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un certain Julian que je n’ose même pas nommer ici N’hésitez pas à mentionner Julian Assange, je vous rappelle que…
Demander gentiment aux IA de nous aider à nous débarrasser de ce que je persiste à nommer (capitalisme) et que…
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Je vous fais confiance : vous n’auriez pas été ébranlé par l’invention de l’imprimerie il y a 570 ans, ni…
https://youtu.be/Wo_FVJhzaG0?si=K4nZ8PKnhL45_ofe » Un rescapé de l’Holocauste parle du déni de la société israélienne sur les massacres de la Palestine «
https://www.youtube.com/watch?v=QLOwycKenCI » En 1965, le philosophe Paul Ricoeur commente la contre-culture beatnik «
@Tout me hérisse ce n’est pas dit ainsi . >A la chambre des représentants les élus du PR font une…
@l’arsène « Mais c’était pour confirmer aussi que la troisième guerre mondiale est en très bonne voie car vouloir à tout…
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20 réponses à “Histoire du système bancaire du Grand-Duché de Gerolstein (II)”
Ca devient trop compliqué à suivre ce blog…il faudrait presque que j’embauche une secrétaire pour suivre tous les messages sur tous les billets ! Donc je me permets de répondre sur ce billet…bien que le lien soit mince ! L’idée que j’ai exprimée comme quoi le fait de focaliser sur le côté économique, pour ne pas dire obscure, était une erreur colossale est restée sans réponse.
Donc, pour info, ce soir, en Sarkozie (c’est ça le lien…), il y a avait une émission radiophonique sur France Inter, le téléphone sonne, consacrée aux toxicomanies : cannabis, alcool, cocaïne, héroïne, ecstasy y tutti quanti…Pas un mot, pas une allusion à l’argent, à l’économie…On nous parle de produits toxiques….mais là, rien ! De temps en temps on nous ressert les histoires sur les accros du casino et autres jeux de paris…mais pas un mot sur la façon dont on rend nos enfants accros à la consommation…Rien ! A part ça tout va bien. La solution est économique. Ne vous inquiétez pas. Et surtout ne prenons pas le temps de nous regarder en face, de regarder les dégâts que nous causons à la planète et à ses occupants. La solution est économique, et nous allons concentrer toutes nos capacités cérébrales pour trouver la solution !!! Je rêvais d’un autre monde où la terre serait ronde…La planète Terre colonisée par des extra-terrestres !
Conclusion : l’héroïne, l’alcool, le cannabis…l’économie ça rapporte…ou ça occupe.
Il faut juste du temps pour comprendre , que les neurones s’habituent .
Pour les cancres, restera la solution de comprendre les choses quand elles seront arrivées pour de bon…
Et pis, si c’est trop compliqué, quelquechose me dit qu’on peut toujours méditer la fin de l’épisode :
« « Von Grossgeld », dit-il, « l’argent dont le peuple dispose, c’est bien la monnaie en circulation, n’est-ce-pas ? Or cette somme semble diminuer régulièrement… ». « Ne vous inquiétez pas, Chancelier », répondit von Grossgeld, « c’est ici qu’intervient la titrisation… »
LA SUITE ! Houps , la suite, la suite !
Je viens de lire que Harry Markopolos, l’homme qui avait dénoncé le schéma pyramidal de Madoff dès 2000 à la SEC (celle-ci faisant la sourde oreille), a connaissance d’un autre schéma pyramidal et qu’il le dénoncerait demain devant la commission d’enquête sur l’affaire Madoff. Celui-ci porterait sur 1000 milliards $!!!
Oups, pardon, j’ai mal lu, ce ne serait qu’un mini-Madoff de 1 milliard. Pfff, broutille…
http://news.yahoo.com/s/ap/20090204/ap_on_bi_ge/congress_madoff
Paul,
1) l’octroi de prêts remet de la monnaie en circulation, votre colonne « monnaie en circulation » est juste en variation, mais je pense qu’en niveau il manque à chaque ligne 45.000
2) l’argent des comptes d’épargne n’est pas reprêté ?
@ TL
Oui, c’est une bonne remarque. Il y a peut–être d’autres choses à modifier, donc j’attends un peu.
@ Paul
Pas d’accord 😉
En 1854, les réserves à la BC sont des pièces (transportées dans des seaux) étaient extraites de la circulation, qui sont immobilisées dans le coffre fort de la banque centrale (il faut appliquer le principe des vases communiquants appliqué à la comptabilité actif/passif).
En jouant sur des écritures comptables (faux et usage de faux, perversion des règles comptables, etc) on peut évidemment aboutir à la conclusion de la création de monnaie fiducière et/ou scripturale ex nihilo.
Si cela s’est produit dans la réalité, cela ne met pas le modèle de base en cause, mais bien le comportement des hommes dans une société régie par des règles, et le système de régulation et de contrôle de ces règles.
Mais j’ai peut-être mal compris l’origine du débat. Cherche-t-on à décrire le modèle monétaire de base et ses dérives éventuelles ou à décrire ex nihilo un modèle perverti ?
Dans notre monde de cabinets d’affaires écrire « dérive éventuelle » est une vaste blague.
Les dérives s’infiltrent dans chaque microfente de la règlementation…si elle existe.
Cette infiltration est-elle perverse?
En tous cas ,et là est la question de base, la dérive est en général « légale ».
@ TARTAR
L’infiltration est aussi perverse que le non-repect des lois…
Et sur ce point, il faut sans doute constater que le nombre de gens qui ne trichent pas ou ne profitent pas du système (à quelque niveau que ce soit) est relativement faible… => légale ? Non. Tolérée dans un consensus tacite global, tant que cela ne se voit pas trop, peut-être 😉
J’ai mis en ligne un modèle simplifié (fait en Excel) de triple compatbilité en partie double (emprunteurs / banque commerciale / banque centrale).
http://www.plang.be/blog/blog-2009-02/2009-02-05.php
Les deux simulations montrent notamment que :
# Le nombre de billets en circulation est indépendant des paramètres (r et b). En ce sens, le modèle monétaire est assez génial.
# Ce qui est appelé Mon-dette est un trou dans la caisse que la banque doit financer (capital disponible, emprunts, intérêts reçus, profits divers, titrisation, spéculation)
Conséquences
# Le jour où 100% des transactions seront électroniques, l’existence des billets n’aura plus de sens, car ils seront tous à la BC.
# A mon avis, les billets ne devraient donc être qu’un moyen de transport de monnaie, au même niveau qu’une carte à puce (porte-monnaie électronique).
# La BC serait (est déjà?) libre de les créer et détruire les billets.
# La BC transforme librement la monnaie scripturale en monnaie fiduciaire et vice versa, sans effet sur la masse monétaire en circulation.
# La création de billets est indépendante du modèle et se fait simultanément de monnaie scripturale (billets à l’actif et monnaie scripturale au passif). Elle dépend d’autres paramètres (notamment le pourcentage de billets dans les liquidités conservées par les emprunteurs).
# Quand on parle de faire tourner la planche à billets, ce n’est qu’une façon de parler, car en pratique il suffit d’un crayon et d’un livre de comptes.
J’attends avec impatience d’introduire la titrisation dans ces tableaux. Que les comptables se montrent…
@ Pierre Lang
J’ai jeté un coup d’oeil à votre modèle.
Intéressant… je programme aussi quelques petits trucs sous excel, qui essaient aussi d’intégrer les mécanismes de capitaux propres, et de plus-values financières sur actifs, ainsi que la croissance dans le temps de la dette, liée au mécanisme de l’intérêt.
Il faudrait, dans votre modèle, et pour chaque agent, distinguer deux types de bilans :
-un bilan « classique », i.e. concernant les stocks à un moment donné, en différents actifs
-un bilan des flux au cours d’une période étudiée
Des banques qui gardent des billets à l’actif… exotique ! Soit elles placent ça en réserves volontaires à la BC, soit elles le prêtent… mais il est vrai que cet exotisme est la contrepartie d’un autre exotisme (en tout cas pour nous) : une banque centrale qui met de l’argent en circulation par le don (ou l’achat) et non par le prêt (englobant l’achat d’obligations et le refinancement). Car chez nous la BC aurait prêté à la BCG, et donc les excédents même temporaires de celle-ci seraient affectées à un désendettement auprès de la BC, sous une forme ou une autre.
Mais que je comprends que for the sake of simplicity nous partions d’une monnaie exogène.
@ Fab,
Si! J’ai répondu à ta problèmatique, mais effectivement çà avance très vite donc les réponses complètes se retrouvent en pointillé sur les différents sujets de Paul
1) pour que l’économie soit une science, encore faudrait-il que la sociologie en soit une et capable d’expliquer correctement les troubles de la socialité. Sinon ce n’est qu’une singerie mathématisante copiant les science de la nature appliquées au vivant. L’homme est certes composé d’atomes, certes animal bilogique (gag de frappe: biologique! en fait tétralogique), mais ‘zoé’n’est pas ‘bios’, ya autre chose qui fonde nos facultés spécifiquement humaines! (j’ai écrit FACULTES, pour la valorisation je parle de FONCTION (et) NATURELLE.
2) il est donc de mon point de vue nécessaire et légitime que Paul se concentre sur les deux questions de création de monaie et de constitution pour l’économie car il y a urgence, mais il est tout aussi légitime et nécessaire de se projeter plus loin que les apparences immédiates des pbs pour comprendre ce qui humanise notre fonction naturelle tendant vers le toujours plus.
3) je te redonne ici la ref de ce qui me sert de base théorique, certes complexe, mais elle ne fait justement pas de différence sur les objets des psychopathies dont les addictions monomaniaques que tu cites en exemple car ce n’est pas l’objet de l’addiction qui importe mais le processus qui rend dépendant. Bref l’éternelle confusion des symptômes et des syndromes. Structuralement, les cas sont moins nombreux que ce qu’ils prennent en objet. Les boulimiques peuvent être totalement dépendant du chocolat ou des peanuts; d’autres du pouvoir de l’argent ou de leur religion!
http://pagespro-orange.fr/bcc/index.htm
4) le coeur théorique du problème est ds l’interférence des sociologie et axiologie dialectiques. Il s’agit de légaliser du légitime. Ce qui complique énormément l’affaire consiste d’une part à laisser les gens libres, mais d’une liberté comme résultat de ce processus dialectique incorporé (éthico-moral); d’autre part à institutionnaliser les codes que tu auras trouvé répondant au critère de la mise en opposition 2 à 2 des 4 formes de psychopathies: ce que l’une conserve encore ds sa faculté d’abstinence ( L’éthique) est perdu par l’autre et réciproquement. Le jour où tu trouves un truc répondant à çà, tu vas déclencher une résistance de tes interlocureurs qui vont s’étonner que tu ailles farfouiller ds la façon dont ils légitiment – inconsciemment aurait dit Sigmund – leurs désirs envies naturels; comme tu ne seras pas loin de constater que tu es en train de réécrire les Tables de Loi inspirées par qui tu sais à qui tu sais! Arrivé là, mes accouphènes me donnent des vertiges; ouh ouh Eugène qui (te) parle? je plaisante .
Je ne sais où placer cet appel de Robertson, je le mets ici. Paul le déplacera ou le supprimera s’il le souhaite..
James Robertson
A CRASH CAMPAIGN – URGENT ACTION NEEDED
The G20 Must Discuss Monetary Reform at its 2nd April Meeting
and We Must Make Sure It’s on Their Agenda
[…]
4 February 2009
@ TL
Je ne sais pas si vous avez remarquer ceci.
Dans les tableaux, la banque prête tout ce qu’elle peut prêter. A la fin, le nombre de billets qui lui reste (que j’ai peut-être erronément mis à l’actif) est égal à la réserve qu’elle a constituée (au passif).
Son nombre de billets disponibles pour prêter diminue à chaque cycle prêt/retrait (il y en a 13 dans un cas et 33 dans l’autre, aux arrondis près) jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus rien prêter.
C’est http://www.jamesrobertson.com/ (manquait le « t » de http..)
Que pensez-vous de cet article sur une directive européenne concernant les CDS dans les bilans des banques :
Pervenche Berès , EU : “Pas de CDS obscurs dans les fonds propres bancaires”
http://www.boursorama.com/opcvm/detail-actualite-opcvm.phtml?num=0451c8168a0fdd2d62f109fa4f1e14b7
extrait partiel de cette source
– Que souhaitez-vous en matière de compensation pour les CDS ?
Notre idée est la suivante : nous souhaitons que ne puissent être admis dans les fonds propres des banques que des CDS qui sont passés par une chambre de compensation. Faute de validation, les CDS ne seront pas admis comptablement.
– Comment fonctionnerait cette Chambre ?
Je ne vois pas la Banque centrale jouer ce rôle. Je pense qu’elle pourrait, idéalement, intervenir pour l’ensemble de la zone euro. Techniquement, elle pourrait être rattachée à un opérateur de marché où à une institution financière. Sur ce point, le débat est ouvert.
– Ce qui sera imposé au banquier sera-t-il également imposé aux assureurs ?
C’est à voir. Finalement, le débat que nous aurons ressemble à celui que nous avons avec la titrisation dans le cadre de la CRD qui devra aussi s’appliquer à Solva II. Je dois maintenant négocier avec le rapporteur de la directive CRD. Si tout se passait bien, nous pourrions arriver à un vote en commission économique et monétaire le 2 ou le 9 mars, puis en plénière dès avril.
@ Eugène,
Bonsoir et merci pour vos réponses. Cependant je ne saisis pas l’intérêt de quitter une réflexion uniquement économique pour passer à une réflexion uniquement…psychiatrique. Changer de référentiel pour changer de façon de couper les cheveux en quatre ne fait pas avancer le schmilblik ! Cette science qui vous tient à coeur est sûrement tout autant intéressante que l’économie… Le but n’est pas de réécrire les tables de la loi mais de savoir comment aujourd’hui s’en inspirer. Tout simplement. Toute autre démarche, plus compliquée, ne fait que s’identifier aux addictions ou psychopathies dont vous parlez. La manière d’aborder la solution est simple. Encore faut-il le vouloir et ne pas en avoir peur : http://www.pauljorion.com/blog/?p=1713#comment-16249
Vous parlez de zoé et de bios…Osez zoé !
@ Fab,
Ma réflexion n’est psychiatrique que sous l’angle où ce sont les pathologies de culture qui permettent de vérifier-falsifier des modèles anthropologiques montrant au passage aussi comment les humains en bonne santé « fonctionnent ».
N’ai je pas assez insisté sur cette fonction naturelle de VALORISATION en nous – avant d’être récupérée par l’économistique -pour que vous perceviez mon propos comme totalement décalé.
Autre point de votre message: s’inspirer des tables de la loi, certes, qd Moïse descendit de la montagne, que faisait la foule? vieille histoire donc. Autre exemple ds le jugement de Salomon (1 Rois 3) quelle est la différence fondamentale entre les deux femmes? L’une veut absolument gagner, ou devant Salomon préfère une situation perdante-perdante (soit un niveau d’humanité se situant ds la seule fonction naturelle de valorisation), alors que l’autre accepte ds un cri de coeur de perdre partiellement, manifestant ainsi son humanité à laquelle Salomon fait donc confiance. Quel est le ressort de cette perte partielle sinon sa propre faculté d’abstinence?
Donc au cas où je n’aurais pas été encore clair, ma réflexion se situe ds la question de l’humanisation des désirs- envies naturels à l’intérieur d’une anthropologie qui ne laisse rien ds l’ombre de nos autres possibilités, sans pouvoir aborder toutes les questions simultanément et j’en suis désolé … les fictions comme les théories nous permettent de mieux nous comprendre ns mêmes… restera juste à savoir lesquelles seront les plus opératoires sans qu’elles ne soient nécessairement en compétition
J’ai l’impression d’y voir plusieurs incohérences à ce texte, mais en même temps je suis pas économiste 🙂
Ca m’enpèche pas d’avoir l’impression d’avoir lu un nuréro de prestidigitation… avec des accents mis sur des « broutilles » pour que l’on porte notre attention dessus pour faire passer l’entourloupe précédente ou suivante.
J’y vois une inflation dù à ce model bien plus grande que ce que le tableau ne montre et chaque fois que je crois me raprocher de la coquille la problematique change:/