@Ruiz Bien vu, ‘Albert’ ne sera pas Einstein quant aux courriers générés en réponse aux demandes trop pointues, il faudra…
Email a copy of 'L'actualité de la crise: l'Europe prise en tenaille, par François Leclerc' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
@Ruiz Bien vu, ‘Albert’ ne sera pas Einstein quant aux courriers générés en réponse aux demandes trop pointues, il faudra…
L’effet est sans doute de donner une impression de réactivité, et de remplacer des services de soutien téléphoniques aux résultats…
The Outlaw ?
Un aspect particulier de l’IA qui abouti à la mise en place de « chatbot » au sein d’entreprises ou d’administrations publiques,…
No comment ! (Dans le cas de la mise en place de l’un des plans alternatifs qui verrait le la…
Selfie avec le peintre. https://scontent-fra5-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/438253667_965930818213746_4501017865480091366_n.jpg?_nc_cat=1&ccb=1-7&_nc_sid=5f2048&_nc_ohc=34q7Y4nKpzMQ7kNvgFF4TfA&_nc_ht=scontent-fra5-2.xx&oh=00_AfAY4DMFMoyX0GxO-kgb8onNt_EiHhXaoBt3dGODeFgjxQ&oe=662FE127
The Outlaw ? Ce mot m’est revenu en lisant les nouvelles du jour sur la probabilité que Trump soit mis…
@tttt Les scandalisés préfèreraient-ils qu’elles soient sniper sur le front ? ou qu’elle endoctrinent de jeunes yakoutes dans les méfaits…
Je m’étonne que Paul Jorion n’intervienne pas, avec notamment son article passé sur la conscience ‘a posteriori’ qui m’avait fort…
Et le scandale de la répression contre ceux qui manifestent en faveur des palestiniens, il est aussi hors norme et…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
127 réponses à “L’actualité de la crise: l’Europe prise en tenaille, par François Leclerc”
Il y a pourtant une solution plus simple : limiter les intérêts de ces milliards qui dorment.
Il n’y a aucune raison de payer le prix fort pour des masses d’argent qui sont en fait des surplus.
C’est une hérésie de nous avoir faire croire le contraire. L’argent doit circuler et tout un chacun doit pouvoir subvenir à ses besoins et non pas être en attente d’intérêts.
Nous voilà à la rigueur, quel monde merveilleux des magasins pleins, des gens sans argent, du gaspillage, de la pollution, des chômeurs et des dettes monstrueuses parce qu’il parait qu’on doit rémunérer cher l’argent qui dort de ceux qui en ont trop, ou bien qu’on doit rémunérer l’argent collecté pour l’avenir mais au lieu de rendre l’avenir meilleur, c’est le pire qui est au rendez vous.
Il n’y a à dire nous avons une excellente gestion de l’humanité !!!
Huit grandes banques internationales, dont le Credit Agricole, se retrouvent sur la sellette aux Etats-Unis au sujet de leurs agissements pendant la crise, alors que les débats au Congrès sur la réforme financière s’intensifient.
Parallèlement, le ministre de la Justice de New York, Andrew Cuomo, enquête sur la possibilité que les grandes banques aient fourni des informations trompeuses aux agences de notation qui évaluaient les CDO.
Deutsche Bank a également confirmé à l’AFP être visée par l’enquête, tout en clamant son innocence. Les autres banques ont décliné tout commentaire.
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201005/13/01-4280003-huit-banques-dans-la-mire-des-autorites-americaines.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
Ackermann (Deutsche Bank) a des doutes sur la solvabilité de la Grèce.
Le président du directoire de Deutsche Bank a déclaré jeudi 13 mai qu’il doutait de la capacité de la Grèce à rembourser sa dette, tout en expliquant que le plan de stabilisation de la zone euro serait utile pour l’Espagne et l’Italie, mais que la situation portugaise restait « difficile ».
Josef Ackermann, qui a participé à la coordination des initiatives du secteur privé allemand en vue d’aider la Grèce, a remis en question la capacité d’Athènes à sortir de la crise budgétaire, selon des extraits d’un entretien que devait diffuser jeudi soir la chaîne de télévision ZDF.
« Pour ce qui est de savoir si la Grèce est à l’heure actuelle réellement en mesure de fournir l’effort nécessaire, j’ai des doutes », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il s’agissait là « d’efforts incroyables ».
Mais, si la Grèce venait à s’effondrer, il y aurait une contagion à d’autres pays et cela pourrait se traduire par « une sorte d’effondrement ».
Grâce au plan de 750 milliards d’euros, l’Italie et l’Espagne seront « suffisamment fortes pour honorer leurs dettes », ce qui limite les risques de contagion. Pour le Portugal, en revanche, la situation est plus « difficile », a-t-il ajouté.
En dépit des turbulences qui secouent la zone euro, cette dernière reste plus forte que les Etats-Unis ou l’Angleterre, a également déclaré Josef Ackermann, estimant que l’Allemagne, en particulier, bénéficierait de la chute de l’euro en raison du poids des exportations dans son économie.
Reuters
« bénéficierait de la chute de l’euro en raison du poids des exportations dans son économie. »
Marginal à mon avis. Les 2/3 des exportations allemandes sont vendues en Europe. 55% de l’excédent commercial est le fruit des échanges avec des partenaires de la zone euro. 85% si on y inclut les 27 pays de l’UE. En résumé, pour que la chute de l’euro bénéficie à l’Allemagne au niveau des exportations, il faut que la livre anglaise et les monnaies des pays de l’Est ne baissent pas aussi. Rien de moins sûr, c’est plutôt face au dollar qu’est la dépréciation de l’euro (la livre chute aussi face au dollar).
Ackermann doit savoir tout ça. Il ment donc. Par contre, ce qui plomberait les exportations allemandes, c’est la fin de l’euro ou la sortie de quelques-uns de ses membres qui pourraient ainsi dévaluer leurs monnaies. Ackermann le sait aussi.
Il est à espérer que nos doctes dirigeants devant remanier le système monétaire international n’optent pas pour le droit de tirage spécial (DTS). Ce dernier n’est pas une monnaie mais un numéraire. Le FMI en crée dans des limites convenues avec ses membres afiliés, en fonction de leur quote-part au sein du FMI. Chaque membre en reçoit autant qu’il n’en doit. C’est donc une forme de crédit qui, au départ, n’a aucune incidence monétaire sinon celle des intérêts que els DTS engendrent.
Dès qu’un membre est dans le besoin, il peut « tirer » des DTS, les remattant au FMI qui choisit alors parmi ses autres membres qui les accetpera contre monnaies sonnantes. Le membre nécessiteux devra régler des intérêts sur les DTS tirés tandis que les autres, ceux qui ont converti les DTS en leur monnaie, recevront des intérêts.
On ne va quand même pas remodeler le système monétaire international avec une nouvelle forme de crédit, diantre ! Il faut absolument rejeter cette proposition.
A noter que les DTS avaient été imaginés à la fin des années 60, quand les USA étaient devenus incapables de convertir leurs dollars en or comme c’était requis par les statuts du FMI. L’institution devant faire face à des problèmes de liquidités à l’époque, a alors créé ce numéraire. Il devait uniquement servir à ses besoins. Il doit continuer à ne servir qu’à ses besoins. Une monnaie ne peut en aucun cas rapporter ou coûter des intérêts par elle-même. C’est de l’hérésie.
Relançons le Bancor, comme Paul Jorion le préconise. Cette piste-là est nettement plus prometteuse. Et gageons que les Brittaniques la soutiendront, leur cher Keynes recouvrerait son prestige d’antan.
Votre rappel du fonctionnement des DTS est parfaitement fondé, j’ai été elliptique.
L’idée qui a été proposée n’est pas d’élargir l’usage de ceux-ci tels qu’ils sont, mais d’en faire un nouvel instrument, dont les caractéristiques n’ont pas été rendues publiques et encore moins discutées dans des enceintes internationale.