@konrad ou une tête de petit homme vert qui aime les pâtes avec une symétrie quadrangulaire forcée.
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@konrad ou une tête de petit homme vert qui aime les pâtes avec une symétrie quadrangulaire forcée.
Probablement une épicycloïde : http://eljjdx.canalblog.com/archives/2018/02/15/36145181.html comme https://storage.canalblog.com/49/04/210892/119160992_o.gif mais avec un facteur 4 et non 5. une épicycloïde allongée http://serge.mehl.free.fr/anx/trochoide.html x…
On dirait un enfant contrarié qui boude.
C’est un travail du département de mathématique de l’université de Palerme, sur le mouvement du Tango à l’intention d’élèves du…
J’appelle ça tourner en rond . Et comme plus rien ne tourne rond dans notre monde autant admirer ce magnifique…
Ça m’a fait penser à des motifs de mosaïque vénitiens, mais je n’ai pas retrouvé le modèle exact… https://images.app.goo.gl/9Tax1PLXc2LLkLq66
Véronique Thyberghien : « Vous proposez quelque chose d’intéressant dans votre ouvrage … » [29:25/36:24] En entendant ces mots, personnellement j’ai…
@Ruiz EPR Flamenville Contrat signé en 2005/2006 (voir loi d’orientation de l’énergie de 2005/2006 et l’impact des errements de politiques…
Si l’on remonte plus loin dans l’Histoire, Danton, que l’on peut placer sans conteste dans ‘les forts en gueule’ était…
Bonjour : .Ma réponse se porte sur les abus sexuels, incestes…que les enfants subissent. Il y a des institutions pour…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
61 réponses à “L’actualité de la crise: l’introuvable régulation systémique, par François Leclerc”
Bonjour à tous
Cela fait presque 6 mois que je passe sur ce blog quand je trouve un cybercafé sur ma route.
Merci a tous pour la foule d’info et de commentaires que je rumine parfois en chemin.
Mais une quetion me turlupine toujours et je n’ai nulle part trouvé la moindre ébauche de réponse, comme si j’étais le seul à me la poser.
Voilà :
Fin 2002, l’invasion de l’irak était déjà sans alternative dans le discours officiel = la guerre ou notre destruction massive.
Fin 2008, avec la Crise, même discours : « le plus grand hold-up du siècle » ou l’apocalypse, présenté comme un théorème.
Est-ce que quelqu’un ici pourrait écrire le scénario : si les too big too fail avaient failli… Quel impact sur le quidam moyen en france et ailleurs ?
Bonnes chances que ma petite question se perde dans un silence plein de mépris pour mon ignorance, mais ça serait dommage : je crois que la destruction de ce théorème aurait beaucoup d’effet sur la combativité des gens.
Alors, je repasserai par ici au prochain cybercafé
« Ne pas se poser de question est déjà une réponse mais qui n’apporte pas de réponse aux questions qu’on ne s’est pas posées « .
Si elles avaient, ou quand elles failliront vouliez vous dire ?
Beaucoup de désorganisation dans l’ordre établi, et qu’on vous jure le meilleur. Rétablissement d’un équilibre ad hoc entre ceux qui ont quelque chose à échanger.
La sortie du prochain gadget inutile peut être différé. Le salaire de star du football peut baiser, mais vous pourriez aller jouer au foot vous-même avec vos voisins de quartier, pour savoir à quoi ressemble la pratique.
A ce stade, je ne décrypte pas la question
Déjà « avoir failli » cela dépend du point de vue où on se place.
Pour la topTopBanque qui profite de l’occasion (par elle créée) pour ceci :
(a) Récupérer des banques pour rien, (b) prendre davantage d’emprise et de suretés réelles sur les Etats et leurs banques centrales, (c) prendre à la gorge des milliers d’entreprises en leur fourguant ainsi des prêts spéciaux et obligations convertibles qui seront autant de noeuds coulants autour du cou, (d) se refaire en montants les marges et commissions un peu partout que les taux de base bancaires (TBB) soient fixés par les xenDynastOgres à un niveau quelconque (haut ou bas à leur convenance),
(e) … etc.
Vous avez qq topTopPirates assistés des gouvernements des uns et des autres (Brown, Obama, pantin Tartempion, …) assistés de leurs économistes patentés, d’une part, et les « C….. » (la plèbe et les cadres et experts spécialisés en ceci ou cela), d’autre part.
Pourriez-vous, si vous le souhaitez, reformuler votre question ?
Les forces de la spéculation sont bien plus puissantes que n’importe quelle tentative de régulation systémique. Les choses ne pourront être modifiées que lorsqu’elles auront épuisé la force qui les anime (un krach majeur peut-être, et encore…).
Nous lisons ceci ce jour sur Boursorama (Cercle Finance) : « Les marchés redoutent par dessus tout de bons chiffres qui valideraient le scénario d’une reprise en ‘V’: fort ‘heureusement’, il n’y a eu que des statistiques médiocres à se mettre sous la dent tout au long de la séance, laquelle s’est achevée dans l’euphorie générale grâce à un très mauvais indice de confiance des ménages américains au mois de novembre ».
Le dilemme :
Une amélioration de la conjoncture signifierait une remontée des taux directeurs de la FED, la fin de l’argent gratuit, l’érosion des marges spéculatives et un alourdissement des charges de remboursement pour les emprunteurs. Cette remontée des taux signifierait donc le début de l’éclatement des nouvelles bulles apparues depuis 2008, une nouvelle crise des subprimes… « Le marché » salue donc avec des débordements de joie toutes les informations démontrant que la conjoncture de l’économie étasunienne se dégrade encore.
Mais le maintien de taux nuls est le puissant créateur de bulles spéculatives. Plus ils sont longtemps maintenus artificiellement proches de zéro plus la bulle se gonfle et prend de l’ampleur, et plus son dégonflement, inévitable, sera dévastateur.
La FED semble désormais coincée. C’est pratiquement le même scénario qu’en 2007, à ceci près que la FED ne peut plus réduire ses taux. La seule sortie possible, à court terme, est donc bien un transfert de l’insolvabilité du système (via l’ « assouplissement quantitatif ») vers le secteur privé. L’issue logique c’est la transformation d’une insolvabilité du secteur bancaire privée en une insolvabilité globale, généralisée, des Etats-Unis. Ces derniers sont en réalité déjà insolvables. Mais ce niveau d’insolvabilité, en quelque sorte latent, n’a pas dépassé le seuil au-delà duquel les croyants du système renonceront à leur croyance en sa solidité magique. Puisque ce seuil relève de la croyance (la superstition statistique) il n’est pas possible de le connaître aujourd’hui. Mais on s’en rapproche forcément. Le doux scénario à la japonaise n’est pas si évident…
La finance au service de la destruction de l’économie.
Voilà, ce qui se passe, les bourses montent par les mauvaises nouvelles qui lui font savoir qu’elle continuera à avoir de la monnaie gratuite à travers les banques centrales et leur taux qui s’il n’y a pas de reprise resteront au plus bas.
On a changé de schéma ce n’est pas les profits de entreprises à attendre qui font monter les bourses mais le contraire.
Dans cette crise et tant que cela dure, la finance a trouvé un moyen supplémentaire pour faire de monnaie à partir de rien par la plus odieuse des spéculations de tous les temps. La finance s’enrichit en vase clos, excluant l’économie réelle les entreprises et les particuliers des aides qu’elle a reçu et qui ne lui serve qu’à faire monter la mayonnaise de la richesse virtuelle.
à Boukovski [22:23]
Où êtes-vous allé recopier ce missile-pirate mensonger de bankster ?
auprès de quel économiste (âne-nourri et/ou cynique-profiteur) ? dans quel média sous habile tutelle ou université viciée ?
@P.-Y. D
La survenue d’une crise majeure ne doit pas être considérée dans une perspective lugubre.
Serait-ce à dire que la voie serait toute tracée qui conduirait à une redistribution non-négligeable des cartes ?
Notre monde est ouvert. Sa caractéristique majeure fait que ni progrès, ni régression ne sont inéluctables.
Cependant, nous devrions faire preuve, compte tenu des circonstance actuelles, d’optimisme concernant nos capacités collectives à infléchir le cours des choses.