Sur les ailes de la technologie et de l’esprit, Hommes et machines tissent l’avenir écrit. De données et de modèles,…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Sur les ailes de la technologie et de l’esprit, Hommes et machines tissent l’avenir écrit. De données et de modèles,…
Quelle dépense d’énergie pour recréer ce qui existe déjà !😉
Dans les arcanes du pouvoir et de l’argent, Des dirigeants aux ambitions flagrantes, Comment réformer, oh douce espérance, Ces mécanismes…
@François M Pour la prise en compte de l’environnement extérieur on voit mal ce qui empêcherait une IA d’être doté…
Oui pour le moment et -tant que nous avons besoin des produits manufacturés dont nous renonçons à l’industrie (ça peut…
@Ruiz Pour les robots les chiffres (2022) sont à multiplier par 1000 : Chine :290.000 Reste du monde : 230.000…
@ilicitano La guerre pour ralentir ?
A propos de béton et après les multiples discussions avec Juannessy : le spécialiste en BTP ( barrages , tunnels…
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34 réponses à “Rions un peu – Les banques centrales (I)”
les recettes habituelles du régime d’amaigrissement :
http://tsunamifinancier.blogspot.com/2008/11/chronique-32-le-fmi-et-le-tsunami.html
Pierre Canart dit :
« Je pense au contraire que Trichet joue son rôle, celui de rempart contre l’inflation. Donner de belles primes aux dix « membres du directoire de la poste n’aura aucun impact sur le panier de la ménagère alors qu’augmenter le salaire de « toutes les infirmières ou des postiers… »
« D’autre part, il a sans doute quelques raisons de penser que les différentiels de compétitivité sont trop importants « entre les pays européens et que c’est cela le plus grand risque qui menace la monnaie dont il a la charge! A terme, la « zone euro ne sera pas viable avec des coûts de productions faibles en Allemagne et en Europe de l’Est et trop élévés « en Italie, Grêce, Espagne et Portugal. Ces derniers n’auront d’autre choix que de décrocher de l’Euro et jouer avec « leur monnaie pour pallier à leur incurie économique »
Ben oui justement il faut lire et écouter.
Trichet protestait bien contre le SMIC des postiers ALLEMANDS !
Donc le truc sur les différentiels de productivité et du cout trop faible des productions en Allemagne qu’il faut compenser ça ne marche pas avec les propos irresponsables de Trichet…
Zig zag quand tu nous tiens…
Je me souviens. C’était il y a, à peine, trois ou quatre mois. Quand j’ai vu apparaître les premiers « ballons d’essai » (un article dans « Le Monde », suivi de la très prévisible montée en chœur des « faiseurs d’opinion »), sur la « solution » qui était envisagée par le monde de la finance, à savoir le transfert sans autre forme de procès des dettes privées vers la dette publique. Je me suis dit, « c’est vraiment trop gros. Ça ne passera jamais. Les politiques n’oseront jamais cautionner quelque chose d’aussi inique. Les gens vont se révolter ».
On voit où l’on en est, aujourd’hui.
Non seulement la « solution » a bel et bien été mise en œuvre, à l’échelle planétaire. Massivement. Et en un temps record. Les politiques ont cautionné. Ils s’en sont même fait les organisateurs. Et les gens, dont beaucoup ont pourtant compris ce qu’on leur faisait, ne se sont pas révoltés. Relayés par personne, ils n’ont même pas manifesté.
Tout ça pour dire que certains se bercent probablement d’illusions en s’imaginant l’inéluctabilité d’une « révolte populaire » si l’on va plus loin dans le foutage de gueule collectif. Les gens qui le feront savent n’avoir pas grand-chose à craindre. Même d’un million de révoltes individuelles. Du moment que ça reste complètement atomisé. Du moment que les réunions des « conjurés » restent bien sagement confinées dans leurs catacombes numériques.
De même, ils semblent nombreux, ceux qui voient comme inéluctable « l’effondrement du système ». Donc, pourquoi se bouger? Puisque, de toute façon, les « tentatives désespérées de récupération » seraient vouées, fatalement, à l’échec? Du coup, ça donne parfois l’impression d’une assemblée de Nérons guettant placidement l’embrasement final qui emportera Rome l’orgueilleuse.
L’ennui, c’est que Rome est toujours debout. Néron, lui, est bel et bien mort.
@ Champignac
Renseignez vous, Rome a duré huit siècles mais s’est effondré il y a quinze.
Jamais personne n’a prédis les révolutions, et elles sont souvent arrivées quand d’aucuns, comme vous dites, pensaient que c’était dans la poche et que, de toute façon, les veaux ne bougeraient pas.
Néron était un dingue. Je ne pense pas qu’il faille être un dingue pour constater que tout ne va quand même pas si bien que çela dans le meilleur des mondes, et surtout avec des aspects proprement inédits.
Pas fous mais inquiets !
Les Nérons, les dingues, sont de l’autre côté. Ce sont eux qui allumeront la mèche. Peut-être pas pour un effondrement, il y a des invariants, mais néanmoins vous n’êtes pas dans la bonne perspective.
Cordialement.