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Et si la croissance ne revenait pas ?, par Jean Chamel – Blog de Paul Jorion

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113 réponses à “Et si la croissance ne revenait pas ?, par Jean Chamel”

  1. Avatar de jean-luce morlie

    Mais l’économie sociale de marché ne se prépare-t-elle pas nous vendre les «serviteurs à la personne ».

    Dans nos bonnes Mairies :-), le personnel politico administratif s’affaire à la préemption de terres. Ce nouveau cycle de « dîner à cassolette » projette d’utiliser les AMAP comme couveuse de formation. Après que « bac+5 » se sera qualifié en maraîchage solidaire et biodynamique et que son parcours d’insertion lui aura usé les ongles sur un illusoire crédit d’installation: ils seront toujours là, INDISPENSABLES, tout est prévu. Déjà, leur entregent a permis de préserver le revenu de substitution du » bac+5″ pendant la durée de la formation (il ne faudrait pas, ici, qu’un fonctionnaire tatillon, bloque la démonstration). D’ailleurs, ne sont-ils pas là pour voir loin et rebaptiser la cantine scolaire en variable d’ajustement des revenus de notre futur auto entrepreneur. Devant le désengagement de l’État, il s’agit de penser local : un juste prix de fermage communal consolidera les hiérarchies sociales et perpétuera les petits dîners entre amis !

    – les aéro-générateurs- c’est déjà un peu râpé –

    À quand les cars de ramassages pour « disoccupati », à cinq heures du mat en bordure des villes ? QUE VIVE LES AMAP LIBERTAIRES, que des terres retournent aux COMMONS !

  2. Avatar de Jérémie
    Jérémie

    Comme ce sujet est toujours d’actualité, il serait peut-être bien de pouvoir nous tourner vers d’autres
    formes d’échanges, recenser par exemple sur un fil les meilleures démarches venant de la société civile, de particuliers ou d’organismes et associations, liens internet, adresses, etc, histoire de mieux nous préparer à un changement de valeurs moins brutal et douloureux, mais peut-être que cela a déjà été proposé et suggéré par plusieurs d’entre-vous mais étalés sur plusieurs billets différents,
    si bien sur la croissance ne revenait toujours pas il faudra bien commencer un jour ou l’autre par penser et se conduire autrement, on ne peut pas non plus toujours se lamenter comme Jérémie bonne journée et bonne semaine à vous, cordialement.

  3. Avatar de Fabb
    Fabb

    L’économie Guadeloupéenne préfigure-t-elle la future économie métropolitaine ?
    Là-bas, on n’y produit rien, on n’y vit que grâçe aux chèques fonctionnaire (l’élite locale et enviée, en fait), Rmi-Rsa (30% de la population) et UE (pour la Banane, la Canne à sucre, et des projets urbains communaux).
    Par ailleurs, 50% des moins de 30 ans sont au chômage.
    Ainsi, la France survivra-t-elle à terme grâçe à des chèques lointains des BRICS et ses fonctionnaires en seront alors l’élite jalousée avec un secteur privé en déshérence éternellement considéré comme trop cher même paupérisé par la concurrence mondiale et ces mêmes fonctionnaires locaux; et ce, dans une économie artificielle de la dépense et non authentique de la production ?

  4. […] qu’elle ralentisse fortement au XXIème siècle. Comme le suggère le graphique ci-dessous (déniché ici), nous ne ferions qu’entrer dans une nouvelle péridoe : la phase de stabilisation de la […]

  5. […] qu’elle ralentisse fortement au XXIème siècle. Comme le suggère le graphique ci-dessous (déniché ici), nous ne ferions qu’entrer dans une nouvelle péridode : la phase de stabilisation de la […]

  6. Avatar de concombre masqué

    Quand dans 50 ans ou un siècle on aura fait des robots aussi intelligents que nous alors il n’y aura plus du tout de travail.Tout le monde pourra prendre des vacances perpétuelles.

  7. […] Et si la crise que nous traversons actuellement marquait la fin d’une époque, celle de la croissance économique ? Non parce que le capitalisme aurait perdu la raison en se dévoyant dans une financiarisation devenue incontrôlable, ni même parce que des ressources naturelles de plus en plus rares imposeraient une limite infranchissable à l’expansion de l’économie (ce que nous ne contestons pas), mais plus prosaïquement parce que nos vieilles nations, dites industrialisées, arriveraient au terme d’un long processus de transition économique.Telle est la thèse que nous souhaitons défendre. Pourquoi en effet, de tous les changements, aussi bien économiques que sanitaires, démographiques, sociaux ou politiques, qui ont marqué la transformation de notre société au cours des derniers siècles, la croissance des activités économiques devrait être le seul qui n’admette point de limites ?  […]

  8. […] Et si la crise que nous traversons actuellement marquait la fin d’une époque, celle de la croissance économique ? Non parce que le capitalisme aurait perdu la raison en se dévoyant dans une financiarisation devenue incontrôlable, ni même parce que des ressources naturelles de plus en plus rares imposeraient une limite infranchissable à l’expansion de l’économie (ce que nous ne contestons pas), mais plus prosaïquement parce que nos vieilles nations, dites industrialisées, arriveraient au terme d’un long processus de transition économique.Telle est la thèse que nous souhaitons défendre. Pourquoi en effet, de tous les changements, aussi bien économiques que sanitaires, démographiques, sociaux ou politiques, qui ont marqué la transformation de notre société au cours des derniers siècles, la croissance des activités économiques devrait être le seul qui n’admette point de limites ?  […]

  9. […] A tous les questionnements sur l’arrivée des Socialistes au pouvoir et l’effondrement de la France dans une crise mondiale de confiance, il y a maintenant un début d’une réponse. Les investisseurs semblent maintenant mieux disposés à faire confiance à un gouvernement qui tente d’attaquer les problèmes, et de le faire avec un mélange d’austérité budgétaire et de mesures de relance. Et si la croissance ne revenait pas. […]

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