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UNE APRÈS-MIDI AU MUSÉE, par Vicè – Blog de Paul Jorion

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16 réponses à “UNE APRÈS-MIDI AU MUSÉE, par Vicè”

  1. Avatar de Loréal Alain
    Loréal Alain

    Ca me rappelle » l’imprécateur » et les sous-sols du siège social…

  2. Avatar de jarrige
    jarrige

    Sans commentaire!

  3. Avatar de rahane
    rahane

    le complexe de Peter
    livre de poche
    avoir lu au moins une fois.

    si on manque de prison en France
    en tout cas on ne manque pas de prisonniers
    il parait qu’au japon ils ont un problème:
    les vieux sans familles qui en ont marre de la soupe populaire et des courants d’air sous les ponts commettent des infractions suffisantes pour mériter la prison afin d’être un peu choyés.
    alzheimer aidant les prisons ne savent que faire d’eux pendant
    et ne savent pas quoi faire le jour de leur libération puisqu’ils ne savent même plus qu’ils sont libres

    c’est qu’il ne doit pas y avoir assez de musées.
    le nombre de délits commis par des plus que septuagénaires est en inflation

  4. Avatar de rahane
    rahane

    une narration qui sent bon la poussière du temps où on avait le temps et donc l’argent
    et dont il reste quelques vestiges
    un musée vivant en quelque sorte…

  5. Avatar de rahane
    rahane

    cette narration nous change un peu des billets quasi fonctionnarisés mais très créatifs sur le plan de la présentation sur l’état invariable de l’europe , de la bce et des périgrénations de Draghi et consor
    en faire beaucoup pour mériter sa pitance
    ne pas lâcher le manche
    ne serait ce que pour regarder par la fenêtre
    devoir quand tu nous tiens
    c’est un art quand même de tenir un public en haleine quand aucun fait particulier ne vient troubler la succession des actes I, II, III, IV, intermède, V, VI….
    on finit par comprendre pourquoi tout le monde lit les journaux people chez le dentiste
    quelle déception j’ai eu l’autre jour de ne trouver que des chasses et pêches, quelques vieux n° de coté est et des revues pour enfant élimées lors de mon dernier passage chez le médecin!
    rien à se mettre sous la dent gloutonne du dernier dessous de jupe ou bas de pantalon des derniers mois, rien à propos des fesses de harry, de l’humeur princière, ou des vacances des politiques.rien vous dis-je!
    de qui se moque t-on dans ce cabinet?
    déjà que si on y vient c’est qu’on est malade…
    pas la peine de rajouter une frustration en sus!

    1. Avatar de François Leclerc

      Vous croyez que j’ai ma chance, dans les salles d’attente de dentistes ?

      1. Avatar de thomasp
        thomasp

        @François Leclerc
        Oui, vous avez toutes vos chances. Ne pas tomber dans les préjugés/stéréotypes.

        Perso, j’aime bien lire, dans le calme des salles d’attente. Car, aujourd’hui personne ne se parle plus dans les salles d’attente, entre ceux qui lisent, ceux qui « e-communiquent sur e-phone et ceux qui vous ignorent ou n’ont simplement pas envie de communiquer/parler)
        Je ne sais pourquoi, mais je préfère lire des textes « sérieux », qui m’invitent à réfléchir. D’autres préfèrent lire des textes « peoplisation ». Perso, je peux passer d’un texte à l’autre.

        Question d’humeur et surtout question d’appréhension. Chez le médecin ou à l’hôpital, j’ai moins d’appréhension. En revanche, chez le dentiste, -je l’apprécie, c’est mon dentiste préféré- j’ai toujours et beaucoup d’appréhension, c’est ainsi. Aussi me concentrer sur du « solide » m’éloigne de mon appréhension. J’y trouve ma/de la légereté.

        Entre vous et moi, ce qui me déplaît dans les salles de d’attente, c’est 1) ne rien trouver à lire car pas de magazines -cela existe- et 2) des magazines qui datent de 2000 – cela existe aussi.
        Mais cela ne me déplaît pas de trouver du « solide » à lire !

      2. Avatar de rahane
        rahane

        dans les meilleures salles d’attentes il y a parfois le nouvel obs, l’express, le point.. et luxe suprême: courrier international!
        tout est possible
        pas la peine de vous casser une dent pour le recyclage des vieux numéros

        m’est avis que les dirrigeants européens ne changeront pas de dentiers avant janvier comme c’est parti.
        ce serait interressant de creuser l’info pour comprendre les réelles raisons de leur attentisme
        l’angoisse de la fin du monde?

  6. Avatar de Nicks
    Nicks

    Les joies du management, sans doute l’acide le plus corrosif pour décaper tout sens du travail.

  7. Avatar de jonsnow
    jonsnow

    Thoreau vous renvoit immanquablement à vôtre état d’homme. Le pire et le meilleur.

  8. […] Blog de Paul Jorion » UNE APRÈS-MIDI AU MUSÉE, par Vicè. […]

  9. Avatar de JB
    JB

    Excellent !

  10. Avatar de Julio Béa
    Julio Béa

    Merci, c’est du vécu !
    Chacun vit sous à la lumière blafarde de son lampadaire, avec ses lunettes carriéristes. Changer de lampadaire ou pédaler pour augmenter la lumière et la visibilité – ce que nous faisons tous ici – demande un tel effort personnel !
    L’intérêt général ? C’est loin, si loin ! La simple idée de tenter de l’apercevoir m’épuise.
    Tais toi et fais carrière comme la majorité des actionnaires du système si tu espère pouvoir en être: tout autre approche est auto destructrice.

    1. Avatar de Vicè
      Vicè

      Effectivement, pour un fonctionnaire, il est effrayant de constater que le sens du service public (c’est-à-dire le dévouement d’un petit nombre de personnes payées par l’état, à la cause publique, sans souci de rentabilité ou d’intérêt d’aucune sorte) s’érode un peu plus chaque année : la plupart des agents, soit par crainte (crainte quasi-atavique de la hiérarchie, du blâme ou que sais-je ?) soit par lâcheté, courbent l’échine en râlant dans leur barbe, mais font ce qu’on leur dit, avec de plus en plus d’aigreur, de frustration, de raz-le-bol… Tout ceci, de fait, les démotive et les éloigne du devoir de service public. Le procédé est habile somme toute : on obtient deux fois plus qu’on ne vise (par des mesures dilatoires ou dissuasives envers le public, d’abord), par le biais d’agents qui, tout en réprouvant ces mesures, les appliquent quand même et se trompent de coupable. Leur épuisement, leur mal-être et leur cas de conscience, ils le font payer à l’usager qui n’en peut mais et d’ailleurs râle tout autant qu’eux (et pour cause), et qu’on leur désigne constamment comme la cause incarnée de tous leurs malheurs.
      – Si vous avez du retard dans vos dossiers et que vous vous faites tanner par votre chef, contre qui se retourner ? Le manque d’effectifs ? Le zèle de petits chefs zélés ? Des politiques absurdes qui visent assimiler le service public au secteur privé ? Non pas : le public qui devient semble-t-il de plus en plus gênant, et que les « cerveaux » du secteur public cherchent toujours plus à orienter vers le privé.
      Mais si tel était le cas, n’y aurait-il pas davantage d’agents syndiqués ?
      L’avantage, reconnaissons-le, c’est qu’avec moins de public à recevoir, cela donne davantage de temps pour pondre des statistiques… qui finiront bien par être vides.
      Mais si cela peut faire plaisir au chef (hiérarchie, cela ne signifie-t-il par le pouvoir du sacré?)
      Amen

  11. Avatar de Lisztfr

    Puisqu’on parle d’administration :

    La Commission européenne est très douée pour la sous-traitance (j’ai mes sources…).

    D’abord, elle soustraite de manière fort chère, puisque les 4 boîtes qui se répartissent le marché encaissent 900 x 30 = 27000 euros par mois par agent par mission. Ce dernier est payé 3300 E brut + voiture de fonction, mais il reste une belle marge pour l’intermédiaire. Employer le même expert en interne, coûterait beaucoup moins !

    Ensuite même la vérification interne de l’audit est confiée à l’extérieur, donc externalisée. Le cœur même de l’audit est confié, sans inquiétude, à la sous-traitance, ce qui inclus un élément de risque bien inutile et superfétatoire dans le système, à mon avis… Le contrôle de l’administration ne doit pas être effectuée par elle-même, mais de là à le confier à une boîte que l’on rémunère, il n’y a qu’un pas qu’on s’empresse de franchir ! C’est pas normal.

    De plus les agents qui participent à la sous-traitance payent des impôts, ce sont en fait des agents de 2nd catégorie qui travaillant pour l’UE, payent quand-même des impôts et sont d’abord moins bien payés que leurs collègues dont le salaire varie entre 4000 et… on ne sait pas. Mais en plus, tout ceci coûte très cher à l’UE, si encore elle économisait par cette politique, on comprendrait. Mais ce sont les grosses boîtes qui font des marges colossales là dessus, des boîtes même pas européennes.

    1. Avatar de Nicks
      Nicks

      L’externalisation est une des grosses escroqueries du management (y compris dans le privé d’ailleurs), hors domaines très pointus et et à récurrence faible…

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