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Hors série : D’ÉTRANGES BIBLIOTHEQUES, par François Leclerc – Blog de Paul Jorion

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76 réponses à “Hors série : D’ÉTRANGES BIBLIOTHEQUES, par François Leclerc”

  1. Avatar de jck
    jck

    Dans le local vélo de mon immeuble quelqu’un a installé une bibliothèque ou tout le monde peut déposer ses livres et en emprunter. Voila une initiative que chacun peut faire.

    Personnellement j’aimerais que les gens soient moins fétichistes et préfèrent la littérature aux livres. Je n’ai jamais autant lu que depuis que j’ai une liseuse numérique. En plus les livres sont de plus en plus hideux… seul la pléiade résiste.

  2. Avatar de B.PARRAUD
    B.PARRAUD

    En effet il faut lire et relire le bouquin « N’espérez pas vous débarasser des livres » de Umberto ECO, mais aussi « Histoire universelle de la destruction des livres » de Fernando BAEZ.
    Où l’on voit que l’élimination méthodique des livres renaît toujours dans les périodes les plus « fastes » de l’histoire… Et toujours pour les mêmes sombres raisons.
    Aujourd’hui, de grandes bibliothèques détruisent (auto-détruisent ?) leurs collections de livres à la pelle, CONTRE l’avis de leurs personnels et de leurs publics. POURQUOI ?
    Peu de réponses sont fournies, et celui ou celle qui ose poser la question est considéré comme dangereux trublion. Sans doute parce que le livre dérange. La lecture dérange. La bibliothèque numérique, elle, est éliminable en un seul clic !!! D’où la faveur dont elle jouit…

    1. Avatar de dag
      dag

      La diversité des humains est extraordinaire dans l’espace et dans le temps . Vous pouvez rencontrer des asperger assez nombreux qui vous récitent un Bottin , un Chaix , un Atlas d’une façon toute naturelle dans l’expression de cette mémoire absolue . Il n’y a pas si longtemps du temps des samizdat en URSS , des russes apprenaient par coeur le Balzac par exemple qu’on leur prêtait en cachette avant de la faire circuler . Les textes poétiques ou religieux furent construits pour être mémorisés , c’était la tradition orale . La surproduction inflationniste de textes rappelle la surproduction de vin , il faut distiller ou détruire , n’est-ce pas Vigneron . La notion du livre comme trésor , comme tout objet manquant est chéri , surenchéri et peut être un peu trop gâté quelquefois .

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