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L’actualité de la crise: la crise de la dette publique n’en est qu’à ses débuts, par François Leclerc – Blog de Paul Jorion

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76 réponses à “L’actualité de la crise: la crise de la dette publique n’en est qu’à ses débuts, par François Leclerc”

  1. Avatar de François7
    François7

    Il ne faut pas attaquer une armée de front si on est en infériorité (extrait – approximatif – d’une citation de Mao pendant la longue marche).

    Le problème des Européens est d’annoncer des mesures crédibles (mais chères) qu’elles ne mettront pas en oeuvre, pour laisser le temps de mettre en place et d’appliquer de mesures souterraines meilleur marché.

    Pourvu qu’ils y pensent et que çà marche. Ce serait bien si en passant on voit un scénario d’arroseur arrosé, mais je rêve sans doute …

  2. Avatar de Jérémie
    Jérémie

     » LA CRISE DE LA DETTE PUBLIQUE N’EN EST QU’A SES DEBUTS  »

    Mon Dieu, Mon Dieu, c’est déjà bien dur à vivre partout !

  3. Avatar de BA
    BA

    Vendredi 12 février 2010 :

    La Grèce doit régler seule sa crise budgétaire, a estimé l’allemand Jürgen Stark, membre du directoire de la BCE, qui demande de nouvelles mesures d’austérité de la part d’Athènes, dans un entretien paru vendredi au magazine Der Spiegel.

    Le gouvernement grec doit « mettre de l’ordre dans sa propre maison », a dit le responsable, au lendemain d’un sommet des dirigeants européens qui ont assuré la Grèce de leur solidarité.

    Les mesures d’austérité annoncées jusqu’ici « sont un minimum absolu qui doit maintenant être mis en oeuvre, et il faudra en faire plus étant donné la nette détérioration de la situation », a-t-il estimé selon des extraits de l’interview au Spiegel, à paraître lundi.

    Les chefs d’Etat ou de gouvernement de l’UE se sont engagés jeudi à empêcher tout risque de faillite du pays surendetté et à défendre la zone euro dans son ensemble. Aucune mesure concrète n’a été annoncée pour le moment. Cela sera à l’ordre du jour d’une réunion lundi des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles.

    Jürgen Stark rejette l’idée d’une aide bilatérale, comme celle d’une aide de l’Allemagne à la Grèce, la jugeant « contre-productive ou très difficile à concilier avec les principes de l’Union monétaire ».

    Il refuse aussi l’éventualité du lancement d’une obligation européenne au profit de la Grèce, qui ne réglerait « absolument pas les problèmes structurels » du pays, a-t-il affirmé.

    Les Echos

  4. Avatar de astarte
    astarte

    @ Monsieur Leclerc

    pour le point 1), déconstruire les services publics et les acquis sociaux est une constante des politiques « néo-libérales » ces 20 dernières années, cette occasion n’est qu’un prétexte de plus pour avancer un peu plus vers la privatisation de la Sécu (dont le « trou » est lié au non-paiement légal de leurs cotisations des grosses entreprises style Bouygues pour les contrats-aidés et en raison du nombre important des sans-pap qui travaillent au vu et su de tous et qui les rendent compétitifs) et la remettre aux Gan et Axa à l’affût de la bête qui va tomber d’inanition et d’hémorragies répétées)

    dans votre billet précédent, vous nous indiquiez qu’au début de la boucle qui a mené à la crise grecque, GS s »est vue refusée par la Chine le rachat de son prêt au gouvernement hellène.
    c’est cela que nous pourrions retenir, les Chinois ont rétorqué de cette manière entre autres à la vente d’armement à Taïwan
    elle démontre là sa puissance de nuisance ( et en miroir son rôle d’amortisseur de la crise financière américaine baptisée de crise mondiale) en ne suivant plus les injonctions spéculatives de ceux qui se prennent pour la police du monde ou mieux, la Main (visible) de Dieu sur Terre
    –le reste, l’impuissance des Européens, des politiques, leur veulerie, leur incompétence, leur servitude qui sert leurs intérêts bien compris, c’est tautologique.

    P Jorion nous dit que les crédits de l’immobilier commercial, 1400 milliards $, va avoir à être financé en 2012, ces choses-là ont dû avoir donné lieu à des CDS dont l’encours se monterait à combien?
    et pour avoir une idée imagée, qui fasse sens pour nous, de ce type de somme, peut-être faut-il l’exprimer en unité PIB USA?

  5. Avatar de zébu
    zébu

    @ F. Leclerc :
    Je souhaiterais aussi attirer l’attention des dommages ‘collatéraux’ qu’une crise de la dette publique, certes à ses débuts, pourrait provoquer dans le monde, bien réel et autrement plus énorme, des banques (notamment d’investissement, mais comme le firewall banque d’investissement/banque de dépôt est tombé il y a plus de 10 ans, parlons des banques en général).

    Prenons un exemple concret, en lien avec l’affaire du moment, la crise de la dette grecque. Soit, le Crédit Agricole (ce pourrait être Société Générale, UBS, Deutsche Bank, Lehman Brothers, etc.).

    Des spéculateurs, utilisant le ‘véhicule’ spéculatif des CDS, ciblent justement le problème de la dette publique en Grèce (mais ce pourrait être autre chose demain ou hier).
    Le Crédit Agricole, qui a mis la main jusqu’au coude dans le bourbier grec par l’entremise de l’achat d’Emporiki, 4ème banque grecque, y est ‘exposé’, par le simple fait qu’être présent dans un endroit du monde où une crise sévère sévit n’est pas la panacée pour un banquier, en termes de retour sur investissement, surtout quand la dite banque fait pertes sur pertes et doit être recapitalisée à plusieurs reprises, la dernière étant d’un milliard d’euros.

    Néanmoins, pour une banque comme Crédit Agricole, banque mondiale, membre du club restreint des TBTF, rien d’impossible : certes, la rentabilité (le retour sur investissement) est réduit mais le bénéfice demeure et c’est bien là l’essentiel. Car quand tout ce sera calmé et que la restructuration de la dite banque se sera effectuée comme convenu, soit vers 2011-2012, on ouvrira alors des perspectives de développement intéressants et on parlera ensuite d’un excellent investissement stratégique d’ici à la fin des années 2010. Rien donc de calamiteux in fine, surtout si l’on prend soin de préciser comme on le fait dans les médias qu’Emporiki ne représente qu’1,8% des actifs du groupe. En clair, au pire, on ‘perdrait’ 1,8% des actifs et ne mettrait pas en péril, évidemment le groupe.
    D’où la citation du président de la FBF, M. Prot, que l’exposition des banques françaises n’est pas un sujet ‘particulier’. CQFD.

    Sauf que dans ce monde-ci, ce genre de situation génère plusieurs effet induits, qui eux, vont faire ‘exposer’ la dite banque française ‘particulièrement’ :
    – une perte d’actifs d’1,8% pourrait faire passer le groupe, dans son ensemble, dans une situation de non respect des accords de Bâle II (et bientôt III, encore plus restrictif, notamment avec les titres hybrides du Tier one, quasi fonds propres, qui ne seraient plus valorisés qu’à 50% au lieu de 100% actuellement). Ce qui serait fâcheux, en termes de notation, faisant dégrader très certainement la note du groupe dans son ensemble et réduire, en plus de cette perte d’actifs, des gains substantiels, en particulier pour les actionnaires, ce qu’ils ne laisseront ps faire, il faut s’en douter.
    – les dits actionnaires mais plus largement ‘le marché’ en viendront, avant même qu’un bail-out soit prononcé, a flairer le doute et à lâcher soit le titre en bourse, soit les spéculateurs sur le risque au travers de véhicules assurantiels et spéculatifs que sont les CDS, par exemple, venant augmenter les pertes, autrement plus douloureuses que les ‘simples’ actifs d’1,8% d’Emporiki, en augmentant par exemple le coût de l’emprunt pour le groupe, emprunt d’autant plus nécessaire que le titre plonge. D’où le recours de plus en plus aux titres hybrides, pour augmenter les fonds propres sans passer par des augmentations de capital. Ce qui viendrait renforcer le soupçon des agences de notation sur la qualité du Tier one et une possible nouvelle dégradation de la note.
    « Malgré tout, cela ne va pas faire les affaires du titre en Bourse. » (http://www.votreargent.fr/bourse/fiches-valeurs/conseils.asp?id=122938)
    – la banque grecque détient certes une partie minoritaire de la dette grecque sous forme d’obligations mais elle reste néanmoins exposé à une dégradation de la notation de la dette par les agences. Car la dégradation de la dette grecque est actuellement à BBB+, soit en-dessous de la ligne de ‘flotaison’ temporaire qu’a déterminé la BCE pour accepter les obligations détenues par les banques en garanties pour obtenir des prêts de la BCE à 1%, le seuil habituel étant fixé à A-. Ainsi, puisqu’Emporiki détient des obligations grecques dégradées, la banque grecque ne pourra bientôt plus utiliser ces obligations comme garanties pour obtenir des prêts auprès de la BCE, limitant ainsi l’accès aux crédits peu cher dont elle a besoin, notamment pour se recapitaliser.
    « Kalsi said that banks holding large amounts of Greek debt could be affected if the country’s rating is downgraded below BBB-, two notches below where it is now, as this would mean the bonds could no longer be used as collateral at the European Central Bank. »
    http://www.guardian.co.uk/business/2010/feb/11/greece-debt-france-switzerland
    http://www.lesechos.fr/info/inter/020360168736-la-bce-maintient-un-ton-ferme-vis-a-vis-d-athenes.htm
    – Moody’s vient de dégrader les titres hybrides non-cumulatifs du groupe ‘casa’, les faisant passer aussi en A3, soit l’équivalent de A- pour Standar Poor’s, soit le niveau minimum habituel pour obtenir de la part de la BCE des prêts, juste avant d’entrer en zone ‘inconnue’ … En clair, un bon avertissement pour ses quasi fonds propres, dont on peut penser que la dégradation actuelle auquel participe Emporiki n’est pas étrangère.

    Apparemment donc, ‘l’exposition’ des banques françaises n’est pas un sujet particulier.
    Sauf que lors d’une explosion nucléaire, on peut être touché directement par le souffle (et en mourir rapidement) mais aussi bien être touché par les radiations, même en en étant éloigné de manière importante, soit par une présence trop prolongée sur les lieux de l’explosion, soit par l’ingestion de produits irradiés provenant du lieu de l’explosion.

    Je dirais donc que la crise immobilière a irradiée la dette publique, qui irradie ensuite la dette privée des banques, qui …

  6. Avatar de BA
    BA

    Samedi 13 février 2010 :

    Etrange semaine de négociations – disons plutôt de tergiversations – européennes à propos du prétendu sauvetage de la Grèce.

    Au final, la montagne accouchant tout au plus d’une souris, et les pays riches du Nord comme l’Allemagne et les Pays-Bas refusant de se saigner pour ceux du Club Med, il semblerait que les 27 Chefs d’Etat et de Gouvernement n’aient abordé que la problématique du respect par la Grèce de ses obligations européennes…

    Comment ce pays parviendra-t-il à lever 30 nouveaux milliards d’euros indispensables à sa survie ces trois prochains mois ? Nul ne le sait.

    Toujours est-il que le risque systémique est aujourd’hui similaire à celui de l’époque cauchemardesque de la chute de Lehman Brothers, avec une Union Européenne qui devra se porter au chevet de l’intégralité de son système bancaire si elle ne soulageait pas rapidement la Grèce !

    Michel Santi, sur le site Gestionsuisse.com

  7. Avatar de liervol
    liervol

    Quand l’immobilier va tout va, or l’immobilier ne va plus, et pourquoi l’immobilier ne va plus?
    Tout simplement parce qu’il est déconnecté de la réalité du revenu de la masse des gens.
    Seulement voilà parce que c’est le pilier de base du château de carte, croire qu’on peut conserver une telle disparité de revenus entre le haut et la base, c’est folie, la base va entrainer le haut dans sa chute.
    Qui pouvait croire qu’en injectant de la monnaie dans le circuit tout repartirait comme avant ?
    A moins que cela ait été fait pour permettre au haut de sortir de ces actifs risqués avant la chute finale au détriment de la base.
    Mais même après cela quel avenir ?

  8. Avatar de François Leclerc
    François Leclerc

    Il y a dans la crise actuelle un élément de fragilisation supplémentaire des banques européennes. Il a déjà été largement souligné que l’application de Bâle III – lorsque la nouvelle norme sera figée et devra être appliquée – leur posera problème, en raison de la nature d’une partie de leur fonds propres obligataires actuels, qui ne sera plus acceptée.

    C’est pourquoi elles mettent l’accent sur le danger qu’il y aurait à leur imposer des normes trop sévères (avec l’argument que cela limiterait leur capacité à soutenir l’économie !), et qu’elles fondent également leurs espoirs dans l’étalement des mesures qui seront finalement adoptées.

    Mais, si les obligations d’Etat en venaient à devoir être à leur tour dépréciées, en raison de l’augmentation de leur taux sur le marché, la marche qui devrait être alors gravie serait rehaussée. Car elles ont profité des distributions de liquidité de la BCE pour en acheter en quantité, considérant qu’il n’y avait pas plus sur moyen pour renforcer leurs fonds propres…

    1. Avatar de zébu
      zébu

      Qui est responsable ?
      Les banques, pour avoir acheté des obligations de l’Etat grec, alors à haut rendement d’intérêt et jugées plus ‘sûres’ que d’autres véhicules pour renforcer leurs fonds propres, touchés par la crise des subprimes et des produits dérivés ? Ou pour avoir choisit ces obligations là plutôt que d’autres, plus sûres encore mais jugées moins rémunératrices (obligations allemandes) ? Ou encore de n’avoir pas profiter de cet argent ‘gratuit’ de la BCE pour ne pas l’avoir directement intégré dans ses fonds propres ou investit différemment (dans l’économie réelle par exemple, en crédits aux entreprises, bien moins risqués que d’investir sur des obligations grecques, qui étaient déjà dégradées en notation, mais plus rémunératrices ?
      Bref, n’est-ce pas encore du fait de l’appât du gain, de la spéculation (investissement financier), du pari sur la variations des prix que se fait la responsabilités des banques ? Un « Glass Steagall Act » européen aurait-il pu changer cela ?

      Ou la BCE est-elle aussi responsable, d’avoir fourni de l’argent aussi peu cher à ceux par qui la faute était arrivée, en connaissance de cause, sans aucune contre-partie (sur le type d’investissements par exemple), sachant que les dites banques ne faisaient que reproduire les mêmes risques mais avec les obligations d’un Etat grec qui était déjà il y a quelques années sur la sellette ?

      En clair, si les drogués (les banques) doivent se soigner et que les états doivent les placer en cures de désintoxication, il reste que le principal ‘dealer’ dans l’affaire est la BCE, qui a continué à diffuser ses crédits ‘gratuits’ aux drogués en acceptant comme garanties des obligations moins ‘bonnes’ (mais connaissant parfaitement que ces garanties n’étaient que des garanties de dépendances des ‘drogués’ envers la BCE), puis qui annonce cyniquement qu’elle relèvera son niveau de garantie à la fin de l’année.
      Imaginez l’effet que produirait l’annonce d’un dealer qui diffuse de la coke et du crack quasi gratuitement aux drogués et qui d’un coup dit : « les gars, désolé, mais là, c’est pas bon pour le bizz ce que je fais et je l’ai fais parce que vous étiez vraiment en manque, mais c’est fini : le prix de la dope va doubler et en plus, il y en aura pas pour tout le monde » ?

      J’aurais été les banques, en tant que drogué, j’aurais fais alors très certainement ce qu’elles on fait : prendre des paris sur les risques de faillite, avec des CDS, puisque je n’ai plus rien à perdre. Si je gagne, je me refournis gratuitement un max de doses pendant un bon moment. Si je perds, j’aurais de toute manière perdu, mais plus lentement.

      Qui faut-il ‘arrêter’ ? Les drogués ou le dealer ?
      M. Trichet ne se soucie pas des états, sauf s’ils sont trop gros comme drogués. La Grèce, ce n’est qu’une mère de famille junkie qui se schoote à la petite semaine. L’espagne, le RU, là oui, de vrai ‘client’.
      Mais ceux qui ne vivent que par la drogue du crédit et qui le diffuse, les banques, là non, des drogués-revendeurs. Pas pareil. Sauf que dans le bizz de la drogue, on rase pas gratis non plus ad vitam : ça va un moment pour soutenir l’activité, faire du CA, mais près, on reprend le cours ‘normal’ des choses.

      Mais ça, personne n’en parle …

    2. Avatar de François Leclerc
      François Leclerc

      Cela vient !

    3. Avatar de zébu
      zébu

      oups …
      Je ne parlais pas de vous. Merci pour l’article d’aujourd’hui. Très intéressant.

  9. Avatar de charles
    charles

    Le point de vue- lucide ou pessimiste- de Simon Johnson:

    The Greek tragedy that changed Europe

    1. Avatar de François Leclerc
      François Leclerc

      Un must read pour les anglophones !

  10. Avatar de Ken Avo
    Ken Avo

    @François Leclerc,

    Vous avez lu cette dépêche ?

    http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLDE60S20A20100129

    1. Avatar de François Leclerc
      François Leclerc

      Je vous remercie, elle avait déjà été signalée. A garder dans un coin !

  11. Avatar de laurence
    laurence

    @ Bertrand,
    merci pour cette réponse limpide. Euh… Vous savez, c’est à peu près une des seules choses que je comprenne dans tout cet imbroglio d’escroqueries en cascade, c’est que tous les déficits, dettes… que cela a entraîné doit être payé, de gré ou de force, par les gens, les citoyens lambas qui commencent à peine à comprendre ce qui se passe.

    Mon problème, indépendament de cela, c’est que je vois tout le monde s’agiter et réfléchir et se démener pour trouver des s o l u t i o n s c o r r e c t e s ET r e s p c t u e u s e s pour satisfaire les charognards psychopathes qui viennent déjà de nous braquer.
    Là, j’avoue, je ne comprends pas du tout ce fatalisme. Cette résignation immédiate à la loi du plus fort…

    Mais je ne demande quà apprendre 😀 Merci encore!

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