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233 réponses à “ET SI ON ESSAYAIT PLUTÔT LA DÉMOCRATIE ?, par Olivier Berruyer”
Vos solutions ne sont pas susceptibles de résoudre la problématique posée, à savoir que les représentants élus le sont avec moins d’un quart des inscrits.
A mon avis, seule la prise en compte des votes blancs et nuls dans les suffrages exprimés tout comme simultanément l’obligation légale de voter sont de nature à donner un sens démocratique donc réellement représentatif aux élections.
En effet, que le scrutin soit majoritaire ou proportionnel , n’est pas déterminant dans la mesure ou seuls les suffrages exprimés sont actuellement pris en compte et qu’ils ne représentent que moins de 50% des inscrits.
Il ne faut donc pas de mesurettes mais de vraies réformes comme l’obligation de participer aux votes assorties d’amendes (existe en Belgique et ailleurs) laquelle ne sera jamais acceptée par nos députés et sénateurs cumulards qui se complaisent dans le système actuel.
Nous sommes donc en désaccord sur ce point, j’ai répondu plus haut, commentaires 2 et 57 , en expliquant pourquoi je ne soutenais pas le vote obligatoire.
Les gens n’acceptent pas le système actuel, donc ne votent pas. Tordez leur le bras sans réformer le système, et vous transformerez les abstentionnistes en électeurs du FN, qui deviendra donc majoritaire…
Je préfère ne pas essayer, même « pour voir »…
Dire qu’ils voteraient FN est aller très vite en besogne!
Ce qui en dit long sur votre conception de la démocratie…
pour le reste, je suis également contre: l’abstention délivre un message différent du cote blanc et a sa place. Du reste, le vote n’est pas l’alpha et l’oméga de la démocratie:l’égalité de traitement devant la loi, l’absence de corruption, compréhension du système politique et des questions sur lesquelles on émet un avis sont des piliers autrement plus importants.
Au delà de l’opposition démocratie participative/représentative, le problème politique actuel est surtout que les palais sont vides, et que le pouvoir réel n’est plus dans les mains des élus. Changer le mode de désignation des « représentants » ne changerait rien au problème.
Peut être le référendum d’initiative populaire… en sachant que c’est risqué (si les lobbyistes font bien leur travail, ce peut être pire encore).
Certes, ce ne serait pas 100 %, mais probablement une part importante – à mon bien humble avis.
Je me permets de rappeler que le FN a déjà obtenu 2 élus au scrutin majoritaire cette année – certes c’est peu, mais bon, c’est un signe…
Le vote obligatoire ne changerait rien. On le voit en Belgique. Les abstentionnistes voteraient sans doute comme ceux qui votent. C’est encore l’illusion que le libre choix de l’électeur détermine la composition du corps des représentants. Les déterminismes structurels ont alors beau jeu d’agir pour faire en sorte que les élites dirigeantes restent entre elles.
La prise en compte des bulletins blancs et le vote obligatoire ne solutionneront pas non plus le manque de représentativité de nos « élus ». Il faudrait peut-être instaurer un quorum de représentativtié (sic) genre 2/3 de votes exprimés (dont blancs et nuls) pour valider une élection, sinon retour à la case départ. De plus l’inscription sur liste électorale devrait être automatique à la majorité et la radiation au décès de l’intéressé (ça éviterait le bourrage d’urnes corses lol).
Je suis favorable pour une proportionnelle car cela obligera les partis à trouver des consensus pour faire des alliances . Votre système bigarré ne fera que perpétuer l’alternance umps.
De plus en ce qui concerne les débats, le système actuel donnant 1/3 au gvt, 1/3 à la majorité du temps de parole (donc 2/3 au même camp godillot) et des miettes pour les partis alternatifs est la CAUSE du problème. Tous les partis devraient bénéficier du même temps de parole et d’un droit de réponse égalitaire au gvt, ce qui éleverait peut-être le débat (la carricature ayant été donnée lors des européennes chez Chabot où l’umps a eu droit à un temps infiniment supérieur aux « petits » cantonnés autour d’une autre table et sans droit de réponse aux arguments de l’umps). Quant à renverser le système actuel : seules des manifs immenses avec casseroles devant l’Assemblée durant plusieurs mois pourront peut-être aboutir à une constituante et mettre fin au bipartisme. mais là je rêve…
Le problème de la proportionnelle intégrale est assez simple, vous l’avez sur la second camembert de mon étude : la gauche de gouvernement n’est pas majoritaire, le droite de gouvernement non plus.
Donc un gouvernement ne peut que s’appuyer que sur un consensus UMP+PS.
Le citoyen qui veut changer de politique risque de n’avoir alors qu’une alternative : voter aux extrêmes…
D’où l’intérêt d’un scrutin majoritaire pour l’exécutif et d’un scrutin proportionnel au législatif.
Non, c’est le scrutin majoritaire a deux tours qui a créé le système binaire umps, dans les autres pays il y a plusieurs partis de poids variables mais pas deux gros et des accessoires. Ailleurs, en Allemagne par exemple, le premier parti s’allie avec un autre, ou deux autres, qui ont leur mot à dire, et si une décision ne convient pas à une partie de la majorité le gouvernement tombe et on vote. Il se forme une autre coalition et puis ça marche aussi.
En France, lorsque l’on vote dans une association, dans une copropriété,
lors de la première assemblée générale, il y a un quorum
si le quorum n’est pas atteint, s’en suit une deuxième assemblée …
En politique, pourtant toujours dans notre même pays, jamais personne ne suggère cette idée d’un quorum à atteindre, alors que s’il s’agit de votation, de manifestation, l’idée du quorum quelque part revient dans le soufle des massmédias, avec des chiffres de et des tant de signatures, et des tant de grévistes, et des tant de manifestants …
Pourquoi pas un quorum ???
Tirage au sort des représentants
Controle d’évaluation des politiques mise en place, tous les deux ans
Possibilité de récuser tous représentant à chaque évaluation.
En effet rien qu’avec ça on résout déjà beaucoup de problèmes.
J’ai lu la plateforme et les principes des Indignés espagnols, qui s’approchent des cahiers de doléance et d’un premier pas vers une assemblée constituante (source : acrimed). La façon qu’ils ont de gérer les assemblées est assez fascinante (source : Owni). En les lisant, je ne pouvais m’empêcher de penser que le parti n’avait plus d’avenir, que le parti politique, s’il pouvait être utile en tant que force de réflexion et de proposition, de déclencheur (ce qui n’est pas le cas actuellement pour les grands partis), n’était finalement plus destiné à gouverner. Pourquoi ? Parce qu’au vu des demandes qui émergent du peuple espagnol (ou français si son avis lui était demandé), AUCUNE ne sera appliquée par les partis au pouvoir. La corruption ? Le chômage ? Le social ? Pourtant, la lutte contre la corruption et le chômage, la défense et la conquête des acquis sociaux sont des mots que l’on trouve dans la bouche de tous ces politiques. Tous sont d’accord, même si les moyens diffèrent. Une bonne éducation ? Bien sûr : tous d’accord. Mais en supprimant des postes pour être plus efficace. Non, en embauchant davantage de personnels, etc. Tous sont d’accord, même si les priorités diffèrent. La lutte contre la corruption ? Mais oui, bien sûr. Mais le chômage est plus important, vous repasserez après (et évidemment, comme le chômage n’est pas prêt d’être résorbé, la lutte contre la corruption, ce sera aux calendes grecques).
Du centre droit à l’extrême gauche, il y a sur nombre de points le même discours, ce qui n’est guère étonnant, puisqu’il s’agit du bien public. En revanche, tout est fait pour éviter soigneusement de mettre en œuvre un seul but plébiscité par tous les partis. Tout le système est organisé pour faire croire aux citoyens que les politiques luttent pour leur bien tout en en empêchant l’avènement.
Par ailleurs, la délimitation gauche-droite contribue à introduire dans la population des conflits, à monter les gens les uns contre les autres, alors qu’une plateforme très large peut être trouvée entre les différents partis (pas les moyens, les buts). Et c’est précisément cette séparation gauche-droite qui rend caduque la possibilité même de réaliser les buts communs. On dirait presque que ce pivot gauche-droite est conçu pour empêcher la réalisation de mesures demandées d’un seul cri par toute la population (et par tous les partis politiques dans leurs discours), mais gênantes pour les puissances économico-financières (par exemple la réduction du chômage : il est quand même étonnant que TOUS les partis politiques soient d’accord pour faire baisser le chômage, mais que jusqu’à présent ce dernier n’ait fait que monter. Cela en dit long sur la puissance du politique… ou sur sa volonté de résoudre le problème.).
Qu’est-ce que la démocratie de parti politique actuelle ? Un système basé sur le principe de la majorité qui se retrouve en fait à pratiquer une politique que réclament seulement 10% de la population, ce que montre excellemment l’article.
Au contraire, ce principe de la majorité devrait dépasser le clivage gauche-droite et s’attaquer en priorité à ce qui fait consensus dans la population, pour ne traiter qu’en dernier les sujets qui fâchent (sauf urgence), afin de trouver un compromis satisfaisant toutes les parties, ce qui prend du temps, parce qu’il faut expliquer, discuter, convaincre, souvent sur des sujets extrêmement complexes – alors que c’est tout le contraire qui se passe.
Du coup, je me demande si le parti majoritaire élu pour tant d’années est la meilleure solution pour appliquer la volonté du peuple. Le peuple n’est presque jamais sollicité pour donner son avis (et quand il l’est, on s’assoit dessus) : du coup, comment nos politiques savent-ils ce que veut le peuple ? Quand on vote pour un parti, on vote pour un homme, un programme, mais on peut voter en n’étant pas d’accord sur tel ou tel point. On nous vend un package, et le citoyen prend le tout, parce qu’il n’a pas le choix (il considère que c’est un moindre mal par rapport au parti opposé). Mais là où nous pourrions être d’accord avec l’autre camp, le camp que nous avons choisi joue contre notre volonté (par exemple : l’entrée de la France dans l’OTAN pour nombre de gens de droite qui n’étaient pas d’accord ; l’adoption du traité de Lisbonne, etc.).
Et si le seul rôle de l’exécutif était d’avoir reçu mandat du peuple pour mettre en œuvre des propositions émanant du peuple lui-même ? Ce ne seraient plus des politiques partisans représentant au maximum 10% de la population, mais ce seraient des gens se mettant au service du peuple, qui auraient accepté ses décisions souveraines, des gens qui seraient d’accord avec cette idée de la démocratie (les autres se feraient éjecter).
A la lecture de cet article, je pose un autre question : quel est le sens d’avoir un président ET un premier ministre ?
Déjà montré dans d’autres gouvernements d’une seule majorité, montré par les cohabitations et démontré par Sarkozy, le président à un pouvoir plus élevé que son premier ministre, au point où se pose une question de sens du titre de premier ministre, en effet, dans d’autres pays européens (Belgique, Grande-Bretagne, Allemagne (?), …) le premier ministre cumul les pouvoirs du président français et de son premier ministre, de ce point de vu là les deux fonctions n’ont pas vraiment de sens, l’un marchant sur les pieds de l’autre et entrainant un flou sur l’identification des responsabilités.
Dans beaucoup d’états européens, le chef de l’état (roi, reine, président) a une fonction honorifique sans grand pouvoir réel, est ce que dans cet optique là la 5e république n’est pas aberrante ?
Sur ce sujet, qui connait le nom du président de la confédération helvétique ???
(juste pour dire que le nom de nos têtes de coqs ,à la fonction suprême de chef de l’état ou celle de premier ministre, finalement, à bien y regarder, on pourrait tout aussi bien s’en passer, …
Le sens d’avoir un président ET un premier ministre ?…
Le fusible mon cher, le fusible…
Je suis sous l’empire de la boisson et je quitte la classe.
J’ai bien pris connaissance de votre constat, parfois partial (toutes les élections ne se »valent » pas).
Comme je suis idiot, je n’ai pas vu en quoi l’une quelconque de vos douze propositions serait en mesure de remédier à votre constat initial.
Encore un p’tit effort Hercule !
Les français sont loin d’être des imbéciles: ils font très bien (et même subtilement) avec le système… quel que soit le système. Les bons politologues vous indiquent très précisément quelques heures après n’importe quel scrutin ce que les français, votant ou non, ont voulu signifier très précisément. Pour moi les messages sont toujours forts et clairs.
Conclusion: aucun besoin de substituer vos tripatouillages à ceux qui existent.
Je me permettrais tout de même d’oser dire que franchement je trouve notre actuel président particulièrement mauvais dans son rôle, et même de confirmer en osant penser que si nous pouvions en être débarassé ce serait à priori une fort heureuse nouvelle, bien que, bien que certainement encore possible de trouver pire, …
+1
C’est effectivement le seul sujet qui compte. Nous ne sommes pas dans une crise économique, mais politique.
Et la seule solution est une certaine forme de tirage au sort.
577 députés. Vous ne trouvez pas que c’est beaucoup ?
il y a les députés, les sénateurs, conseillers régionnaux, conseillers généraux, maires, adjoints … soit beaucoup plus que 577 élus mais la France c’est quelque chose autour de 60 millions d’habitants ..
Les commentaires ne semblent s’en tenir qu’à la forme: combien? quand? comment?
Ils semblent éluder les deux questions de fond:
1) La démocratie peut-elle être représentative?
2) La démocratie peut-elle être autre chose qu’une idéologie qu’aucun système ne parvient à incarner (à l’exemple du communisme)?
La démocratie ne me semble pas une idéologie, mais un choix pour les citoyens de gérer eux-même leurs affaires, sans déus ex machina ou autres Dieux omniscients pour les conduire
par contre elle n’est pas facile à mettre en oeuvre, la voie représentative est visiblement très carencée, la démocratie directe n’est pas ici abordée, mais serait-elle la panacée ???
(les hommes ne sont pas omniscients, ils ne savent pas tout,: c’est peut-être la le problème, mais cela nous laisse aussi de toujours avoir du fait de cette affreuse imperfection, la certitude espoir ou désespoir, illusion ou désillusion de quelque chose à chercher …)
A mon avis , les sociétés humaines ont suffisamment évolués pour re-introduire le tirage au sort comme au bon vieux temps des débuts de la démocratie
première étape :
une constituante tirée au sort pour définir les règles…
puis un bi-camérisme avec une assemblée nationale par tirage au sort et un sénat élu au suffrage universel ..
+1 pour le tirage au sort.
Ca n’est pas parfait, seulement ca n’est pas manipulable.
Bien sur comme ecrit deja plus haut, une dose de tirage au sort est suffisante.
J’aime egalement beaucoup la proposition de Vigneron de donner une voix par tete de pipe quel que soit l’age. Apres un rejet epidermique immediat j’avoue ne voir presque que des avantages a cela (peut-on imaginer une classe sociale entiere choisissant d’augmenter de concert sa natalite pour s’octroyer un poids supplementaire? j’ai du mal mais si quelu’un a des reflexions la dessus je suis preneur)
Sinon desole pour les accents, et bonjour a tous du Vietnam
P.S. Il y a plusieurs Mathieu sur ce blog
Bonjour,
Ayant parcouru l’article, je m’étonne de voir que vous vous étonnez de voir la non représentation des députés d’origines diverses et variées ou appartenant à des religions X ou Y mais non de la non représentation de certains partis. C’est aberrant.
Cordialement.
Les partis politiques ont été strictement encadrés sous prétexte, notamment, de transparence dans leur financement : seuls les partis historiques et quelques miettes d’autres ont droit à être financés par l’Etat – il en va des partis comme des syndicats, les « syndicats représentatifs » : tout un programme de contrôle et d’empêchement d’éventuels nouveaux arrivants.
Cela fonctionne très bien en Suisse. Pourquoi pas chez nous ?
1°) référendum et votations d’initiative populaire
2°) élection de la chambre des députés à la proportionnelle sans cumul de mandat aucun.
3°) sénat élu au suffrage universel direct par circonscription pour représenter les terroirs.
Ca me fait mal de le dire mais plus je me renseigne sur la démocratie suisse plus je trouve leur démocratie amplement supérieure à la notre.
Les suisses ont en effet bien plus de contrôle sur leurs politiques, même si ce n’est pas de manière parfaite.
Là encore ça me fait mal de le dire vu à quel point je n’aime pas les armes mais le fait qu’ils soient très armés n’est peut-être pas étranger à ça.
Il faut faire évoluer les outils démocratiques:
– le vote vers le vote de valeur qui semble une bonne idée
– simplifier les représentations du peuple du maire au président et de l’Europe
1) pour l’efficacité assemblée nationale constituée d’élus de circonscription au suffrage universel majoritaire ( oblige les alliances et les synthèses ) comme maintenant
2) sénat suffrage universel entièrement proportionnel un seul tour avec requalification de la fonction du sénat ( en finir avec ce sénat fondamentalement anti démocratique et conservateur et place à une assemblée la plus représentative possible de la population )
3) président : faire enfin vers un vrai régime présidentiel ou parlementaire
– contrôler :
les durées des mandats et la gestion des conflits d’intérêts
le népotisme et les dynasties d’élus
Bref mettre en place des règles simples, comprises par tous qui permettraient de déléguer la gestion du bien commun. Ceci afin d’offrir à tous la tranquillité pour s’occuper honnêtement de son bien privé.
[…] problème de représentativité : sur 100 français, 85 sont inscrit sur les listes électorales, 37 votent et 8 votent UMP, ainsi les décision prise par l’assemblée nationale sont en accord avec seulement 8% des français. sources : ET SI ON ESSAYAIT PLUTÔT LA DÉMOCRATIE ?, par Olivier Berruyer . […]
[…] ET SI ON ESSAYAIT PLUTÔT LA DÉMOCRATIE ?, par Olivier Berruyer […]
[…] background-position: 50% 0px; background-color:#222222; background-repeat : no-repeat; } http://www.pauljorion.com – Today, 3:55 […]
Bonjour, que pensez-vous du système de « démocratie liquide » du Parti Pirate allemand ?
[…] Blog de Paul Jorion » ET SI ON ESSAYAIT PLUTÔT LA DÉMOCRATIE ?, par Olivier Berruyer 1/ Imposer le principe d’un mandat politique national unique, dont la reconduction sera limitée à une fois en tout et pour tout. Veiller à leur assiduité sous peine d’exclusion ; Les meilleurs leaders politiques pourront ainsi rester10 ans à l’assemblée puis 10 ans au Sénat, ce qui est plus que suffisant… Enfin, le diagnostic ayant été posé, concluons sur une note constructive, en proposant 12 idées de réformes… […]