L’agriculture industrielle n’est pas seulement « robotisée » (l’essentiel du travail effectué par des machines), mais aussi complètement dénaturée par les intérêts…
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L’agriculture industrielle n’est pas seulement « robotisée » (l’essentiel du travail effectué par des machines), mais aussi complètement dénaturée par les intérêts…
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65 réponses à “Fannie, Freddie et la deuxième mort d’Alan Greenspan”
Que les Etats-Unis s’orientent vers un « capitalisme d’état », je veux bien l’admettre, mais, sachant qu’ils ont toujours été des adversaires acharnés et paranoïaques de tout ce qui ressemble de près ou de loin à du collectivisme, quelque chose ne colle pas.
« Fannie Mae et Freddie Mac, signifiant qu’il garantit leurs opérations quoi qu’il advienne – autrement dit il garantit l’avenir du secteur du crédit immobilier résidentiel américain dans sa totalité –, faisant d’elles, de facto des organismes d’État à part entière. » : on aimerait avoir le point de vue des Américains eux-mêmes. Pensent-ils que Fannie Mae et Freddie Mac soient devenus « de facto des organismes d’État » ? Je parie que non. Si je me trompe, il faudrait expliquer comment ils ont pu changer si rapidement de psychologie.
A l’époque où « la vérité et la réalité furent inventées », l’enjeu était de faire coller le discours à la réalité pour que le premier soit crédible. Aujourd’hui, – et depuis longtemps -, il semble que ce soit le contraire qui prime : pour qu’un discours politique soit crédible, (je ne vise pas monsieur Jorion, évidemment), il ne doit surtout pas dire la réalité. C’est ainsi que la Chine, adversaire acharnée et paranoïaque de tout ce qui ressemble de près ou de loin à du privé, a pu instaurer son capitalisme privé sous régime communiste.
Pour reprendre un point important que l’on découvre dans « Comment la vérité… », celui de l’adhésion du locuteur à son discours, on peut dire que les systèmes capitalistes et chinois ont en commun de produire un discours auquel ils n’adhèrent pas du tout. Faut-il s’y résigner ou espérer que cela change ?
Découverte pour moi que cette évolution révélée par l’article de Paul Jorion.
Moins surpris par les commentaires sur le retour des manants-gueux et les plus minoritaires possédants.
De fait ,à court terme,ils seront « possédants » de quoi ??? Or,Energie…C’est bientôt fini.
Je vais tenter de rester dans le ton mais en y apportant mon « rêve » ….(qui est pour moi réalité ultime !) :
L’Homme,ainsi dépouillé,d’une manière ou d’une autre,acculé à la survie,s’en sortira par justement ses capacités révélées par ses instincts de survie en question = recherches,suivies de découvertes,quelles qu’elles soient,mais toutes à visée utilitaire collective.
Là sera le carrefour où devront être choisis les voies à suivre.
Deux voies : l’une qui conduit à la Vie ,l’autre à la mort. (La mort étant la voie qui nous a menés au point zéro d’aujourd’hui ).
La vie ? : les principes essentiels donnés par Paul Jorion ,Homme inspiré =
–Suppression de la spéculation.
–Augmentation sensible des salaires des prolétaires
et quelques autres de Samuel Rouvillois « Frère Samuel »:
–Humilité dans la reconnaissance de notre finitude
–bienveillance dans les relations interpersonnelles
Jean-Louis,
Voici un article de Marianne2.fr qui devrait vous intéresser :
http://www.marianne2.fr/George-Orwell-et-le-socialisme-populaire_a183265.html
G. Orwell est décidément dans tous les esprits.
Convergence USA/Chine…Pour combien de temps ?
Pour l’heure ,on panse les blessures,on a assez dit que les états n’avaient pas correctement pris leurs responsabilités dans les premiers temps de la crise de 1929,et maintenant nous nous offusquerions de leurs mainmise.Je vous pose la question ou se situerait le bon point d’équilibre?
Au delà de la crise financière reste le problême du leadership.Au moment ou un un avion de la Northwest Airlines a été l’objet d’un attentat ne devrait on pas s’inquiéter du fait qu’après avoir été le prisonnier de Wall-Street, le suzerain ne devienne un peu plus, le joujou(Nöel oblige), du Pentagone?.Avec toutes les conséquences pour les vassaux (puisque certains évoquent le retour de la féodalité).
pour savoir si les deux systèmes convergent vers un point commun, il faut aussi partir de l’origine;
dans l’ un des cas, le pouvoir a été pris par les plus miséreux du pays;
dans l’autre par les plus nantis;
je pense que cette divergence doit laisser des traces dans les mémoires et donc dans l’Histoire telle qu’elle s’écrira dans les siècles futurs;
C’est vrai, on ne gomme pas cette histoire, mais il n’en reste pas moins intéressant de dresser et de remplir un tableau, avec deux colonnes: dissemblances / ressemblances.
On parle toujours des premières, parlons des secondes, pour une fois !
Il est également possible de partir d’un autre point de vue, plus spéculatif : si nous devions nous diriger vers un système unique, quitte à ce qu’il ait naturellement des variantes, quelles pourraient être ses principales caractéristiques ?
L’intérêt de ces exercices est de mieux comprendre des mécaniques, dans leur dimension mondiale, qu’elles soient financières, économiques ou sociales, ainsi que leur globalité. En un mot, de décrire un système en construction.
Si vous vous voulez remonter à l’origine, vous ne pouvez pas dire que, à l’origine, le pouvoir a été pris, au USA, par les nantis : les immigrés du Mayflower n’en étaient pas. Pendant longtemps, la société idéale, rêvée et partiellement réalisée, par les américains a été celle de petits producteurs indépendants, très impliqués dans la gestion directe de la politique de leur communauté. Je ne sais pas quand les choses ont commencé à déraper: il semblerait que Tocqueville n’ait pas vu la mutation déjà en cours (développement de l’industrie et donc du salariat, naissance de l’oligarchie libérale …) lors de son voyage américain en 1830-31.
Si j’avais un conseil à donner aux américains, ce ne serait pas d’ « imiter’ je ne sais quel modèle de capitalisme d’Etat (lequel ? voir mon commentaire précédent) mais de renouer avec leur grande tradition de populisme (le vrai ! Pas la caricature du populisme que certaines personnes, intéressées, divulguent, chez nous, dans les médias). Retour, non pas pas reprendre cette tradition, telle quelle, mais pour s’en inspirer pour crérer du nouveau.
(C) The Washington Post
La comparaison avec les économistes était une référence à l’adage « on a inventé les économistes pour que les météorologues ne soient pas les seuls à se tromper. » Les économistes passent leurs temps à se planter ils ne savent qu’extrapoler. Bien sûr le hasard veut qu’ils aient quelques fois raison (le contraire serait une forme d’exploit) mais vous sembliez avoir raison bien au dela faisant de vous un suspect…
Sinon si la gouvernance américaine prends effectivement un peu un gout de canard laqué, les américains ne sont par contre pas les chinois; je ne suis pas convaincu du tout qu’ils acceptent d’être mangé à la sauce aigre-douce.
Ce pays ne ressemblera à aucun autre (on va bien rigoler)