@Chabian Comme pour les doigts, il sait pas bien compter, ou reste indécis sur la perspective, c’est pourtant la première…
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@Chabian Comme pour les doigts, il sait pas bien compter, ou reste indécis sur la perspective, c’est pourtant la première…
@Ruiz de quel droit apparent parlez vous ?
Il semblerait que la théorie des plausabilités (Cox-Jaynes) ne soit justement pas statistique, car non basée sur une approche fréquentielle,…
Et sur le 1er dessin, les parties génitales de l’humain mâle (ou ambigu ?) sont vues selon le style Archimboldo…
@Khanard La NSA espionnait déjà tout le monde depuis bien plus longtemps, la libéralisation d’Internet et sa commercialisation bien antérieur…
Je viens de tomber sur le billet de Lordon daté du 28 mars. Je vous invite à aller le lire.…
si certains d’entre vous souhaitent aller aux fondements de la captation de nos comportements je ne saurai vous conseiller de…
@Grand-Mère Michelle au travers de votre commentaire j’ai l’intuition que vous n’avez pas conscience de l’ampleur de la captation systématique…
@Paul Jorion vous m’avez coupé l’herbe sous les pieds . Ce que je peux faire par contre c’est de le…
Je n’ai pas pu m’empêcher de relever que la question est posée à l‘IA dans une perspective surplombante : si…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
2 réponses à “TOTALITARISME MATHÉMATIQUE, par Bertrand Rouziès-Leonardi”
[…] Le savant mondain, toujours en quête de reconnaissance et de financements, a besoin que l’univers atteste la pertinence de ses vues, et tant pis s’il ne l’atteste que partiellement. Il affirmera que notre entendement est une porte étroite qui s’ouvre sur un monde immense et que sa discipline seule en détient la clé. Toute science n’est que cela, un miroir déformant qu’il faut compléter par d’autres miroirs déformants pour approcher l’image juste. Un savant qui définit sa science comme un passe-partout ne vaut pas mieux qu’un cambrioleur. […]
[…] Je n'ose rire de tout cela, car on se croirait revenu au temps où Pythagore, pressentant l'avènement de la Matrix, voyait des chiffres partout, déjeunait de chiffres, pissait des chiffres, se savonnait de chiffres, se torchait avec … […]