Copilot: Le projet de l’EPR de Flamanville a rencontré plusieurs problèmes majeurs au cours de sa construction: 1. **Fissures dans…
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Copilot: Le projet de l’EPR de Flamanville a rencontré plusieurs problèmes majeurs au cours de sa construction: 1. **Fissures dans…
Ils sont de qui, Pad, ces « poêmes »?
C’est le problème lorsqu’on a trop de pognon sur son assurance-vie et qu’on a peur de le perdre: on fini…
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Depuis un an au moins, des vents qui se poussent du col et tempêtent furieusement , des pluies qui inondent…
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Non, ce n’est pas la même chose, Paul l’explique très bien, relisez. Les stocks options motivent les dirigent sur des…
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154 réponses à “CHANGEMENT DE PARADIGME : NOUS SOMMES TOUS DES LEONARDO DI CAPRIO, par El JEm”
Léonardo Di Caprio était aussi le héros du « Titanic » ! Ce ne sont pas des gens raisonnables qui nous sauveront ! Car ceux-là sont devenus des fous pathologiques et nous ont contaminés (propagande, poubelles, peurs, impôts, scandales, violence d’Etat, …. !)
Ce sont des enfants, des hommes, des femmes ordinaires qui auront interconnectés grâce à la Folie divine leurs deux hémisphères droit et gauche. Inis dans une même fraternité à l’intérieur de leur corps et de leur coeur ! C’est ainsi que des embarcations disponibles depuis la Nuit des Temps viendront les accueillir pour un autre voyage ! Le vôtre se termine Messieurs dans le Titanic, buvez votre dernier whisky !
@El JEm
Votre article est le parallèle exact d’un article que j’ai publié sur mon blog il y a de nombreux mois, mais concernant les entreprises.
En fait, il s’agit d’une retransciption et d’un complément à la théorie systémique (Von Bertalanffy, Crozier, Lemoigne, …).
Je suis moi-même architecte et urbaniste d’entreprise (au sens organisationnel).
L’Architecture d’Entreprise est une discipline relativement récente, puisque développée par Zachman dans les années ’80, et encore complétée actuellement.
Elle est encore relativement peu développée en France.
L’urbanisme d’entreprise est une notion que j’ai inventée, et que j’ai décrite dans cet article:
Le Blog des FUSACQs et de la Gouvernance
Vous verrez que la transposition est aisée et correspond au fond de votre article…
J’ajouterais que l’on constate actuellement tous les signes correspondant à la théorie de Marianne M Jennings dénommée « les sept signes de l’effondrement éthique » (ethical barometer).
Bonsoir à tous
@El JEm: vos lunettes ne seraient elles pas le mur de la caverne de Platon individuelle et portative que nous touchons tous à la naissance?
Il faudrait aussi s’intéresser encore à cette curieuse propriété de l’humain d’entendre deux fois : une première fois de travers et éventuellement une seconde fois de manière autre: pour ce qui concerne l’occident, ce phénomène est particulièrement bien décrit par le « Sacrifice d’Abraham »
Cette double entente couronnée de lunettes est cause de bien des vicissitudes pour l’humanité et c’est une des lois comportementales les moins connues!
Cordialement.
« A ce titre, la dénomination française de « pôle de compétitivité », plutôt que de « pôle de coopération », semble issue d’un monde en voie de disparition. »
Nous ne sommes pas très nombreux à remettre en cause le concept même de compétitivité au profit de celui d’efficacité, merci pour ça.
-On est pas forcément bon, mais selon un critère unique (plus ou moins con: quantité vendue, marge pour le fabricant,….), on est meilleur que les autres, on est donc compétitif et selon le sens commun, c’est bien.
-On fait de notre mieux ensemble en fonction de quelques critères choisis en commun, on est le plus efficace possible, mais tout le monde s’en fout, parce qu’on arrive même pas à l’imaginer et parce personne ne ramasse le pactole, donc rien ne se voit.
Mais ça va changer, ça a déjà commencé à changer.
Monsieur El Jem,
Remarquable ! Vous mettez en forme des idées dominantes avec une critique de ces dernières. Votre texte est le tout premier de ce type que je peux lire. Je n’ai pas eu le temps de tout lire mais j’en retiens que vous mettez en lumière ce qui est défendu à tout prix par leurs bénéficiaires. Vous mettez en lumière qu’une partie de notre histoire dépend de nous et de ce que nous pensons être la réalité et la vérité. Vous mettez en évidence qu’il y a eu abus de l’idée de science dans les relations humaines.
À mes yeux, en contrepoint, vous mettez en évidence l’importance de la soumission exigée et obtenue par ces « scientifiques ». Vous mettez en évidence leur inhumanité, leur amoralisme.
Vous mettez en évidence que pour trouver d’autres lunettes, il faudra sortir du cadre de pensée actuel. Je suis curieux, très curieux de savoir comment cette sorite se fera (c’est l’issue optimiste).
« comment cette sortie se fera » ??
Avec une belle bosse sur le front !
Pour la version pessimiste (pas la pire), je vous conseille la série « Mad Max ».
Ce n’est qu’un effondrement de civilisation …celle de l’énergie gratuite .Comme chaque civilisation qui s’effondre de son gigantisme et de sa pénurie de resources.
L’effondrement prend souvent du temps et n’est pas la caricature catastrophique que l’on décrit souvent . Pour l’effondrement tres lent de l’empire Romain , les archeologues s’étonnent de ne pas trouver de charnier , ni de mortalité statistiquement accrue , mais juste une multiplication de monnaies locales .
AUCUN DETOUR NE MENT
Essai de légitimation de la prédation
La mer, mère, avec sa compagne la terre, avait institué l’ordre, ou plutôt un ordre plus ou moins divin. Le village du rivage s’en trouvait bien Le poisson étalé sur le sable s’offrait au soleil assoiffé. Sa substance racornie devait alimenter maintes futures saisons jusqu’aux prochaines expéditions de pêche sur des esquifs dont la légèreté embellissait leur solidité têtue.
Vint un temps où apparurent loin du rivage des machines corsaires entraînées à dévaliser les fonds marins. Le poisson vint à manquer .Il fallut s’organiser pour faire face, maigrement, à ces prédateurs qui violaient la loi humaine et naturelle et faisaient main basse sur la nourriture. Apparurent en miroir les pirates indigènes de la terre qui rançonnèrent, parfois tuèrent quelques visiteurs gavés de graisses et d’insouciances, venus de contrées inconnues picorer les délices du désert Ce n’était que justice, ou plutôt une forme de justice illégale, métastase incongrue, légitime, de cette justice légale qui tolérait l’intolérable.
D’autres pirates sur d’autres mers, d’autre souleveurs de révoltes s’organisaient pour s’emparer d’armes ou d’otages, imposer une forme imprécise d’équité et rétablir dans des droits humains des êtres se fragilisant jusqu’aux désespoirs, jusqu’aux suicides.
Il y a bien les penseurs, les savants, les poètes dont quelques uns, socles de vertus, tentent de faire prendre conscience aux prédateurs primaires de leur connivence létale avec des forces de plus en plus incontrôlables à mesure qu’elles sont lâchées sans filets. Mais la voracité se nourrit naturellement de sa propre faim, de sa propre fin, et détruit le monde.
Faut-il voir, à partir de ce constat, que l’on peut faire remonter à l’avènement du néolithique, l’évidence du ratage primordial de notre univers, comme le souligne Paul Jorion ?
Dans mon petit coin je réfléchis et pratique à ma petite mesure des inversions, des bifurcations naines, ne sachant pas encore dans quelle direction m’acheminer et trouver les moyens, en compagnie des autres, de m’opposer, avec mes forces mâtinées de faiblesses, avec mes faiblesses mâtinées de forces, à ces courants exterminateurs qui me cernent derrière leurs écrans de fumée insidieusement odorante.
J’arrive à gratouiller, à inciser, à dépiauter l’écorce des choses, à ravauder le ratage, à rafistoler, à enseigner des transgressions, à marauder les pommes et les noix abandonnées dans les jardins et les friches prolifiques pour les offrir à des amis englués dans les savoirs et les obéissances à des lois scélérates.
J’en suis là, et laisse mes mots crier. .
…
l’univers n’est pas raté du tout , il n’est pas encore cosmos . il s’ordonne petit à petit , lent à nos yeux impatients , mais cette harmonie qui nait ou se défait , c’est nous en dernière instance , c’est à nous de jouer.
j’adore votre cri , merci .
merci démultiplié en écho
Jacqueline
C’est vrai que le système actuel a toujours reposé sur des idées reçues d’ordre philosophique. Outre le fait qu’il existe des divergences entre nos vues et attentes du système capitaliste et ses effets réels, je pense qu’il n’existe pas de système idéal.
Mieux qu’une vision réaliste de l’économie, il me semble que c’est d’adaptations régulières dont il faudrait tenir compte. Comme le communisme, le capitalisme possède ses vertus. Simplement, le capitalisme est arrivé à son paroxysme selon moi. Il ne nous portera pas plus loin dans sa forme actuelle. Et c’est surtout de ne pas vouloir le modifier, l’adapter qui nous nuit.
Changement de paradigme, un p’tit coin de paradis…;
OCCUPY SEATTLE – Le maire interdit les parapluies
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/10/11/occupy-seattle-le-maire-interdit-les-parapluies/
Monsieur El Jem,
Je retiens de votre texte les points suivants.
Une loi de l’offre et de la demande confrontée aux observations est démentie par ces dernières. Alors il a été décidé d’adapter la réalité à cette loi, pas le contraire.
Les transactions économiques servent de relations humaines. Elles évacuent toutes les externalités sur le dos du monde entier et concentrent les bénéfices sur les acteurs de la transaction. Cette opération est essentiellement instantanée. Le monde non économique disparaît littéralement de la vue de nos sociétés et c’est ce dernier qui doit payer la note présentée par les marchands. La note est présentée comme le résultat d’un processus indépendant de la volonté humaine, i.e. c’est une catastrophe naturelle dont personne n’est responsable et surtout pas leurs auteurs.
Les transactions économiques doivent se faire dans un environnement concurrentiel pour que la loi de l’offre et de la demande s’applique bien. Tout projet légèrement complexe exige le contraire.
Des conséquences comme le gaspillage de ressources naturelles irremplaçables ou la croyance que la croissance économique est la solution à tous les problèmes en découlent. Il y a aussi un anéantissement de toute décence commune entre les humains. Cela nous mène dans une impasse écologique, économique, philosophique, de société, de vision de la réalité, éthique et j’en oublie certainement.
La sortie de cette impasse s’annonce difficile. Mais elle est claire. Ce texte le prouve.
Selon ce texte, si la loi de l’offre et de la demande est invalidée, notre société s’effondre. Dans cette optique, TINA est une réalité. Si une autre société est possible, alors TiNA est une chaîne. Qu’est-ce qui peut servir de socle de remplacement ?
Il est aussi possible de regarder au delà de cette loi. Elle a été acceptée car elle correspond parfaitement à ce que l’on nomme individu au sens moderne du terme. On peut aussi ramener l’être humain à un être matériel et seulement matériel. Alors il ne peut qu’être égoïste, calculateur, poussé par les tropismes du plaisir et de la douleur. Alors la société, la décence entre les individus, la politesse, l’éthique et tout le reste ne sont que du vernis. Le pire en devient certain. Le massacre général ou le suicide global deviennent des certitudes. Tout le reste n’est que babillage.
Un autre moteur très puissant du soutien à la loi de l’offre et de la demande est l’idée que la science peut traiter et résoudre absolument tous les problèmes. Je pense à une science du type physique du XVIIe siècle. Elle pose des hypothèses qui expliquent des faits d’observation. Tant que ces derniers entrent dans le cadre, il sont bons. Sinon, il faut changer d’hypothèse ou de réalité. En économie et dans la société, la deuxième alternative est toujours possible.
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