Un coup tu, un coup vous 🥱 La fatigue ! Tu vous réponds comme tu vous veux…
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@Pascal que nenni ! rien de tout cela ! En fait cela fait 6 ou 7 ans que je m’intéresse…
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87 réponses à “LA DICTATURE DES ACÉPHALES, par Bertrand Rouziès-Léonardi”
En l’absence de réels dirigeants, la démocratie vacille ?
C’est que les succédanés actuels ne fonctionnent pas et que la Démocratie reste à inventer.
Avant on faisait la guerre au nom d’un Dieu, celle-ci étant mort (Nietzsche), remplacé par la science et la technique, les chevaliers modernes la font au nom du capitalisme.
Le fanatisme islamiste c’est de la nioniotte comparée. Que la fête commence.
Très manifestement, avec ce visage et son extraordinaire sculpture, quelque chose qui peut être dénombré parmi les preuves par l’art.
C’est dommage que les artistes reçoivent simplement une côte -pour faire reconaissance- en retour….
Il y a des choses absolument singulières, pour preuve d’une valeur, rarement trouvant contre-valeur en argent.
Il y a, pour autant, car avec une extraordinaire importance, la collection…..
Où est la collection?
Bonjour Zenblabla.
Je ne sais pas si une œuvre d’art prouve quoi que ce soit. Pour ma part, si je trouve une œuvre belle, c’est parce qu’en la voyant, elle m’aide à voir.
Les sculptures de Pimienta sont disséminées et les musées dépositaires, sauf rares exceptions (le Musée des Années 1930, par exemple), les laissent s’empoussiérer dans les réserves. Un grand nombre de pièces sont conservées à La Colombière, le dernier atelier du maître, à Chênehutte-les-Tuffeaux, propriété de l’Institut de France, mais aucun parti esthétique ou pédagogique n’en est tiré. La chose est d’autant plus incroyable que Pimienta fut un ami du patriarche Maillol et que celui-ci reconnaissait et enviait à son cadet un talent qu’il n’avait pas, celui de donner vie à un visage. Pimienta n’eut pas une Dina Vierny pour assurer un rayonnement posthume à son œuvre. Sa protectrice et modèle Germaine de Narros mourut un an avant lui et l’Institut de France ne fit pas grand-chose pour faire fructifier le legs généreux qu’elle lui avait fait. En ce qui concerne les écrits de Pimienta, poésie et critique d’art, aucun n’a été réédité ; il s’en vend parfois sur Amazon. Il faut se tenir à l’affût. L’association des Amis de Pimienta la diffuse par tranches et par petits bouts dans ses publications.
Cordialement.
L’enfance ou le silence des maux
si nous étions « nature », serions nous autre que la nature ?
la nature, est-ce autre chose que l’Être manifesté ? serions-nous sans Être ?
la totalité qui se présente à nos yeux surgis de nulle part retourne nulle part , en laissant au milieu de cet Océan d’incertitudes un Å’il qui l’a vue ?
on dirait qu’il a fallu que nous soyons dénaturés pour que cette distance nous la rende compréhensible/incompréhensible et du même coup, soyons ainsi à nous-mêmes .
il est vrai que si nous étions depuis le début restés dans cet état de nature, notre évolution serait minimale. . on s’en serait à peine rendu compte , cela serait passé comme un rêve . ainsi y a-t-il des raisons qui nous ont fait sortir de ce rêve ? ( sorte de fusion innocente avec le tout )
Tout est étonnant . déphasés, coupés, n’ayant qu’une vision compliquée des choses parce qu’elles sont devenues ainsi, qu’est-ce qui pourrait rendre possible une situation inverse , sans que cela ne se fasse par un dictat qui unifie sous la contrainte ? ( oui, pourquoi les dictats ? )
le plus invraisemblable , à mon sens, c’est dès lors qu’une figure de « vérité » apparait , soit on la tue et on en fait un instrument pervers , cohérent au fait de l’avoir tué,
ou dans un autre cas de figure , cela passe inaperçu , laissant libre cour à la dictature .
dire que la nature, n’a d’autre plan que de se maintenir, de demeurer , sans doute , surement et cela lui suffit . mais périr ? succomber dans une autre nature ? hors de sa nature initiale ?
dessus ou dessous ?
par conséquent voir de quelle nature « nous » sommes issus . ce serait progresser . et faire retour vers elle .
voyez, hier soir , un concert a mis le feu dans la salle . cet ensemble d’humanité en fête m’a paru unie, et joyeuse . comme quoi , c’est possible de vivre . d’assembler des solitudes . il n’y a eu personne pour décréter à quel moment nous devions rire ou danser .
la nature humaine n’est pas si complexe que ça . des bons pains, des sons au moment approprié, et savoir sa mort, ce qu’il faut donc éviter de donner . ( et sans rire, ceux qui donnent leur vie ne donnent pas leur mort , l’exercice est rude quand on est mort au fond )
par contre , le réseau de l’araignée tissé historiquement du fait de nos défaillances , de notre peu de confiance et qui fut assassine des messagers et saints et prophètes , des porteurs de vérités , opposés aux promoteurs d’oppressions , Pourquoi est-il inébranlable ? cette emprise à laquelle le monde croit .
sans doute la dictature est l’assistant impitoyable du divin bafoué oublié ou méprisé annulé . bon, il est encore heureux que les blessures se soignent , que les êtres ne puissent pas être absolument désolées , abandonnées et coupées de leur Être , ou ce qui compose leur Vie , et qu’ils composent , dans une sorte de cercle adorable . se suffisant , satis fait .
comme si en fait , l’Å’uvre donnait toute jouissance à l’oeuvrier. et à notre échelle , les œuvres en nombre suffisant ouvraient nos voies , prouvaient quelque chose, sans besoin démesuré de plus .
tout ça pour dire quoi ? que les dictats européens, mondialistes, empires de toutes sortes ne peuvent tenir que sur un terrain faible et déchiré .?
c’est pourquoi les arts vivants sont utiles s’ils sont populaires . donnés au gens .
les sciences ? mais oui, sont aussi des arts . dans le sens de donner à penser , à raisonner , etc; mais si elles ne servent que des puissances, c’est le côté obscur de la force . ( ça ne date pas d’aujourd’hui, sinon on n’aurait pas tué Jésus )
on dirait donc, qu’il faille traverser cet océan de complication pour retrouver sa nature , état d’Origine .? comme on sort d’un dédale . ce qui ne devrait pas nous empêcher de demeurer ici bas .
( excusez le brouillon , je n’ai pas trop le courage de mettre mieux en forme ces lignes )
Dans certaines situations, comme la crise économique actuelle, l’imbroglio n’est pas un signe d’organisation supérieure mais l’indice d’une confusion chimérique des genres. Des mesures simples (certaines ont été énoncées par Paul à plusieurs reprises) pourraient en rompre l’emmêlement mortifère. Ceci posé, en dehors des manifestations festives du type de celle que vous décrivez, l’appréciation simple du réel est parfois le boutefeu de la conflagration. Un exemple : le nationalisme. Il y a deux nationalismes en Europe, un nationalisme d’adhésion – j’adopte, après les avoir étudiées et questionnées, les valeurs constitutionnelles et traditionnelles du pays où je nais ou qui m’accueille – participation complexe, et un nationalisme d’ambiance – je m’identifie aux valeurs du groupe où j’évolue du fait même que je m’y trouve -, participation simple. La seconde forme de nationalisme est celle qui prospère le plus en Europe centrale. Serait-il envisageable de corriger le second par le premier ? En somme, si l’on peut réparer un mal complexe par une solution simple, ne faut-il pas l’empêcher de se produire par une réflexion complexe ? La simplicité des origines, je n’y crois pas trop. Du reste, nous ne savons guère à quoi elle pouvait bien ressembler. Il y a beaucoup de projections qui en brouillent l’approche. En revanche, j’incline à penser que pour mener une vie simple, vu la multiplicité de nos entraves (je ne parle pas des rares bienheureux qui sont nés sans entraves), il faut au préalable avoir embrassé le monde et soi-même dans un effort de réflexion considérable. Toutes vos réflexions, Éric L, témoignent de ce qu’on ne part pas de la simplicité, mais qu’on y vient.
Je ne crois pas de mon côté à l’évolution telle qu’elle est présentée . je veux dire, ce n’est pas la complexité croissante qui fait l’évolution, mais l’évolution qui ouvre la voie à un être plus complexe , porteur de plus de virtualité . sans doute , même, faut il voir l’homme comme un saut dans la chaine des évolutions , saut vers le bas, autant que vers le haut . mais néanmoins rupture avec l’organisation naturelle qui coule de source pour ses habitants naturels . ( si l’on en croit le fait que le questionnement est le symptôme de cette rupture ) .
mais saut qui permet à l’esprit de l’homme de se choisir . de s’édifier et de se réparer .
si on prend la maladie, elle est souvent simple , limite insignifiante , mais issue de causes complexes ( sucre pour les caries, industries, etc.) , et par conséquent emprunte toutes formes complexes . elle demande en effet une réflexion complexe pour arriver au simple . l’état « normal » . ( mais l’homme n’est pas normal )
mais oui, toutes les approches en sont brouillées , quoique …
elles se résument à peu . et demeurent indicibles . et leurs non dits se recoupent partout , à mon avis . et dépassent toutes les frontières .
si nous pouvions les dire, que vaudrait la nécessité d’être là ?
on serait « vérité » .
en vérité, je crois que nous n’avons pas retrouvé le simple en nous , ni hors de nous , empilant toutes sortes d’éléments épars , dont certains nous brouillent la vue .
pour revenir à l’économie, réelle et non théorique, les entraves, les murs sont presque un cadeau des cieux pour nous montrer combien nous faisons fausse route . Les nourritures offertes en abondance devenant cause de famine ?
comme on dit , les oiseaux gèrent mieux leur monde .
adoption ou identification ? y a pas une troisième voie ? celle qui vise à chercher on ne sait où » son je » . ( songe ou mensonge )
sans doute le sentiment de se sentir étranger au monde qui me fait dire ça . ( je veux dire d’un monde inhumain, n’est ce pas )
pub 😉 http://art-le-ny.fr/souve.html
Bonjour,
Je suis le fils de Pierre Pimienta qui fait partie de la famille de Gustave Pimienta.
Votre article m’a beaucoup touché, je partage entièrement votre réflexion et je vous remercie d’avoir écrit cet article.
@PIMIENTA
Bonsoir PIMIENTA. Remerciez Gustave. C’est lui l’aiguillon.
Si d’aventure vous repassiez par ce fil, je vous renvoie au site des Amis de Pimienta : http://www.lesamisdepimienta.com. Vous y trouverez les coordonnées des principaux animateurs de l’association qui s’efforce de rendre à ce sculpteur la visibilité qu’il mérite. Contactez-les. Tout témoignage, surtout s’il vient d’un parent, est le bienvenu. Cela dit, je crois que votre père est déjà en rapport avec les Amis…