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L’actualité de la crise: interdit d’interdire ?, par François Leclerc – Blog de Paul Jorion

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102 réponses à “L’actualité de la crise: interdit d’interdire ?, par François Leclerc”

  1. Avatar de otto lilienthal
    otto lilienthal

    Dans le creux de la reprise

    Nouriel Roubini

    2010-07-16

    NEW YORK – L’économie mondiale, maintenue artificiellement depuis la récession de 2008-2009 à grands renforts de rachats financiers et de mesures fiscales et monétaires, est cette année vouée à un fort ralentissement tandis que l’effet de ces mesures s’estompe. Pis encore, les principaux excès qui ont contribué à la crise – trop de dettes et trop d’effet de levier dans le secteur privé (foyers, banques et autres institutions financières, voire davantage encore du côté des entreprises) – n’ont pas été traités.

    http://www.project-syndicate.org//commentary/roubini27/French

  2. Avatar de Marlowe
    Marlowe

    A souvarine, à propos de « il est interdit d’interdire ».

    Vous avez surement le droit « d’imaginer » que Debord (et il n’est pas possible d’écrire « Debord ou un autre ») aurait pu créer ce slogan ou l’utiliser, mais il se trouve que si vous connaissiez Debord, non pas personnellement, mais sa vie et que vous soyez respectueux de sa vie et de ses écrits, vous ne le feriez pas.
    Imaginez donc ce que quiconque pourrait dire de vous « en imaginant » ce que vous êtes ou ce que vous pourriez avoir dit.

    Debord a souvent écrit à propos des « forts commandements » qui ont déterminé ses actes et donné un sens à sa vie.
    Je persiste à dire que celui que ce vous imaginez qu’il aurait pu dire n’en fait pas partie.

    Si vous persistez dans votre affirmation sans preuve, je serais obligé de croire que vous êtes un menteur.

    Si je me trompe, détrompez moi.

    1. Avatar de Souvarine
      Souvarine

      @Marlowe

      A la réflexion, je dois reconnaître que vous avez raison. Debord n’a jamais eu l’illusion d’estimer que l’on pouvait vivre et penser en dehors de toute contraintes (celles qui s’imposent à nous et celles que l’on s’impose). Il n’a donc pas pu être l’auteur du slogan susdit. Je me trompai donc.
      Je vous l’ai déjà dit ailleurs, je n’ai votre sens de la dialectique et je peux parfois parler et écrire inconséquemment. Ca ne me dérange pas, je suis habitué.

      Ma question « la finance serait-elle situationniste » n’était rien de plus qu’une boutade et n’avait donc rien d’une tentative de « récupération ». Pour être franc, je m’attendais à ce que vous la saisissiez au vol. Mais apparemment, il y a pour vous certains sujets avec lesquels on ne plaisante pas.

      Par ailleurs,si on se trompe par irréflexion et avec sincérité, est-on un menteur? Non. C’est tout au plus de l’idiotie ou de l’aveuglement. Vous qui aimez la précision, choisissez mieux vos mots.

      « Il est vrai que j’ai goûté des plaisirs peu connus des gens qui ont obéi aux malheureuses lois de cette époque. Il est vrai aussi que j’ai exactement observé plusieurs devoirs dont ils n’ont même pas idée.  » Car de notre vie, énonçait rudement en son temps la Règle du temple, vous ne voyez que l’écorce qui est par-dehors… mais vous ne savez pas les forts commandements qui sont dedans » » Panégyrique

      Et si vous voulez tout savoir, j’ai découvert Debord (et les situationnistes) peu de temps après sa mort. Il compta beaucoup pour moi durant plusieurs années de ma jeunesse et j’ai, je crois, assez bien connu sa vie et son oeuvre. Sa pensée, inséparable de l’existence qui fut la la sienne, fut celle d’un refus lucide,absolu et sans compromis de l’aliénation capitaliste. Cette radicalité m’est apparue progressivement comme intenable dans un monde où la falsification prenait pouvoir sur tout. J’ai donc opté pour le compromis. Pensez-en ce que vous voulez, ça n’a, au fond, aucune importance.
      Aujourd’hui, je continue de lire Debord, de loin en loin, mais sans vraiment saisir comment il pourrait prendre place au sein des luttes d’aujourd’hui. D’ailleurs, parmi ceux qui conteste le mode de domination actuel, qui le cite encore?
      De toute façon, l’histoire de l’IS est une histoire finie.Son moment historique est passé. Quiconque se revendique situationniste aujourd’hui est un imposteur (n’y voyez pas une attaque personnelle, je ne vous connais pas. C’est juste une remarque d’ordre général).

      « Je ne suis pas plus situationniste qu’un autre. J’ai été situationniste pendant tout le temps qu’a duré l’IS, et je m’en félicite. J’écrivais en 1960, dans le numéro 4 de la revue ‘internationale situationniste:  » Il n’y a pas de ‘situationnisme’. Je ne suis moi-même situationniste que du fait de ma participation, en ce moment et dans certaines conditions, à une communauté pratiquement groupée en vue d’une tâche, qu’elle saura ou ne saura pas faire. » ( Je pense depuis 1968 que, pour l’essentiel, elle a su.) » Considérations sur l’assassinat de Gérard Lebovici

      Débat clos en ce qui me concerne.

  3. Avatar de Galuel

    « se poursuive la vaine quête du truc miraculeux qui contiendra un risque systémique que l’on ne sait toujours pas par quel bout pendre ?  »

    Qui est « on » ?

    Je ne me sens pas concerné.

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