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L’actualité de la crise: l’Europe prise en tenaille, par François Leclerc – Blog de Paul Jorion

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127 réponses à “L’actualité de la crise: l’Europe prise en tenaille, par François Leclerc”

  1. Avatar de liervol
    liervol

    Il y a pourtant une solution plus simple : limiter les intérêts de ces milliards qui dorment.
    Il n’y a aucune raison de payer le prix fort pour des masses d’argent qui sont en fait des surplus.
    C’est une hérésie de nous avoir faire croire le contraire. L’argent doit circuler et tout un chacun doit pouvoir subvenir à ses besoins et non pas être en attente d’intérêts.
    Nous voilà à la rigueur, quel monde merveilleux des magasins pleins, des gens sans argent, du gaspillage, de la pollution, des chômeurs et des dettes monstrueuses parce qu’il parait qu’on doit rémunérer cher l’argent qui dort de ceux qui en ont trop, ou bien qu’on doit rémunérer l’argent collecté pour l’avenir mais au lieu de rendre l’avenir meilleur, c’est le pire qui est au rendez vous.
    Il n’y a à dire nous avons une excellente gestion de l’humanité !!!

  2. Avatar de Pierre Charland
    Pierre Charland

    Huit grandes banques internationales, dont le Credit Agricole, se retrouvent sur la sellette aux Etats-Unis au sujet de leurs agissements pendant la crise, alors que les débats au Congrès sur la réforme financière s’intensifient.

    Parallèlement, le ministre de la Justice de New York, Andrew Cuomo, enquête sur la possibilité que les grandes banques aient fourni des informations trompeuses aux agences de notation qui évaluaient les CDO.

    Deutsche Bank a également confirmé à l’AFP être visée par l’enquête, tout en clamant son innocence. Les autres banques ont décliné tout commentaire.
    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201005/13/01-4280003-huit-banques-dans-la-mire-des-autorites-americaines.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7

  3. Avatar de BA
    BA

    Ackermann (Deutsche Bank) a des doutes sur la solvabilité de la Grèce.

    Le président du directoire de Deutsche Bank a déclaré jeudi 13 mai qu’il doutait de la capacité de la Grèce à rembourser sa dette, tout en expliquant que le plan de stabilisation de la zone euro serait utile pour l’Espagne et l’Italie, mais que la situation portugaise restait « difficile ».

    Josef Ackermann, qui a participé à la coordination des initiatives du secteur privé allemand en vue d’aider la Grèce, a remis en question la capacité d’Athènes à sortir de la crise budgétaire, selon des extraits d’un entretien que devait diffuser jeudi soir la chaîne de télévision ZDF.

    « Pour ce qui est de savoir si la Grèce est à l’heure actuelle réellement en mesure de fournir l’effort nécessaire, j’ai des doutes », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il s’agissait là « d’efforts incroyables ».
    Mais, si la Grèce venait à s’effondrer, il y aurait une contagion à d’autres pays et cela pourrait se traduire par « une sorte d’effondrement ».

    Grâce au plan de 750 milliards d’euros, l’Italie et l’Espagne seront « suffisamment fortes pour honorer leurs dettes », ce qui limite les risques de contagion. Pour le Portugal, en revanche, la situation est plus « difficile », a-t-il ajouté.

    En dépit des turbulences qui secouent la zone euro, cette dernière reste plus forte que les Etats-Unis ou l’Angleterre, a également déclaré Josef Ackermann, estimant que l’Allemagne, en particulier, bénéficierait de la chute de l’euro en raison du poids des exportations dans son économie.

    Reuters

    1. Avatar de Moi
      Moi

      « bénéficierait de la chute de l’euro en raison du poids des exportations dans son économie. »

      Marginal à mon avis. Les 2/3 des exportations allemandes sont vendues en Europe. 55% de l’excédent commercial est le fruit des échanges avec des partenaires de la zone euro. 85% si on y inclut les 27 pays de l’UE. En résumé, pour que la chute de l’euro bénéficie à l’Allemagne au niveau des exportations, il faut que la livre anglaise et les monnaies des pays de l’Est ne baissent pas aussi. Rien de moins sûr, c’est plutôt face au dollar qu’est la dépréciation de l’euro (la livre chute aussi face au dollar).
      Ackermann doit savoir tout ça. Il ment donc. Par contre, ce qui plomberait les exportations allemandes, c’est la fin de l’euro ou la sortie de quelques-uns de ses membres qui pourraient ainsi dévaluer leurs monnaies. Ackermann le sait aussi.

  4. Avatar de Jean-Pierre
    Jean-Pierre

    Il est à espérer que nos doctes dirigeants devant remanier le système monétaire international n’optent pas pour le droit de tirage spécial (DTS). Ce dernier n’est pas une monnaie mais un numéraire. Le FMI en crée dans des limites convenues avec ses membres afiliés, en fonction de leur quote-part au sein du FMI. Chaque membre en reçoit autant qu’il n’en doit. C’est donc une forme de crédit qui, au départ, n’a aucune incidence monétaire sinon celle des intérêts que els DTS engendrent.

    Dès qu’un membre est dans le besoin, il peut « tirer » des DTS, les remattant au FMI qui choisit alors parmi ses autres membres qui les accetpera contre monnaies sonnantes. Le membre nécessiteux devra régler des intérêts sur les DTS tirés tandis que les autres, ceux qui ont converti les DTS en leur monnaie, recevront des intérêts.

    On ne va quand même pas remodeler le système monétaire international avec une nouvelle forme de crédit, diantre ! Il faut absolument rejeter cette proposition.

    A noter que les DTS avaient été imaginés à la fin des années 60, quand les USA étaient devenus incapables de convertir leurs dollars en or comme c’était requis par les statuts du FMI. L’institution devant faire face à des problèmes de liquidités à l’époque, a alors créé ce numéraire. Il devait uniquement servir à ses besoins. Il doit continuer à ne servir qu’à ses besoins. Une monnaie ne peut en aucun cas rapporter ou coûter des intérêts par elle-même. C’est de l’hérésie.

    Relançons le Bancor, comme Paul Jorion le préconise. Cette piste-là est nettement plus prometteuse. Et gageons que les Brittaniques la soutiendront, leur cher Keynes recouvrerait son prestige d’antan.

    1. Avatar de François Leclerc
      François Leclerc

      Votre rappel du fonctionnement des DTS est parfaitement fondé, j’ai été elliptique.

      L’idée qui a été proposée n’est pas d’élargir l’usage de ceux-ci tels qu’ils sont, mais d’en faire un nouvel instrument, dont les caractéristiques n’ont pas été rendues publiques et encore moins discutées dans des enceintes internationale.

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