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Repenser le travail : Réponse aux commentateurs de mon billet du 4 juillet, par Bernard Friot – Blog de Paul Jorion

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187 réponses à “Repenser le travail : Réponse aux commentateurs de mon billet du 4 juillet, par Bernard Friot”

  1. Avatar de lou
    lou

    je n’ai pas lu tous les commentaires, dès lors peut être mes questions auront été posées: est ce que votre idée peut se penser avec la question de la réduction du temps de travail? et également avec celle de la gratuité, et, entre autre du bénévolat? je pense aux travaux de Stiegler notamment, mais aussi des maussiens.Merci

  2. […] This post was mentioned on Twitter by Patrice Lazareff, Denis Fruneau. Denis Fruneau said: BlogPaulJorion => Réponse aux commentateurs de mon billet du 4 juillet, par Bernard Friot: Billet invité. Je remer… http://bit.ly/cm289M […]

  3. Avatar de gueule d'atmosphère
    gueule d’atmosphère

    LCPAN diffuse en ce moment en direct les images de la commission des affaires sociales sur la question des retraites.
    En ce moment, Eric Woerth.

    http://www.lcpan.fr/

    http://www.assemblee-nationale.fr/13/tribun/xml/organe.asp?id_organe=xml/organes/420120.xml

  4. Avatar de Joan
    Joan

    J’avais écrit le texte suivant en 1979, alors que je venais à peine d’entrer dans la vie active, c’était sans doute plein d’utopie, d’illusions et de naïveté, comme on sait l’être lorsque l’on est jeune. Mais au vu de l’état de la planète et de nos sociétés aujourd’hui, ne ferait-on pas mieux de mettre
    l’utopie au pouvoir ? Quand on voit que 31 ans après on a un président qui a été élu sur le slogan « travailler plus pour gagner plus », avec comme corollaire polluez-plus la planète et que au final le chômage continue de croître (là il y a de la croissance!). Un pouvoir qui bafoue la démocratie en s’asseyant sur le résultat d’un référendum qui ne refusait pas l’Europe, mais un certain type d’Europe au service de la finance, un pouvoir qui s’apprête à faire passer en force une réforme des retraites inique, qui va obliger de plus en plus de gens à travailler jusqu’à
    62ans, voire 67ans (âge auquel ils seront trop souvent usé jusqu’à la corde), ou plus vraisemblablement à quitter le monde du travail avec une retraite de plus en plus riquiqui. Quand on voit cela, on peut légitimement se demander s’il y a le moindre espoir que l’être humain change, individuellement, mais surtout collectivement. Et on se demande à quoi peut servir la politique, si au delà d’un cirque électoral récurrent et de fallacieux slogans sur le changement, elle
    ne vise en fait qu’à reconduire l’ordre existant, à amplifier ses travers et à conforter la domination
    de ceux qui profitent au plus haut niveau de la pyramide du système. Voici donc ce texte:

    Il faut reconnaître que la société industrielle capitaliste a résolu le problème des famines dans les pays impérialistes (en France), et dans une certaine mesure de l’acquisition des biens matériels de base par le citoyen moyen. Il n’en reste pas moins qu’une telle société connaît des inégalités énormes, et la liberté de l’individu dépend beaucoup de la classe à laquelle il appartient.
    Dans le cas de la société française actuelle, nous en sommes à une situation où l’inégalité règne aussi bien sur le plan de la possession des biens matériels, que sur celui de la liberté.
    Une caractéristique de notre société est qu’elle est bloquée, chose accentuée par le centralisme du pouvoir. Le problème actuel est dû à deux facteurs essentiels: l’un extérieur, l’autre intérieur.
    Le problème intérieur est dû principalement au développement des techniques et plus particulièrement de l’informatique, qui supprime de nombreux postes de travail, le second problème est dû au développement des pays jusque là pauvres et qui veulent accéder à la richesse, en devenant industrialisés; ainsi qu’à la concurrence avec les autres pays industrialisés qui sont plus compétitifs que nous: le résultat pratique est que de plus en plus de gens se retrouvent au chômage.
    Une solution à ce grave problème doit passer par une révision complète de certaines idées que nous nous faisons sur l’organisation de notre société et du monde. Il faudrait ne plus considérer le travail comme il a été considéré jusque là: c’est à dire comme étant l’élément essentiel de la vie et comme producteur de profit. Si la mécanisation, l’informatisation permettent de faire fonctionner l’industrie et continuer la croissance économique avec un nombre restreint de personnes participant à ce travail, il faudra réduire la durée du temps que chaque individu passe dans sa vie à ce travail uniquement productif et basé sur la recherche de production de richesses matérielles. Chaque individu devra passer un temps relativement court de sa vie à effectuer un tel travail dans le secteur qui lui conviendra le mieux. Lorsque l’individu sortira de l’ensemble de ces travailleurs, il ne sera pas chômeur, mais fera partie de l’autre ensemble de la population, qui s’adonnera à un travail non lucratif, uniquement dû à la motivation et aux goûts personnels: qui sera potier, qui fera de la musique, qui fera de la menuiserie ou s’intéressera à telle discipline. Chacun pouvant contribuer à l’enrichissement de son voisin. Les produits de ces activités ne pouvant en aucun cas être monnayables, mais échangeables. La notion de retraite disparaîtra. Cette partie de la collectivité recevra sa richesse matérielle de l’autre partie. Il importe que la richesse produite par le premier groupe soit équitablement répartie entre tous les membres de la société. L’enrichissement matériel devant se faire de façon homogène et de pair avec l’enrichissement culturel de la population. Il faut réviser l’idée que nous nous faisons du travail.

  5. […] les autorités du Bangladesh veille au respect du dividende de l’actionnaire. Il faut être Paul Jorion pour introduire une savante distinction entre la propriété d’usage (celle d’un […]

  6. Avatar de Leo
    Leo

    Je veux ça! Je veux travailler dans une société comme ça!

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