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LE MONDE-ÉCONOMIE, Le choix du défaut, lundi 19 – mardi 20 novembre 2012 – Blog de Paul Jorion

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99 réponses à “LE MONDE-ÉCONOMIE, Le choix du défaut, lundi 19 – mardi 20 novembre 2012

  1. Avatar de Zevengeur
    Zevengeur

    A minima, si l’on a pas les c… de tout tenter pour organiser un défaut au niveau Européen, il aurait fallu faire les 2 : recapitaliser Dexia (*) et conserver les aides pour les pauvres.

    Félicitation à Hollande le « socialiste » qui « laisse faire » la suppression des 500 Millions de l’UE, les autres gouvernements Européens étant de droite, rien à dire, c’est normal…

    (*) Ne pas oublier que les problèmes de Dexia sont dus à l’incompétence crasse de leurs (ex) dirigeants.

    1. Avatar de juan nessy
      juan nessy

      Le problème de l’Europe , c’est que son budget répond davantage à la logique politicienne traditionnelle ( je te donNe -tu me donnes) qu(à une logoque de politiques communes sous tendu par un projet partagé .

      Au cas particulier , pour pérenniser la PAC , qui semble être son enjeu majeur immédiat dans le budget européen , Hollande ( comme tous ses prédecesseurs); n’aura pas trop d’état d’âme entre 500 millions de dépenses en moins d’un côté , et 14 milliars de « retours » , de l’autre .

      http://www.touteleurope.eu/fr/organisation/budget/mecanismes-budgetaires/presentation/le-budget-europeen-et-la-france.html

  2. […] […] " Le rapprochement est bien entendu choquant. Creusons cependant. Le fait que la somme ait été dégagée rapidement pour Dexia, ne signifie pas pour autant qu’elle ait été trouvée aisément. Cela ne signifie pas non plus qu’il soit beaucoup plus facile de dégager 5,5 milliards pour la finance que 500 millions pour les plus démunis, c’est que, dans le cas de ceux-ci, nos gouvernants estiment avoir encore le choix des sommes à allouer, alors qu’avec Dexia nous n’avons pas le choix. Un rapide calcul pour le pays le plus exposé des deux explique pourquoi. La Belgique vient d’avancer 2,915 milliards d’euros. En l’absence d’une telle décision, Dexia aurait fait faillite, les garanties de la France et de la Belgique auraient été activées, dont coût éventuel pour cette dernière : 54 milliards d’euros, soit un gonflement de sa dette publique de 15 %, entraînant une dégradation de sa notation de crédit, laquelle impliquerait une hausse du coupon réclamé par le marché des capitaux sur les emprunts qu’elle émet…."  […]

  3. Avatar de Cassiopée
    Cassiopée

    Le capitalisme transfert les revenus salariaux et fiscaux au profit des actionnaires et des banquiers. Cette logique financière, dont les chiffres additionnés de mille milliards en mille milliards à partir des nombreux transferts réalisés, privilégie le bénéfice du capital à celui des populations.

    Les baisses d’impôts, cotisations sociales de toutes sortes, vont vers les dividendes des actionnaires. Dans le même temps, l’augmentation des prix et les faibles coûts salariaux et fiscaux de la mondialisation, pays où la pauvreté est exploitée (Chine,ect…) augmente de nouveau les dividendes des actionnaires des mutinationales et des banques. Le partage des richesses ne bénéficie qu’à une minorité de capitaliste.

    Le marché très rentable des dettes, avec des taux d’intérêts qui rapportent plus aux riches créanciers qu’à la population, accentue la pression capitaliste pour faire plus de profits. En gelant les salaires public comme privé, les dividendes de cette baisse des revenus des travailleurs vont de nouveau aux actionnaires et aux banques Pour accroître ses profits, le marché du travail est déréglementé, pour encore faire plus d’argent, comme pour la mise en pièce des services publics avec la sécurité sociale.

    Cette concentration des richesses d’ordres multiples, avec des intérêts qui tombent quotidiennement, profitent aux actionnaires, aux banques et aux hyper-riches, au détriment de l’intérêt général, avec des populations qui s’appauvrissent par une inégale et faible répartition des richesses.

  4. Avatar de zebulon
    zebulon

    Le bon sens est bien évidemment de fermer dexia, le reste n’est que de la littérature.
    Il n’y a aucune conséquence à la fermer.
    – faire condamner ses dirigeants cupides et stupides à rembourser la dette. (absurde ? seuls les traders mégalos devraient rembourser leurs erreurs ?)
    – rendre nul et non avenu les contrats illégaux
    – transférer les fonds collectés auprès des débiteurs directement au trésor public
    – nationaliser les actifs s’il y en a.

    on ferme une raffinerie, ou un chantier naval pour moins que çà, arrêtons la sensiblerie avec les banques en faillite. (sarkozy n’est plus là pour organiser les barbecues caritatifs du g20)

    pour reconstruire une banque, il suffit d’une table de deux chaises et d’un ordinateur.

  5. Avatar de Philippe LEBLE
    Philippe LEBLE

    Certes, le risque systémique existe puisque les états belges et français ont garanti les dettes de DEXIA. Mais la vrai question est : Pourquoi ont ils fait cela ? D’autant qu’ils ne sont pas actionnaires à 100% et que les autres actionnaires n’ont rien fait ! ET même les montants qui auraient éventuellement été dus aux détenteurs de comptes restent bien inférieurs aux tombereaux d’argents déjà versés, et à venir…

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