Copilot: Le projet de l’EPR de Flamanville a rencontré plusieurs problèmes majeurs au cours de sa construction: 1. **Fissures dans…
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Copilot: Le projet de l’EPR de Flamanville a rencontré plusieurs problèmes majeurs au cours de sa construction: 1. **Fissures dans…
Ils sont de qui, Pad, ces « poêmes »?
C’est le problème lorsqu’on a trop de pognon sur son assurance-vie et qu’on a peur de le perdre: on fini…
Dall-E réinvente la pochette intérieure de l’album de Queen « News of the world » http://www.queenvault.com/linernotes/notwinner1.jpg
Depuis un an au moins, des vents qui se poussent du col et tempêtent furieusement , des pluies qui inondent…
@Tom Ce qui entraîne la motivation c’est le caractère variable du montant, peu importe que ce soit un salaire ou…
Non, ce n’est pas la même chose, Paul l’explique très bien, relisez. Les stocks options motivent les dirigent sur des…
Avec Ruiz, on n’est jamais déçu, il adore le capitalisme, les bulles financières, la ploutocratie. Longue vie aux milliardaires et…
Vous posez la question de l’impuissance écologique du capitalisme, je suis entièrement d’accord avec vous : Exemple, COCA COLA :…
« Du temps et de l’énergie pour faire quoi ? » Je suis entièrement d’accord, mais ce n’est pas le chemin qu’on…
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121 réponses à “Le temps qu’il fait, le 9 juillet 2010”
Le marin et Jean François, la poésie, par définition est à tout un chacun! C’est pas parce que Rimbaud était premier prix de thème grec qu’il a laissé cette marque indélébile dans les vies de ceux qui ont su le lire.
La poésie n’est qu’une affaire de regard et d’oreille de celui qui lit, écoute ou écrit. Elle appartient à qui la veut! Elle dirige ce monde, quoiqu’on en dise. Les esthètes, lettrés ou parnassiens n’en sont que les détenteurs artificiels et contractuels de pure circonstance artificielle! Tels des financiers qui prétendraient diriger le monde! Mascarade!
A vos plumes!
La question est le mouvement
Qui arrondit la terre
Et la gorge
De la saveur du fruit du savoir
Elle est le chemin
Qui mène l’homme depuis son souvenir
Et fait se tenir debout
Le rêve de la mère patrie
En haute mer baigne
Le cœur de l’homme insoumis
Qui se polit au sel
De mille interrogations écloses
Sous le dos des dunes en mots épars
Tenus au droit du souffle d’un sphynx égaré
Par ses énigmes
Entre les deux omoplates de cette terre
A jailli
Une plume ébouriffée
Trempée de l’encre la plus tenace
Elle dessine
La quête de la patrie
Gonflant la poitrine de l’homme révolté
Les forêts ardentes
Se consument de rapprocher
Chaque jour de son lendemain
Et s’apaisent
De la tyrannique nuit
Les sommeils se sont enfuis
Entre deux écorces écorchées
Coule le miel du chemin
Vers la question de la mère patrie
Sous la cendre de l’incendiaire désespoir
La petite braise
Du temps futur
Et la coque
De la parenthèse optative
Porte la clarté au regard
De l’homme déchiré
Par la patrie de ses questions
La voussure de l’homme exclu
De sa patrie
Est la charpente de sa maison
Livre ouvert à plus d’une question
Qui se soutient de cieux
De champs de libellules en bourgeons de nacre
Fibules rehaussant de la voûte
Les astres inquiets
La terre
Est le galet bleui au roulis de l’océan
Des questions de l’homme à qui elle fut ravie
Badia Benjelloun
Je n’ai lu aucun commentaire avant de faire le mien.
Je me pose et je pose à tous une question : quelle est la morale qui se dégage du prêt d’argent contre intérèt ?
Le fait de préter de l’argent à des familles qui auront du mal à le rembourser, ou qui ne pourront pas le faire, est’ il condamnable ou non ?
mince, il devait suivre le post de vigneron juste au-dessus 😉
A Julien Alexandre,
Je ne dis pas que ce que vous nommez du terme moderne « d’illetrisme », et qui s’appelait avant « analphabétisme » est un problème de génération.
Je dis que c’est la conséquence de l’enseignement de l’ignorance programmée depuis plusieurs décennies par des ministres de l’éducation « de droite » et « de gauche » et que ce n’est pas par un regrettable hasard, mais seulement la conséquence de décisions « de civilisation », et pour parler plus clairement une décision du libéralisme.
Pour certains, comme moi agé de plus de 60 ans, il a simplement été moins difficile d’apprendre à lire et à penser.
@ Marlowe
Illettrisme et analphabétisme sont deux termes qui ne signifient pas exactement la même chose : l’un désigne une absence de maîtrise, là ou l’autre décrit la complète inaptitude à lire et écrire.
Le fait que vous imputiez les problèmes d’illettrisme ou d’analphabétisme à l’émergence du néo-libéralisme des trente dernières années ne contredit pas une interprétation de vos propos comme tendant à stigmatiser les plus jeunes : ce sont eux qui ont suivi l’enseignement de ces 30 années. De plus, à lire ce dernier commentaire, on est tenté de croire que pour vous, le mal a été fait sciemment au nom d’un projet politique. Ce n’est certes pas sous ma plume que vous lirez un dithyrambe à la gloire de Philippe Meirieu, mais c’est peut-être pousser le bouchon un peu loin que de soulever l’hypothèse d’un complot pour abêtir sa progéniture, non ?
D’accord Julien sur votre réponse sauf que je m’abstiendrais de mêler Meyrieux à ce genre de débat. Je trouve qu’il à le dos bien large et que l’on met à son compte beaucoup des dérives de l’éducation nationale qu’il à surtout essayé de combattre. Ne jamais confondre une ambition avec les échecs relatifs de cette ambition.
S’être battu pour imposer une ligne pédagogique authentique et républicaine face à une demande élitiste plus « libérale » et une autre démagogique et réactionnaire de l’enseignement minimal et utilitariste ne doit pas faire de lui le seul responsable de la défaite de ses idéaux. En tout cas sûrement pas le promoteur des dérives actuelles ni l’instigateur tout puissant des tares incontestables de notre système éducatif.
Il serait bon de mettre fin à la légende des tout puissants pédagogues casseurs de l’éducation nationale. C’est, en pire, comme dire que les architectes sont responsables du « problème » des banlieues. Un mensonge bien pratique pour beaucoup de vrais coupables…
A tous,
Le PIB et la vie.
Je ne peux résister au désir de livrer à la publicité le texte suivant :
» Notre PIB prend en compte, dans ses calculs, la pollution de l’air, la publicité pour le tabac et les courses des ambulances qui ramassent les blessés sur nos routes. Il comptabilise les systèmes de sécurité que nous installons pour protéger nos habitations et le coût des prisons où nous enfermons ceux qui réussissent à les forcer. Il intègre la destruction de nos forêts de séquoias ainsi que leur remplacement par un urbanisme tentaculaire et chaotique. il comprend la production du napalm, des armes nucléaires et des voitures blindées de la police destinées à réprimer des émeutes dans nos villes. Il comptabilise la fabrication du fusil Whitman et du couteau Speck, ainsi que les programmes de télévision qui glorifient la violence dans le but de vendre les jouets correspondants à nos enfants. En revanche, le PIB ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur instruction, ni de la gaieté de leurs jeux. Il ne mesure pas la beauté de notre poésie ou de la solidité de nos mariages. Il ne songe pas à évaluer la qualité de nos débats politiques ou l’intégrité de nos représentants. Il ne prend pas en considération notre courage, notre sagesse ou notre culture. Il ne dit rien de notre sens de la compassion ou du dévouement envers notre pays. EN UN MOT, LE PIB MESURE TOUT, SAUF CE QUI FAIT QUE LA VIE VAUT LA PEINE D’ETRE VECUE. »
Discours prononcé le 18 mars 1968, quelques semaines avant son assassinat, par Bob Kennedy, à l’université du Kansas.
A Julien Alexandre,
Il est vrai que mon caractère semble me pousser à pousser le bouchon un peu loin, comme vous dites.
Vous semblez penser que je crois en une conspiration des élites (ou de la domination) pour abétir la population.
Vous avez raison de le penser : non seulement je crois à cette conspiration, mais il me semble que la publicité, la propagande, le marketing, l’ensemble des médias, « l’entairtenment », etc. sont des preuves quotidiennes de ce que j’avance.
Pour les deux termes, l’illetré et l’analphabête, dont l’un est plus moderne que l’autre, je soutiens que l’un n’a pas appris à lire et à écrire tandis que l’autre a appris, et de magnifique manière dans l’école moderne, mais a ensuite tout oublié
Et pour compléter ma réponse et préciser ma position la notion de LIBERALISME me suffit.
Je n’ai nul besoin des autres qualificatifs de ce jour tels que « néo-libéralisme » ou « ultra-libéralisme » qui pourraient amener à penser qu’après tout le seul libéralisme pourrait être supportable à condition d’être mesuré.
@Marlowe
Un illettré n’oublie pas tout ce qu’il a appris à l’école. Il a des « trous » de langage et pas n’importe lesquels selon le problème de vie ou psychologique qu’il rencontre. Ces « trous » du langage scindent les phrases qui ne font plus sens. De même la société ne fait plus sens. C’est la perte de repère.
Évidemment cela n’est pas question d’âge, des cadres « bien en âge » rencontrent cette situation. Là où vous avez raison c’est l’influence de la société et tous ces outils nouveaux utilisés à tort et à travers sur ce phénomène, mais pas seulement.
Les jeunes rencontrent le problème de l’apprentissage tout court et les enseignants ne progressent pas assez vite dans les méthodes (ou ne veulent pas ou encore ne peuvent pas).
petit complément :
d’où le nécessaire travail sur l’erreur qui révèle tout ce que l’illettré dit de sa situation et dont il n’a plus accès à cause de ses propres freins, de ses peurs, de ses évitements.
Zut j’ai encore oublié un truc :
La confusion entre illettré et analphabète, deux termes bien différenciés en français, tient peut-être du fait qu’en anglais on traduit analphabète par « illiterate ».
Si je peux me permettre une petite note qui m’amuse : un « analphabête » (comme vous l’écrivez) n’est pas bête, pas plus qu’il n’est une bête.
Un analphabète n’a tout simplement jamais appris à écrire ni à lire.
Le jeu n’est pas terminé visiblement
entendu sur France Info en rentrant du boulot ce dimanche :
http://www.france-info.com/chroniques-question-d-argent-2010-07-11-le-pret-hypothecaire-rechargeable-464566-22-24.html
« Lucien et Françoise veulent acheter une résidence secondaire alors qu’ils n’ont pas fini de rembourser le credit de leur résidence principale
réponse : mais oui il y a une solution : le crédit hypothécaire rechargeable… »
Génial : on s’apprêtait à réinventer le prêt subprime en France, on réinvente le « piggyback » dont je parlais l’autre jour : le rechargeable ! Comme quoi, la preuve est faite : on n’apprend pas des erreurs des autres !
Eh oui! Comme dit l’autre, nécessité fait loi! Sauf bien sûr les cas d’extrême nécessité, où là, bizness as usual, misère et repression continuent de mener la danse…
Et puis les bons vieux dix ans de décalage entre France et US sont toujours de mise! Surtout pour les conneries.
Double effet Kiss Cool du fameux système social français ou signe de son effondrement?
voici des nouvelles fraiches de Wells-Fargo, peu rejouissantes …
http://www.huffingtonpost.com/2010/07/08/wells-fargo-jobs-3800-cut_n_639481.html