@ilicitano La question n’a pas de sens : « 493.000 kWh : quel serait le besoin en panneaux solaires pour fournir…
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@ilicitano La question n’a pas de sens : « 493.000 kWh : quel serait le besoin en panneaux solaires pour fournir…
Ne croyez vous pas que nous sommes suffisamment pourvus en dieux et autres divinités ? Au vu de tous les…
Sans compter le fait que pour 100 vaches françaises, 40 produisent du lait pour l’exportation !!! « Les produits laitiers français,…
Dieu connait pas mais de petits Lucifer … ça court les rues. Puis le souvenir de la ville de Dité,…
C’est la Chine qui va être contente !😄
Copilot/GPT4 a alors coupé de dialogue et je n’ai pas pu l’interroger sur énergie vs puissance !!!!!!
@Pascal Copilot /GPT4 fait des erreurs majeures : moi: 493.000 kwh : quel serait le besoin en panneaux solaires pour…
La question de l’énergie n’est-elle pas un point aveugle dans l’idée du remplacement de l’humain par les robots ? Certes…
Être un athée « convaincu », une forme de croyance radicale donc, autrement dit de l’intégrisme athée..
Hum… Problème de répartition des terres… Voir la remarque de Pascal le 18/4 à 20h43 Il y a peu, à…
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208 réponses à “LA « VALEUR » (II) LE CONCEPT DE « VALEUR » NE SERT QU’À UNE SEULE CHOSE : JUSTIFIER UNE « SCIENCE » ÉCONOMIQUE QUI NE SOIT PAS UNE « ÉCONOMIE POLITIQUE »”
Voilà une démonstration intéressante…
Il serait intéressant de se demander si cette critique de la valeur au sens économique peut avoir une répercussion sur la valeur philosophique, telle que par exemple on peut la voir présentée sur des sites comme http://www.axiologie.org
Je partage en tout cas votre analyse sur la valeur économique !
Je n’ avais pas vu cet article , analyse remarquable de P.J.
Plus que philosophique, il me semble que cette analyse est mathématique et tend a démontrer que la valeur d’ une production varie en fonction du lieu et du temps …….que la modélisation des échanges , meme en laissant de coté l ‘ affect , pour ne se préoccuper de mettre en equa les besoins liés a la production de biens essentiels , …que cette modélisation aboutit a des equa complexes , differentielles ,…. irrationnelles ….. et que chercher a les rationaliser ne peut se faire qu’en « trichant » , qu’en simplifiant les equa , qu’en fabriquant des equa linéaires ……qui ne pourront donc pas bénéficier des attracteurs stabilisateurs propres aux systèmes complexes .
La modélisation en économie est une réduction. Cette simplification permet d’appréhender uniquement des tendances. Mais la tendance comme résultat se confronte à l’évolution de l’environnement. Cette confrontation amène l’analyste à intégrer de plus en plus de variables. Cette complexité rend l’outil inutilisable et même démagogique.
La valeur est illusoirement un point fixe par le prix. Mais le prix ne reflètera jamais la valeur. Celui-ci peut seulement intégrer des valeurs. La notion de valeur se rattache à la notion d’usage. L’utilité d’un élément sert de valeur. Dans ce sens, la valeur est une production de l’esprit qui attribue une utilité à un élément afin d’en tirer un profit, un intérêt. C’est dans la fonctionnalité que se trouvent les balbutiements de la notion de valeur. L’utilité devient la réponse à un besoin lié à une appréhension de la condition (environnement).
L’espace et le temps (en tant que condition) encadrent notre approche de la fonctionnalité. Notre compréhension de la condition humaine nous conduit à définir des objectifs. Si l’on considère que l’espace est fini alors nous devons appréhender le facteur rareté. Afin d’établir des relations humaines en terme d’échange, la monnaie sert de support de répartition des prix. Le moyen d’échange a comme utilité (en tant que valeur d’usage), la valeur d’unité de compte et d’intermédiaire en terme de fonctionnalité. Mais le moyen d’échange peut avoir d’autres utilités qui répondent à des besoins différents. Ce sont les institutions qui encadrent les fonctionnalités possibles. On parle alors seulement de motifs de détention de la monnaie.
Donc, attribuer une utilité, une fonction à un bien ou service, c’est le définir en terme de profit, de valeur ajoutée, de gain et lui attribuer un prix, c’est déjà le posséder dans une dimension temporelle. Le processus de spéculation commence par l’imagination d’une fonctionnalité. La notion de valeur est une réponse à notre compréhension de l’environnement. Et nous ne pourrons pas trouver un point fixe car notre environnement évolue. Ensuite, les progrès scientifiques changent notre condition et parfois notre approche de l’espace.
La valeur d’échange apparaît plus tard dans le processus de définition de la valeur avec la notion de monnaie. La valeur d’échange d’un élément apparaît avec la définition de la monnaie comme moyen. La notion de valeur peut alors être pervertie en fonction du désir d’échange et de l’objectif de l’échange. Il y a une définition fonctionnelle de la valeur par l’usage et une définition institutionnelle par l’échange.
Si ceux qui créent ou contrôlent des valeurs monétaires et financières pensent que la rareté est une fatalité dans leur compréhension de la condition alors ils fabriquent en leurs faveurs des outils qui sont des armes de répartition des ressources. La valeur de l’instrument, c’est aussi qu’il peut être une arme ! C’est pourquoi, l’usage définit en partie la valeur en fonction de « comment nous nous en servons en terme d’objectif ». La valeur se crée par une fonctionnalité (comme bénéfice escompté) et elle évolue dès son usage (la façon de l’utiliser).
La notion de valeur : un outil ou une arme ?