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L’actualité de la crise: la quadrature de la dette, par François Leclerc – Blog de Paul Jorion

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74 réponses à “L’actualité de la crise: la quadrature de la dette, par François Leclerc”

  1. Avatar de L'Hermite
    L’Hermite

    Je me pose la question sur la faisabilité de l’acceptation en collatéral par la BCE d’une fraction de la créance sur un Etat selon le taux d’intérêt qu’elle porte ; elle a les moyens de le savoir. Ainsi, par exemple, elle accepte en garantie à 100 % si elle porte intérêt inférieur à I1 %, à 50 % si le taux d’intérêt est compris entre I1 et I2 et le refuse ceux dont le taux serait supérieur à I2.

    Je me demande aussi quelles sont les conséquences que cela pourrait avoir, tant sur la capacité d’emprunt de la Grèce que sur les comportements spéculatifs de certaines banques. Dit autrement, cela permettrait-il de réduire la liquidité (et le pouvoir de nuisance) des établissements prêtant à des taux jugés excessifs tout en subvenant aux besoins des autres.

    Mais jugés excessifs par qui ? Selon quelle règle ? Pourquoi pas un multiple de la moyenne des taux des Etats souverains notés AAA ? Quid aussi de la politique de prêts de ces établissements, notamment à l’économie, dans ce cas.

    S’agissant de la Grèce, les titres (obligations et bons du Trésor) émis par son gouvernement sont admis en collatéral pour les opérations de refinancement de la BCE. Même les plus récentes : titres à 3 mois du 23 avril, à 6 mois du 16 avril, à 1 an du 16 avril, à 3 ans du 14 avril, à 7 ans du 7 avril (cf. http://www.banquedefrance.fr/fr/poli_mone/regle_poli/telechar_prot/page4a.htm). Une façon, je pense, pour la BCE de soutenir la Grèce. Mais indirectement, une « prime » aux banques prêteuses assez colossale.

    Quant à « l’interdiction de tout pari sur les fluctuations de prix aurait pour effet, comme une taxe sur les transactions financières (une mesure bien moins radicale), d’entamer la drastique cure d’amaigrissement financière qui est la seule issue », il faudrait une conscience et un courage politique que nos gouvernants n’ont pas. Serait-ce exagérément optimiste de rajouter : ‘actuellement’ ?

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