Bonsoir Pascal, vous osez, vous n’avez pas peur de V…….tés. Il y a longtemps, j’avais lu que les « actionnaires dépasseraient…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Bonsoir Pascal, vous osez, vous n’avez pas peur de V…….tés. Il y a longtemps, j’avais lu que les « actionnaires dépasseraient…
Bonsoir Arkao, votre texte est bien résumé. L’agriculture robotisée deviendra et est déjà très technique. Une question se pose, combien…
Bonsoir GMM, votre texte est superbe et son contenu me plait bien. Tous ces milliards de trucs inutiles. Une ECO…
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Ce portrait de Sam Altman est une authentique horreur, à moins que votre prompt lui ai demandé une couv de…
Y participerez vous ? Très volontiers ! Il suffit de m’inviter.
👍 très intéressant, merci pour ce partage !
Le zadisme n’est pas mort. Amazon et BFM sont ouverts 24/24. Entre les deux il y a les éco-villages 3.0…
Pour Notre Dame des Landes, il me semble que c’est fini depuis 2018, non ?😉
https://youtu.be/egQS4NGdKPQ?si=LQj7ELoWKJL2e7lu « SI L’OCEAN TOMBE, NOUS TOMBONS AVEC LUI ! » – CLAIRE NOUVIAN | LIMIT
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67 réponses à “Chant d’une alouette, par rienderien”
@ rienderien & yvan
Restaurer savoir-vivre/savoir-faire
Vous à l’hyper, comme moi = misère symbolique, « omo ou bonux », tout sauf le plaisir de l’outil compris pour ce qu’il fait et comment je peux me l’approprier.
Dans ce cadre, il ne faut pas arrêter les techniques (bio/nanos) des gens qui y fabriquent des savoir-faires. Sinon, obscurantisme, et catastrophe pour tous.
En revanche, le volet « culturel » des techniques : savoir-vivre& « support de mémoire » , c’est cela qui nous laisse (ou non) une place à nos individualités.
Chamanisez Windows (ou Linux) et il vous sera beaucoup donné. Même aux simples. Laissez le s’imbiber de vilains chiffre Excel, laissez le langage ajouter tout superlatif qu’il voudra pour faire croire que « plus » = « mieux », et il vous sera beaucoup pris. Misère symmbolique. (tracez sur Google)
Tout ce que je/tu/nous manipulons devrait être re-regardé au prisme des savoir-faire, valeurs « de réciprocité », potentiel pour faire vivre un « milieu associé ».
Exemple d’absurdité soluble si on considère ces aspects :
transports « en commun » ; il y a la plupart du temps assez de voitures au point X ou vous vous trouvez pour vous transporter en un point Y puis Z jusqu’à votre but. Mais juste cette bêtise : le stop, on n’ pas confiance, c’est pas commode (pas d’arrêtr au bord de la route, pas facile de savoir qui veut quoi, sécurité…; ). Croyez vous que dans un monde qui aurait mis la possibilité de faire du stop au centre de ses préoccupations, on en serait là ?
La voirie serait différente, il y aurait une vitre « pour se parler », des puces RFID permettraient de tracer les efforts positifs de chacun pour transporter d’autres (et sécuriser).
Alors, effectivement, il y a des bifurcations et peu de retour en arrière. Ce qui nous fait des vitres aujourd’hui est l’ensemble des industries culturelles, qui veut nous faire cracher au bassinet et récupèrera tous les modèles d’émergence, tous les « méristèmes sociaux » de facebook ou autre,… sauf si nous gardons notre vue de « chamaniser » le monde, de garder la possibilité de voir l’autre dans le dipositif technique, voire dans le langage lui-même (je fais allusion à ce que Jorion raconte sur la linguistique et l’Organon d’Aristote, qui dit de façon un peu oubliée le double côté psychologique et linguistique du langage, ce qui aurait évité de réinvinter un truc tordu (et quelquefois rentable) appelé psychanalyse) . Allez zou, j’arrête de digresser, je vais me faire agresser…
A Cuba, il est interdit de NE PAS prendre un auto-stoppeur…..
Oui, Thomas,
Cuba a bifurquée, mais si seule.
Tant mieux pour une certaine musique de Buena Vista Social Club ou de Reuben Valdez.
Très dur pour les cubains, en revanche, puisqu’ils vivent une dissonnance, entre représentation
(la voiture comme mode de vie américain) et la réalité.
Dans ce que j’esquisse, c’est effectivement la confiance dans le « tissu » qui est un des points durs.
Ceci dit, chacun sait qu’en montagne un peu paumée, lorsque l’effort a « chamanisé » les relations des uns et des autres entre eux et à l’environnement, le stop marche bien.
Pour mettre en perspective la notion d’égalité et de liberté.
Que les hommes soient inégalitaires entre eux c’est assez classique, c’est d’ailleurs un problème que l’on ne règle jamais vraiment, un problème qui revient toujours sur la table, un problème à traiter encore et encore. Au problème éternel de l’inégalité vient maintenant se surajouter de manière criante le problème de la liberté de l’homme par rapport à son environnement. Ce qu’il faut reconnaître, c’est qu’à partir du moment où la Terre est finie et que l’attraction terrestre est une force énorme, la liberté des hommes est limitée. L’égalité quant à elle n’est pas limitée, sinon par nous-mêmes.
Il me semble que les limites à la croissance confrontent maintenant les hommes aux libertés qu’il se sont octroyés. La civilisation mondiale est maintenant confrontée à elle-même, et si elle veut durer elle va devoir apprendre à partager de manière égalitaire ce qui peut l’être. Il faudra qu’elle arrive à déterminer ce qui peut être partagé pour ne pas compromettre son propre avenir et puis il faudra qu’elle réussisse à partager. Les problèmes se superposent et se révèlent. En fait, les limites à la croissance nous confronte à des problèmes que nous avions cachés.
Il va de soi que l’hélico privé n’est pas légitime car il est évident qu’il n’est pas généralisable mais tout indique qu’il en va de même pour le voyage en avion et la voiture solo. Le tragique de la situation actuelle est que certains peuvent se sentir pauvre tout en ayant une voiture (ce qui est un luxe), et ce moyen de transport est par ailleurs nécessaire pour ces personnes pour pouvoir travailler. Certains sont donc coincés dans une pauvreté bien que leur niveau de vie ne soit pas facile, pas durable et pas généralisable. L’Etat devrait aiguiller et aider les gens qui se retrouvent dans de telles situations inextricables, pour plus de sens.
Limiter les mobilités, modérer la « distribution », apporter de la vertu, évaporer les frustrations, faire oublier que le monde terrestre est une prison, résoudre la souffrance qui découle de tout ça, vous voyez ça comment en pratique ?
Faudrait déjà que « l’état » y voit clair, pour aiguiller qui que ce soit.
@Domend
On pourrait commencer par expliquer et puis on passerait aux TEQs (Tradable Energy Quota’s)
http://www.teqs.net/
Rien de Rien, apres l’alouette voici un renfort de poids:
l’abeille ,
Ca me rappelle que j’adore le vol du bourdon . Si quelqu’un le trouve dans une version plus « virevoltante » qu’il n’hésite pas à la communiquer au reste de la ruche!
Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme!
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu’on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l’arbre qu’on voit,
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
vient de la ville.
Qu’as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu’as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
Verlaine
L’évolution technologique n’est rien par rapport à la vénalité qui dirige l’homme.
« Même le nucléaire ça pourrait être bon, mais connaissant les hommes vaut mieux pas » (Jean-Marc Reiser – Philosophe français né d’un péché de la chair et mort d’un cancer des os, selon Pierre Desproges).
Quels que soient les géniaux inventeurs, utopistes pour la plupart, ils sont suivis par ceux dont le rêve est d’empiler les piscines sur des paquebots, à n’importe quel prix.
Une vanne de sécurité coûte-t-elle cher ? Nous parierons sur la chance.
Et voilà le tripalium de fond:
http://www.livestream.com/wkrg_oil_spill?utm_source=lsplayer&utm_medium=embed&utm_campaign=footerlinks
Effroyable confrérie humaine aux aspirations de pacotilles: rappelons que pour cette espèce si peu sapiens, le bonheur était prétendument atteint par la diminution du temps de trajet entre A et B. La joie suprême résidant en la somme de plaisirs supposément réalisables en B lorsque l’on se trouvait en A et vice-versa.
Cette période de l’histoire terrestre est décrite dans les manuscrits de la conscience universelle comme sidérante, d’une absurdité inouïe. De nos jours, il arrive encore que les habitants de X-tao disent à leurs enfants: « Si tu continues, tu finiras comme la terre ».
Cette simple évocation suffit en général à calmer les esprits les plus déchaînés!
Amicalementao à tous depuis les arbres et les nuages
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux :
Son petit faon délicieux
A disparu dans la nuit brune.
Pour raconter son infortune
A la forêt de ses aïeux,
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux.
Mais aucune réponse, aucune,
A ses longs appels anxieux !
Et, le cou tendu vers les cieux,
Folle d’amour et de rancune,
La biche brame au clair de lune.
Maurice ROLLINAT, Les Refuges
j’ai assisté à la conférence à Quimper « c’est arrivé demain… » et fait une transcription sur mon blog, merci pour la pédagogie! Sonam
Ca me fait penser à de vieux intellos en train de se lamenter autour d’un verre….mais quand va-t-il finalement venir ce Robin des Bois ?…. Pourvu qu’il ne soit pas trop violent ou dérangeant parce-que nous devrions le « crucifier » comme Jésus, Ghandi……
Je me suis toujours dit que si un Jésus devait arriver dans notre monde il finirait vite en prison …
A ce propos, je conseille vivement la reportage d’ARTE : Corpus Cristi, L’origine du christianisme et L’apocalypse. Très éclairant.
« C’est ainsi que le travail né de ce système est pour une bonne part d’entre nous souvent pénible, ingrat, vicié, destructeur, dénué de sens, polluant, abrutissant, appauvrissant. », asservissant donc, n’est-ce pas ? C’est la servitude moderne, et volontaire qui plus est : c’est triste.
Merci pour ce texte, pour ce qu’il dit et pour la manière dont il le dit. Il y avait en le lisant un parfum que je n’arrivais pas à déterminer…et à la fin il se dévoile : féminin.