La dictature est en marche et Poutine est, comme vous l’indiquez très bien, le dernier rempart de la démocratie contre…
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137 réponses à “SOMMES-NOUS CAPABLES DE FAIRE CE QUE QUE NOUS DISONS ?, par Pierre Sarton du Jonchay”
@ PSDJ
Permettez que je resserve un commentaire vieux de plusieurs mois sur ce même blog. Il me semble qu’il y a une certaine convergence:
« Je suis à peu près convaincu, même si ce n’est pas ma tasse de thé, que Marine le Pen virera en tête au premier tour de la présidentielle de 2012. Qui l’affrontera ( ; ) ) pour le second tour dépendra de la multiplication des candidatures à gauche, au centre et à droite. Ensuite ?
Le point qui m’intéresse aujourd’hui, dix huit mois avant ce type d’échéance, est l’anteaction (le contraire de rétroaction) que cette perspective devrait impacter sur les politiques de l’Union Européenne, sur la relation franco-allemande et sur l’avenir de l’Euro.
Une sortie de la France de l’Euroland (programme du FN), que je ne souhaite pas, soyons clairs, ferait bien évidemment capoter ce dernier mais aurait une conséquence extrêmement fâcheuse pour la RFA. L’Allemagne exporte massivement en Europe parce qu’elle bénéficie d’un très gros avantage par rapport aux autres « insiders » : il y a un taux de change fixe, l’Euro, qui étrangle les exportations des autres membres de l’Euroland vers la RFA et favorise les exportations de cette dernière vers eux. C’est un état de fait, et je ne discute pas s’il résulte d’une bonne gestion de l’une contre une mauvaise gestion des autres ou bien d’un « dumping » social de l’une au détriment des autres, puisqu’il doit bien y avoir un mix de tout cela dans le cocktail Molotov qu’est l’Euro aujourd’hui.
Il semblait que l’avantage économique et commercial de l’Allemagne était compensé par l’accès à des taux d’intérêts « allemands » bas pour les autres membres de l’Euroland. Le non soutien solidaire de la RFA a mis fin à cette illusion et je ne vois pas quel avantage ces derniers ont à rester dans un système qui les garrotte jusqu’à ce que mort finisse par s’en suivre… On se dirigerait donc vers des dévaluations compétitives au sein de l’actuel Euroland. Ainsi l’Allemagne n’est-elle pas en train de scier la branche sur laquelle son économie et sa puissance sont assises ?
Une solution alternative, comme une sorte de moyen terme, serait une forme de Bancor au sein de l’Euroland avec l’avantage de préserver des acquis de la construction européenne et l’inconvénient de ne satisfaire aucune des ambitions nationales de ses membres dont l’Allemagne en tout premier lieu. »
@Eole,
Les données du problème n’ont toujours pas changé. Les contradictions de la construction européenne sont toujours là dans un euro dont la valeur ne résout les problèmes de personne. Si l’Union se dote d’une monnaie commune (Zebu l’appelle bankeuro) à coté de sa monnaie unique, il devient possible d’évaluer objectivement à travers la prime de change de l’euro et la prime de crédit des Etats membres de l’euro le prix collectif et individuel de l’euro ou des monnaies nationales des pays qui ne trouvent pas leurs comptes dans l’euro. En connaissant le prix de ce qu’on veut, on trouve les moyens de le réaliser et on révèle ce qu’on ne veut pas…
La théorie psychanalytique nous prouve que nous sommes surtout capable de faire ce que nous ne disons pas.
Dans un genre voisin , La Rochefoucauld écrivait :
Nous promettons selon nos espèrances et nous tenons selon nos craintes .
Ce pourrait être le mot de la fin .
Ou du début , dès que le trouillomètre aura atteint le point d’ébullition .
quand à la pratique taoiste, elle dit à propos des politiques: ils ne font pas ce qu ils disent mais ils ne disent pas ce qu ils font. sauf nicolas bien sûr. mais peut-être sous-estime-t-on son impact..