@Rafio ah…..Michel Clouscard un esprit habité d’une rare prémonition . Dommage qu’il soit né trop tot pour pouvoir éviter les…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
@Rafio ah…..Michel Clouscard un esprit habité d’une rare prémonition . Dommage qu’il soit né trop tot pour pouvoir éviter les…
» je ne vous recolle pas les potentielles capacités et compétences du futur bidule… » Une petite quand même pour la…
Qui sait si nos lointains ancêtres ne se sont pas foutus sur la tronche pour contrôler les meilleurs gisements de…
@Pascal Nous ne sommes que superficiellement à la merci de ces ploutocrates perfusés à l’idéologie de la croissance. « Nous sommes…
@Philippe Vogt-Schilb Vous pensez que , en particulier, notre société polythéiste est plus tolérante ? Sérieux ?
Sinon pour celles et ceux qui on l’avenir devant eux chaque fois qu’ils se retournent, y’a @Trollichon des fourrés qui…
La question que l’on se pose ici, au soviet de la vallée sans lauzes est la suivante: à raison de…
😂😂😂👍
ok. Puisque personne n’est allé débrancher le « perroquet »… Vaut-il mieux utiliser l’élec pour faire tourner les Matous GPT ou les…
Bonsoir, la 2ème partie de v/com. est éloquent. Vs faites des remarques éloquentes. Je m’interroge d’ailleurs s’il ne faut pas…
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112 réponses à “LA DIFFÉRENCE ENTRE UN BON FILM DE SÉRIE B ET LE MONDE QUI NOUS EST OFFERT”
P. S. : Vers la fin, on voit l’anarchiste qui attire l’attention du flic qui l’emmène pour être pendu sur le chat noir qui signifie comme il le dit : de la malchance pour l’un ET pour l’autre.
Mon chat personnel est heureusement de type européen de gouttière , tout à fait comparable, dans ses teintes et ses moeurs, à celui mis en video par Renou et sensible à la musique .
Vous n’avez vu que Monsier Draghi dans votre rêve de sièste ? pas de chat noir ?
Le cours des choses devient de plus en plus mystérieux. Je pense au roman de Philip K. Dick, Ubik, le monde est de plus en plus comme cela, mais chut !
Oups ! J’oubliais : 😉
« …Je n’ai pu attribuer d’importance aux faits et gestes des hommes qui ont cru diriger ces évènements , mais qui moins que tous les autres acteurs y ont introduit une activité humaine libre….. » ….. »….de cette loi psychologique qui pousse l’homme accomplissantl’acte le moins libre à imaginer après coup toute une série de déductions ayant pour but de démontrer à lui même qu’il est libre . »
« Le lien le plus fort , le plus indestructible , le plus lourd , le plus constant qui nous attache à nos semblables est ce qu’on nomme le pouvoir, et le pouvoir , pris dans son sens véritable, n’est que l’expression de la plus grande dépendance où l’on se trouve à l’égard dautrui . »
Bonjour, Juan Nessy, Je vous réponds, ici, d’un peu loin et un peu tard ; il y a quelques jours vous écriviez ceci :
« Le pouvoir », en effet , n’est pas inscrit dans notre neurophysiologie. Il y a , comme vous le savez, seulement trois circuits principaux, celui de la recherche du plaisir et celui de l’évitement du déplaisir, plus le troisième, celui de l’inhibition de l’action, utile pour le lièvre coincé dans guérets par le passage du chasseur. Pour le reste, nous assumons tragiquement le fait que l’obtention des objets gratifiants disponibles sur un territoire fut historiquement liée à l’établissement de hiérarchie, cette structure fonctionne de façon stable, elle génère, tout niveau de l’échelle, une situation d’équilibre relatif permettant à la compensation du déplaisir reçu d’en haut en tapant vers le bas « si tu n’es pas satisfait de ton sort, tape sur ton âne et s’il résiste reporte ta colère sur ta femme ».
« L’argent » est le véhicule premier d’établissement de hiérarchies, aussi « faire, enfin, payer les riches » sans, d’abord, prendre conscience des déterminismes inconscients de notre neurophysiologie, c’est, à mon avis, changer de cadre pour recommencer une même partie. L’argent et la propriété sont des symptômes
Il va falloir choisir entre connaître, ce qui est une action totalement désinhibée, ou consommer les objets manufacturés utilisés comme marchandise n’ayant pour objectif que de reproduire la structure hiérarchique, lesquels sont devenus vraiment très dangereux ces derniers temps !
Enfin , l’ivresse révolutionnaire assouvira bien des frustrations, … ça ira, ça ira … ce sera déjà ça de pris 😉
@ Marlowe merci pour ( Holloway -Traduction de José Chatroussat )
@ Jean-Luce Morlie :
Bonsoir ;
Mes circuits neurophysiologistes ne sont pas scandalisés par vos propos .
La connaissance , c’est aussi de la neuro-physiologies .
La hiérarchie est aussi une approximation erratique .
Mais de façon « concrète » , entre raison et vitalité émotive , entre philosophe et anarchiste, entre sédentaire et nomade ( clin d’oeil) , entre utopie et réalisme, entre liberté et libéralisme , entre l’eau et le feu , parfois entre homme et femme , entre bonheur des peuples et marché , c’est le même combat de la mesure nourrie de l’empathie , de l’inventivité et du l’anticipation , qui se joue .
Il y a espoir tant qu’il y a combat entre ces deux appels .
Il n’y en a plus quand il n’y a plus de règle au combat et que l’un des combattants triche .
Ces règles sont l’apanage de la Démocratie et de sa condition : la vertu ( pour moi traduit en Responsabilité ).
C’est pour cela que je suis sensible au travail de PSDJ , dans sa tentative de redonner une chance au combat, en esquissant des règles qui pourraient être un jour démocratiques, et d’une certaine façon , nous faire gagner du temps et des souffrances immenses , sur un trajet inexorable de l’Histoire, si ellle doit se poursuivre .
Ce qui est le message à la fois désespérant et positif de Léon Tolstoï que je citais une nouvelle fois .
Un des attraits du pouvoir (hiérarchique, ou du possédant, d’une norme d’apparence) c’est le contrôle qu’il renvoi sur le conscient (comme nos habitudes), on compense nos peurs (mort, amour, ce qui nous rend fragile).
Y à t’il un lien entre la city et le flegme, so British?
Et pour garder le moral rien de tel qu’une nouvelle louche de subprimes, cette fois-ci dans le domaine de l’automobile !! Cela devrait faire plaisir à M Jorion
http://news.investors.com/article/620090/201207271807/gm-risky-subprime-auto-loans-fuel-sales.htm
Avis au amateurs de « vieux » films, voilà un site qui devrait vous ravir à moins qu’il ait été rendu public lors d’un autre message :
http://www.bigfiveglories.com/
Pas forcément des grands films mais quand même l’esprit d’une époque…
Comme film rigolo, on a aussi celui-la du Japon (A. Kurosawa)
http://www.dailymotion.com/video/xi1vo5_akira-kurosawa-apocalypse-nucleaire-1990-extrait-de-dreams-version-fra_news
et c’est de saison.
Bonsoir à tous
» …..manque le scénariste génial… »
Doux Jésus Paul!
Suggèreriez -vous implicitement d’envoyer le BHL conseiller Mario Draghi ?
Cordiales OAT
Je lis beaucoup de blogs (comme tout un chacun),
mais n’interviens jamais (ou presque) pour de multiples raisons.
Mais là, puisque la discussion devient plaisamment cinéphilique
(vacances obligent ? On peut parler de choses plus « légères » ?),
je déroge…
Seul « ROMA », et je l’en remercie, a fait allusion à un géant (qui n’est pas d’Hollywood,
que je crois connaître assez bien par ailleurs), qui vient de disparaître,
et qui devrait concerner largement cet aréopage : Chris Marker.
Et chacun continue de broder sur d’excellents films Z
(sauf certaines grosses machines) !
Alors que Marker, après avoir été résistant, a filmé TOUTE SA VIE
(comme René Vautier, puis quelques autres) ce qui concerne ce blog au premier chef.
Peut-on, ici, au moins « marquer le coup » ?
Paul Jorion, ou l’une de ses connaissances spécialisées, peuvent-ils rendre « hommage »
(je déteste ce terme, mais allons-y !) à un cinéaste d’une telle pointure ?
Après, nous pourrons avoir avec plaisir un débat (de haut niveau filmique, évidemment)
sur les beautés cachées de la production hollywoodienne, ou autre,
sur ses enjeux économiques gigantesques
(savez-vous comment fonctionnait la MPPA ? Sigle exact non garanti, car ils en changèrent),
ou sur les aspects cachés des accords Blum-Byrnes, ou sur la fabuleuse manipulation idéologique (voir interviews de Welles, etc) dès le début, (voir Griffith, etc),
avec, il est vrai, bien des chefs d’œuvre (en général, par des auteurs exclus à terme),
et qui actuellement a conquis le monde.
Je veux dire : les cerveaux, comme le disait, avec un génie inconscient (?)
un grand anthropologue de TF1
(et pire : voir l’affaire Batman).
Sauf réaction (et je sais que tout un chacun sera d’accord),
« rendez-vous en enfer ».
Courtoisement (mais fermement) à tous.
!
René Vautier qui un jour de résistance et alors qu’il était très jeune, a considéré qu’il y avait mieux à faire que d’utiliser une grenade.
http://www.dailymotion.com/video/xh4kwx_rene-vautier_news
http://culturevisuelle.org/histoiredimages/archives/3
Voir aussi:
Algérie Tours/détours, documentaire réalisé par Oriane Brun-Moschetti et Leïla Morouche, sorti en 2007.
http://www.fabriquedesens.fr/index.php?title=Alg%C3%A9rie_:_tours_/_d%C3%A9tours
Dis Papa, c’est encore loin Farrebique?
Tais toi et tourne!
Cordialement
Tournent les violons…
Une réplique de film que j’adore et que je clame parfois, devant des amis qui n’y voient que de l’humour : »les temps sont venus, mes frères »…
La loi des gredins par Serge Halimi
C’est une des scènes culte du film de Michael Curtiz Casablanca (1942). Entouré par quelques-uns de ses hommes, le capitaine Renault, chef de la police locale, vient fermer le café que tient Rick Blaine (Humphrey Bogart) en lançant à la cantonade : « Je suis choqué, vraiment choqué, de découvrir qu’on joue de l’argent ici ! » Un instant plus tard, un croupier remet une liasse de billets au policier : « Vos gains, monsieur. » Le capitaine remercie en chuchotant, empoche l’argent et ordonne : « Tout le monde dehors, en vitesse ! »
J’oserais résumer la pensée de Paul Jorion:
En bref, ils sont NULS.
Mais qui en douterait sur ce site depuis des années?
Avec les Marx Brother’s on savait qu’ils cherchaient la bétise comme une perle.
La, ils honorent la bétise comme le veau d’or…
Ils se prennent au sérieux…Regardez les dans leur diner repas…Se goinfrant face à la misère.
Pathétique…La décadence de Rome…