbe blanche, un fils…j’aimerais savoir ce que vous appelez changement et donc quelle est la limite de l’intolérabilité dont vous parlez…
J’ai du mal à comprendre votre exemple concret : « je préfère filer composer ma meilleure idée prioritaire du matin », selon ce qu’est cette idée prioritaire…on peut parler d’animalité et le changement viendra avec le temps !
Je suis déçu par votre NON. Il est vrai que j’ai du mal à définir correctement ce que j’entends par religion. J’ai essayé à plusieurs reprises sur ce blog, mais je tourne en rond : sens de la vie, occupation, carotte, motivation… ? Par exemple, pour les Shadoks, cette « religion » c’était (c’est ?) pomper…Peut-être comprenez-vous mieux maintenant ce que j’entends par religion.
Transition : à vos 30 ou 90 intelligences répertoriées peut-être pourriez-vous ajouter la mienne ? Ca me plaisait bien le « autrement écrit », surtout que ça permettait de préciser ma pensée ! L’intelligence est la chose la mieux répartie dans l’humanité : chacun est persuadé d’en avoir…assez ! Je précise donc :
Définition (ma définition) de « Etre prêt à changer de religion » : être prêt à nier que la société de consommation ou le Système Economique soit une fatalité, une nécessité pour l’humanité.
Point 4a. Désolé, je n’ai pas compris.
Point 4b. Par Système économique j’entends à nouveau « religion » comme j’ai essayé de la définir plus haut. C’est plus la façon dont nous vivons par et pour l’économie que les mécanismes internes. Je vous rejoins totalement sur l’approche que vous avez de ces mécanismes internes et vais même un peu plus loin…
Quelles sont les 4 formes de ravins dont vous parlez ?
Point 5. La porte est ouverte. J’aimerais vraiment en savoir plus sur cette belle civilisation viable que vous envisagez, respectueuse des individus et de ce à quoi les gens sont habitués…
sur cet « ensemble de compositions hétérogènes et complémentaires entrelacées », bref, sur l’art et la manière.
Au plaisir de vous lire.
PS : j’aurais aimé écrire ce que barbe-toute-bleue vous a écrit(http://www.pauljorion.com/blog/?p=1448#comment-13919)
M. Pierre Lang sait-il que certains lui ont répondu..
@pariste
Vous êtes probablement un homme de foi qui s’ignore, la vérité échappe définitivement au scientifique comme au poète car:
Aussi sûr que vous soyez qu’une chose est vraie; il demeure toujours possible…
qu’elle ne le soit pas.
Notre seul moyen d’approcher le réel c’est le doute, éventuellement croire qui représente -LE choix-, dès que l’on est persuadé, convaincu, assuré, certain, on érige des barrages pour s’interdire de revenir en arrière, au doute.
La science, couteau Suisse, et son cortège de calculs mathématiques n’est qu’un autre moyen de détourner le problème, le reste; du dogme.
le scientisme est la nouvelle religion, avec ses totems-cathédrales, l’homme sur la lune, le téléphone portable, la fission atomique, autant de pierres dressées technologiques qui impressionnent le chaland qui crie au miracle : » je ne comprends pas mais, c’est manifeste, la science détient forcément la vérité pour réussir à produire des trucs pareils ! ».
Résultat tout le monde exige l’étiquette science sur son outil de pensée, ceux qui doivent se contenter de la pancarte pseudo-science sont furieux grrrr!
Le discours de la méthode, a du plomb dans l’aile depuis la preuve scientifique que l’expérience ne donne pas le même résultat si l’on en retire l’expérimentateur, merci à la théorie quantique (merci à Schrödinger notamment).
L’équation approche scientifique + réel = vérité ne fonctionne pas…
Il y à longtemps l’équation sciences + philosophie = métaphysique produisait un outil d’exploration du réel à dimension humaine et lui permettait de progresser à sa mesure.
La conscience de l’être était dans l’outil, la recherche de la vérité confiée à la sphère spirituelle, l’homme pensant, un être complet, et le monde était ouvert, tout plein des mystères dont il est toujours chargé (Je prends le pari que nous n’avons levé qu’un minuscule bout du voile de ce qui est connaissable) emplit d’espaces infinis à découvrir.
La porte d’accès érigée par le dogme religieux fut détruite en 1789 pour laisser place à un nouveau barrage: la vérité la scientifico-technologique.
Fab
Vous êtes impayable 🙂
Ou alors en monnaie de singe !
On vous découvre à chaque fois de nouveaux talents aujourd’hui Monsieur loyal !
Ouarf !
@+
@ Shiva,
Merci pour le compliment (?) bien que je ne sois pas sûr de le comprendre à sa juste valeur : Pourquoi dites-vous que je suis impayable et pourquoi M. Loyal ?
J’ai du mal à exprimer clairement mes idées (peut-être là ai-je été plus clair : http://www.pauljorion.com/blog/?p=1440#comment-13984). Peut-être pourriez-vous m’aider ? J’ai foi dans l’humanité et je trouve sa situation actuelle bien en dessous de ce qu’elle mériterait…C’est pourtant pas si compliqué à comprendre, non ?
Merci encore et @+
Fab
OUI, c’est un compliment, n’y voyez aucune malice je vous en supplie; vos propos m’ont fait rire ! au point 1 par exemple : »Point 1. Désolé pour la connerie ! Et encore une fois merci d’être passé au-dessus. Chez moi, j’habite plus au Sud que vous, vers là où il n’y a pas de jardins du roi, on donne à connerie et déconneur un sens un peu différent de celui du petit Larousse ou du gros Robert. Par exemple, pour essayer de vous situer, imaginez-vous (un peu ce que vous proposiez à M.Jorion) à une terrasse d’un bistrot, le soir, au bord de la mer, les dernières cigales chantent…un verre de votre apéritif préféré à la main, entre « amis »:
-« Oh ! François ! T’as compris ?! »
-« Bien sûr, mon corps calleux (entre cerveau droit et cerveau gauche) dont le débit est très réduit (comme tout le monde) a laissé passer ».
Là, vous auriez droit à une grosse tape sur le dos et un :
-« Qué déconneur ce François ! »
Et votre échange avec Monsieur Jéru m’a évoqué l’image suivante vous en monsieur loyal et lui en clown mais attention, un grand et gros clown au moins de la trempe d’un Raymond Devos !
Respect; pour ce mastodonte du langage qui semble d’une culture bien faite, uniformément assise sur les sept arts libéraux, et pour vous, en « dompteur » capable d’approcher cette galaxie !
Je vous lirai : http://www.pauljorion.com/blog/?p=1440#comment-13984 et tenterai de vous « aider », peut-être pourrons nous progresser de concert !
Bien cordialement,
Votre dévoué Shiva.
@ Shiva,
Euh…Merci pour tout. Peut-être pourrons nous ensemble trouver la réponse à votre question « est-ce que nos prédateurs chassent en meute plus ou moins organisée et existe-il une (des) hiérarchies dans ce business de boite noire »…Une chose est sûre, j’ai bien peur que nous ne soyons pas assez de deux pour tirer un profit maximal des pensées de François Jéru.
Sincèrement.
@et alors dit « M. Pierre Lang sait-il que certains lui ont répondu.. »
Je viens de trouver votre question a propos de “boîte noire”, de “inpout/outpout”, où placeriez vous sur les schémas, Euroclear, Clearstream, Swift et cie”…et le contrôle de certains flux au nom du patriot act. parmi les 21 feuilles A4 de commentaires. Au risque de paraître un peu dur de la feuille (comme Tournesol), je dois bien avouer que je n’ai pas bien saisi la quintescence de ces 21 pages (je n’ai pas eu le courage de tout analyser en détails) ni le rapport qu’elles ont en général avec le sujet. J’avoue avoir été un peu découragé. En clair : si on voulait saboter ce blog, en délayant l’intéressant dans un tsunami verbal, on ne s’y prendrait pas autrement. Peut-être cette page Internet est-elle à l’image du monde politique et économique. Auquel cas, je pense pouvoir dire que nous sommes gouvernés à l’image de cette page. Preuve peut-être qu’on a les représentants qu’on mérite… et qu’on ne dois pas se plaindre (comme Belge capable d’autodérision, je crois savoir de quoi je parle).
Ceci dit, je vous remercie pour vos commentaires positifs ainsi que les autres lecteurs qui ont pris la peine de lire ce sujet et d’envoyer leurs compliments en commentaires.
Dans le sujet, j’ai fait exprès rester relativement flou sur la portion de monde économique que j’examine, car on peut aussi bien utiliser cette méthode d’investigation, à une entreprise qu’au monde entier, pour autant que l’outil convienne. Une « méthodologie » est un outil que je suggère d’utiliser pour essayer de comprendre certains aspects du problème…
Swift est un transporteur de monnaie, au même titre que des camions transporteurs de fonds, mon portefeuille plein de billets ou ma carte Visa. Il fait partie des moyens techniques que l’on a pour transférer l’argent d’un compte à l’autre. Sur un schéma représentant le monde économique, il serait donc dans une case séparée connectée aux banques (dont on peut, si nécessaire, mesurer les input/output). Mais il pourrait aussi être mis dans la boite noire. Cela dépend de ce qu’on veut analyser.
Le Patriot Act est tout autre chose qui n’appartient pas au modèle économique mais un élément de supervision, de contrôle ou d’espionnage extérieur… comme le contrôleur du fisc l’est pour votre compte ! Il ne fait pas partie de l’Autorité !
Pour moi, l’Autorité est en charge de la gestion de l’économie, conformément à la Constitution proposée par Paul Jorion. Si on suit l’idée d’isoler les produits toxiques, elle s’occupe de faire le nettoyage pendant la période de crise. Cela permet de découpler le redémarrage économique (action à court terme) et la réparation des erreurs (qui prendra du temps) tout en évitant de jeter l’argent public dans les trous noirs du montage financier.
Bonne soirée et bien à vous
@ Pierre Lang : Merci pour ces intéressantes précisions. D’abord d’accord pour le « on » (voulait saboter ce blog) Un « on » relevant de ..co, para, meta, auto.. sabotage ? Une structure « dissipative » ?
Mais je reste sur ma faim, ou plutôt ma gourmandise. Votre méthodologie (systémique, cybernétique..) qui a le mérite d’expliciter une épistélologie, permet, certes de réduire un certain « verbalisme affectif ambiant » et « trop mécaniste ».
Néanmoins, de mon point de vue, il reste encore trop « analytique », (critique qui se voudrait constructive). Nous recherchons la structure (ensemble des relations, de relations…), objectif ? Déterminer les régulateurs et servo-mécanismes accessibles à
nos actions ? ( importante question, car nous ne sommes pas seuls.Certains ont les plans et l’accès aux commandes)
Mais pour modéliser celà, vous avez déterminé des « parties », (banques, maisons, Autorité…) limitées par un cadre fermé et « communicantes » ( au niveau de l’information) ; les flèches…Je vous invitais à positionner les chambres de compensation et les réseaux dans votre
« logique » et y ajouter les flèches.
Si « Le Patriot Act est tout autre chose qui n’appartient pas au modèle économique mais un élément de supervision, de contrôle ou d’espionnage extérieur… comme le contrôleur du fisc l’est pour votre compte ! Il ne fait pas partie de l’Autorité ! »..
alors les limites deviennent floues, à différents niveaux d’organisation entre « l’intérieur et l’extérieur ».
Je vous suggère un troisième type de flèches: Ces nouveaux « vecteurs » portant des « noms » véhiculant l’information et « appartenant » à différents cadres… Mais là nous rentrons dans une vaste histoire..
Je vous suggère de demander mon adresse à Paul J. avec mon accord. Il l’accepte. Au cas où vous chercheriez des partenaires souhaitant coopérer à votre enrichissante « méthodologie », j’en suis.
Cordialement.
@et alors
Nous ne sommes pas (encore) sur la même longueur d’onde… Ayant écrit, cela dépend de ce qu’on veut analyser, cela implique de définir préalablement et précisément l’objectif poursuivi. Je suppose que votre sensation de flou vient de là, flou qui est encore plus grand que le mien.
J’ai débuté l’écriture du texte en me posant la question très générale de simplifier la compréhension d’un système où personne (y compris les inventeurs de ce système) ne comprend rien (au-delà de ses principes de base) comme si se système vivait sa vie de façon indépendante de l’homme (et dire qu’on craint que les polytechniciens robotisent trop le monde!).
Je me demandais comment répondre à la question suivante : « Personne ne comprend rien donc personne ne connaît (ou n’ose regarder en face), par exemple, l’ordre de grandeur de la crise (du point de vue de x ou y), ni quoi faire à par fuir en avant les yeux bandés. Y-aurait-il un moyen de contourner le problème ? ».
Dans un premier temps, je suis allé voir ce qui se passait aux limites du système. L’idée de la boite noire n’est venue qu’ensuite… Si je disposais de chiffres, j’aurais essayé de poursuire en indiquant, par exemple, le montant total des emprunts, etc. Par contre au final, j’ai abouti à une conclusion qui n’est pas directement une conséquence du reste du texte : isoler les toxiques. Cette conclusion me paraît très utile et porteuse d’efficacité (relire la fin : « Banques belges », qui est un titre restrictif car il y a certainement de nombreux exemples de ce genre sur le terrain). Je le sens mais le prouver cela dépasse mes compétences actuelles.
Il me semble que vous êtes plutôt sur la piste (très intéressante) d’une modélisation graphique du système ? Le concept de boite noire servait, dans mon esprit, plus à faire un bilan (de préférence chiffré) qui puisse peut-être fournir une nouvelle vue sur la question.
Vous me suggérez de rajouter des flèches. Il y a 4 dessins dont le 4ème est censé être ou devenir le plus simple pour tirer des conclusions pratiques sur un aspect donné du problème. Je veux bien, mais il faut d’abord savoir à quelle question on souhaite répondre. Ensuite, on peut mettre tout ce qui est en dehors du champ d’investigation dans la boite noire, regarder ce qui se passe à l’extérieur… et poursuivre l’analyse…
Bon WE à vous
Pierre Lang,
Bonjour,
L’urgence de la situation nous pousse à rechercher des solutions, rapides et efficaces, en se donnant le temps du moyen et long terme pour « refaire le monde » 100% d’accord.
Votre proposition de gestion en « black box » est LA solution évidente, c’est bien ce que réclame un nombre croissant de citoyens, dont je fais partie, et qui pourrait se résumer par la proposition de l. lare ouche (désolé pour les minuscules, c’est pour passer le big brother électronique du bureau des recoupements (ça fait froid dans le dos !)): « déclarer la banqueroute de la finance et isoler le crédit à l’économie ».
C’est tellement évident qu’il serait, pour le moins, judicieux d’éviter de laisser mourir les entreprises et jeter les employés dans la rue, parce que « les acteurs des
marchés ont cherché à obtenir des rendements plus élevés sans évaluer les risques de façon adéquate et sans faire preuve de la vigilance requise » comme on dit à pudiquement Washington, qu’on fini par se demander pourquoi nos politiques n’y on pas pensé ?
D’autant que les « branchement » seraient assez simple, il suffirait de diriger le crédit des banques centrales (grandes absentes de vos schémas, il me semble ?) directement vers l’économie au travers des banques commerciale en 2deux ou trois semaine il serait facile de « tricoter » une loi qui assignerait aux banques commerciales de vendre ce nouveaux produit. Actuellement on voit la « pompe à phynance » injecter des flots de liquidités de moins en moins chères, sur un terme de plus en plus long avec un gouillet de plus en plus maigre sortant à l’autre bout !
Peut-être faudrait-il ressortir le « crochet à nobles » du père ubu (pas de majuscules, sinon garre !) ?
Et qu’on ne vienne pas me dire : »olala l’inflation ! » parce que si c’est cela que l’on craint ici, il vaut mieux mettre la clé sous la porte et partir piqueniquer à la campagne.
Une question prépubère : »ou qu’ceti qu’sa coince ? »
NB: @et alors; vous prenez le fameux blog de p. jorion (pas de maj…) pour un site de rencontre? cessez d’essayer d’entrainer le ingénieurs derrière l’église, faites donc vos « truc » en place publique svp, je sus certain qu’il y a plein d’autres voyeurs que ça intéresse !
@Shiva,
Pourquoi le NB ? Le mot « truc » est mis pour quoi ? Merci 🙂
@Pierre Lang (et et alors)
j’ai pensé que vous étiez le premier concerné par les trucs en question, remarquez que si cela se passe derrière l’église vous n’aurez pas long à faire pour aller à confesse (tout en un seul mot bien sûr).
Alors que l’on brule un peut partout l’hérésie dans les rue de ce blog je me suis permis cette pantalonnade burlesque sur la grand place.
Bon, c’est vrai, j’ai complètement dérapé, un dimanche en plus !
Je vais de ce pas vous quitter laplace pour aller battre ma coulpe…
Reprenons nos rats de cave et nos pioches pour continuer l’exploration de l’underground financier.
Pensez-vous qu’un ingénieur/chercheur en urbanisme serait utile ici ?
PS: Il n’y a pas de NB.
Ouf après moult recherches et vérifications studieuses je suis bien obligé de reconnaitre que l’on est pas dimanche !
Je me reposerai demain…