« Le vecteur D signifie ici le désir-maître du patronat. Le vecteur d quant à lui symbolise le conatus enrôlé de…
Email a copy of 'Quelque chose de pourri au royaume de Danemark ? (mise à jour - 2)' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
« Le vecteur D signifie ici le désir-maître du patronat. Le vecteur d quant à lui symbolise le conatus enrôlé de…
Bonsoir Pascal, vous osez, vous n’avez pas peur de V…….tés. Il y a longtemps, j’avais lu que les « actionnaires dépasseraient…
A moins que Stable Diffusion soit devenu maitre dans l’art de la caricature 😉
Bonsoir Arkao, votre texte est bien résumé. L’agriculture robotisée deviendra et est déjà très technique. Une question se pose, combien…
Bonsoir GMM, votre texte est superbe et son contenu me plait bien. Tous ces milliards de trucs inutiles. Une ECO…
Bonsoir GMM, votre texte est superbe et son contenu me plait bien. Tous ces milliards de trucs inutiles. Une ECO…
Ce portrait de Sam Altman est une authentique horreur, à moins que votre prompt lui ai demandé une couv de…
Séparation et concentration du pouvoir. Le capitalisme, c’est la ponction de tous les flux commerciaux pour mieux contrôler leurs sources…
Y participerez vous ? Très volontiers ! Il suffit de m’inviter.
👍 très intéressant, merci pour ce partage !
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
81 réponses à “Quelque chose de pourri au royaume de Danemark ? (mise à jour – 2)”
« le royaume du Danemarque » me renvoie irrésistiblement à Shakespeare
» Etre ou ne pas être, voilà la question : [….. . ….! … ! ? … ? ]
Cela nous donne à réfléchir; c’est cette considération qui fait à la misère une si longue vie.
Qui voudrait en effet subir les coups de fouet et les dédains du monde, l’injustice de l’oppresseur, l’insulte de l’orgueilleux, les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi, l’injustice des gens en place, et les coups de pied que le mérite patient reçoit des indignes, si l’on pouvait soi-même se donner décharge de son compte avec un simple poinçon ?
Qui voudrait porter les fardeaux, grogner suer sous le poids de la vie, si l’épouvante de quelque chose après la mort, cette contrée inconnue dont nul voyageur ne repasse la frontière, ne déconcertait la volonté et ne nous faisait supporter les maux que nous avons, plutôt que de voler vers d’autres que nous ne connaissons pas ?.. C’est ainsi que la conscience fait des lâches de nous tous; et c’est ainsi que les couleurs naturelles de la résolution font place à la couleur maladive de la pensée, et des entreprises de haut vol et de grande conséquence, dès que l’on délibère, dévient de leur cours et perdent le nom d’action… »
(extrait de « vers l’idéal laïque et républicain », 1910)
Aujourd’hui, nous en sommes quelque part toujours de cette question: « Qui voudrait : grogner, suer … :l’injustice de l’oppresseur, l’insulte de l’orgueilleux ….
si l’épouvante (l’épouvante en être peut-être changer mais elle n’en est pas moins manifeste) ne déconcertait la volonté humaine
[…] C’est que le malade était sous perf depuis de longues années. Et les banques du sang ont joyeusement participé à la curée. Banques qui sont chez nous. Oui, chez nous, en France. Non […]