Ils sont de qui, Pad, ces « poêmes »?
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Ils sont de qui, Pad, ces « poêmes »?
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34 réponses à “L’avenir dans un rétroviseur : Une lecture de l’Économie du bien commun de Jean Tirole, par Jean-Michel Servet”
Très bonne et très complète analyse de la prose de Tirole par Jean-Michel Servet. S’il montre bien les a priori et l’impasse dans laquelle conduit la vision économique classique de Tirole, il la critique, souvent hélas, sur son incapacité à relancer une machine économique grippée et productrice d’inégalités. Mais lui et le détenteur du prix d’économie de la banque de Suède semblent aveugles à ce qui est le centre de « Le dernier qui sort… » de Paul: le caractère suicidaire du productivisme et du technologisme qui, ayant dépassé leur poit d’efficacité optimale, sont aujourdhui contre-productifs et carrément une menace pour la survie de la civilisation thermo-industrielle ayant basculé dans l’excès, A la barbarie sociale que la capitalisme a développé depuis plus de 2 siècles s’ajoute aujourd’hui la destruction des écosystèmes supports de toute société humaine développée.
Même le convivialisme très critique au départ vient de produire un ouvrage (« Eléments d’une politique convivialiste ») qui rassemble un peu tout et n’importe quoi, au nom de la relance improbable et néfaste d’une croissance non réfléchie. Il reste décidément beaucoup de travail pour élaborer et faire percoler chez ceux qui croient penser, un projet écosocialiste dans lequel l’obsession du toujours plus (de n’importe quoi, pourvu que cela se vende) ne soit plus l’objectif insensé à atteindre.
Qui croit encore en la valeur d’un Prix Nobel?
En dehors des sciences naturelles où seul l’objectivité fait le prix.
T’as raison, quand on pense que même Piketty va bien finir par l’avoir, ça situe.
Où est-il fait mention d’un prix Nobel de l’économie?
C’est vrai que dans mon compte rendu déjà très long je n’aborde pas cette question du productivisme. Je ne parle pas non plus des rapports de genre… et de pas mal d’autres questions… Toutefois ce silence ne signifie pas que je suis un « productiviste ». J’y parle de « choix des consommateurs néfastes à l’environnement » et de « l’inefficacité à produire les forces d’une nouvelle croissance et à satisfaire les besoins que le système économique lui-même engendre ». Nouvelle croissance… inclut par exemple des circuits courts, des échanges par monnaies locales, de nouvelles énergies, etc. rien à voir donc avec le productivisme et la destruction de la planète.
Il n’y a rien à attendre de Jean Tirole. Il est du côté du manche.
Il reste malheureusement dans son gentil rôle.
Et hop ! 2 milliards 700 millions d’Indiens et Chinois boutés hors du monde statistique. Oui mais pour la bonne cause.
Encore ces vieilles lunes…
Morgan Ricks,
Safety First? The Deceptive Allure of Full Reserve Banking
http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=2801757
Un grand merci pour cette longue analyse qui confirme ce que je pensais de J. Tirole et m’évitera de m’enfiler 600 pages en me disant à chaque page, pourquoi perds-je mon temps à lire l’écrit d’une personne, prix Nobel, qui écrit sur des sujets sur lesquels il n’a pas de compétences démontrées.
Comme j’avais un doute, je suis allé écouté J. Tirole lors d’une allocution à laquelle j’avais été conviée. J’en suis revenu avec l’idée d’un professeur Tournesol, à côté de ses pompes. Et encore, je suis gentil. Il ne comprendra pas pourquoi il prendra des claques alors qu’il est tant estimé par d’autres. Il se consolera en se disant que ceux qui le critiquent sont des imbéciles car ceux qui l’apprécient sont au pouvoir.
JT me fait penser à ces scientifiques qui sont hyperointus dans leur domaine, et totalement à côté de la plaque ailleurs. Trop spécialisé, ils sont totalement inaptatés sur tout autre sujet, à moins d’avoir de l’empathie. JT me parait plus proche du 2 sur une échelle de l’empathie allant de 1 à 10.
Conclusion : au suivant, il n’y a pas grand chose à voir pour comprendre notre monde d’aujourd’hui. JT a certainement mené des travaux intéressants, mais ils me m’intéressent pas car sans levier sur nos difficultés actuelles. Si je me trompe, je veux bien revoir mon jugement. Quelqu’un veut-il bien me remettre dans le bon chemin ?
@Vigneron : OK même pour la grosse blague !
… » Il(=Tirole) se consolera en se disant que ceux qui le critiquent sont des imbéciles car ceux qui l’apprécient sont au pouvoir« …
Joli et tellement vrai… C’est de vous?
Oui, je le sens bien le Jean Jean..
« les propositions d’une monnaie pleine, gagée, positive, etc. Ces propositions sont en débat aujourd’hui notamment au Royaume-Uni, en Islande et en Suisse. »
Je suis en Islande actuellement. Je pose des questions à gauche et à droite. Il semble qu’il ne se passe plus rien. A chaque fois, « ils » se plaignent des politiques. Le projet de constitution est enterré pour l’instant bien qu’écrit. Par contre, les islandais n’ont pas encore la mémoire courte. Peut-être désenchantés mais prêt à bondir.
Ces propositions pourraient faire l’objet d’un petit débat. Pour ma part, que du Maurice Allais, mais du bon, sauf, si comme d’hab, je me trompe. Je pense que ces propositions ne vont pas encore assez loin. Tant qu’on aura pas déployé le « intérêt » zéro partout, on retombera dans les crises.
http://pierresartondujonchay.over-blog.com/article-transformer-le-modele-monetaire-de-maurice-allais-68802919.html
Pas mal. Je vais relire la proposition 4 fois au moins pour la digérer. N’oubliez pas que si elle est efficace, elle sera rejetée.
J’ai une proposition simplissime : bras de levier 1 pour les fonds d’investissement. Ca fait plus mal car tout le monde comprendra comment les fonds se gavent au dépend des autres et font plonger tout le monde qd ça va mal, les bonus ayant été mis à l’abri.
Voui, Tirole a pris le siège 8 tout chaud d’Allais à l’Académie, c’était aussi celui de Rueff. La France éternelle quoi (attention le Blanqui du fauteuil 6 en 1836 était le frangin, bien sous tous rapports, de l’autre, çui qu’on connait).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_membres_de_l%27Acad%C3%A9mie_des_sciences_morales_et_politiques#Section_IV_:_.C3.89conomie_politique.2C_statistique_et_finances
Le rapport parlementaire islandais pour une monnaie pleine, gagée, etc. est un des mieux faits qui existent sur le sujet. Evidemment on peut imaginer la résistance des banques pour que ce système se mette en place. Il a notamment l’avantage de montrer la diversité des propositions depuis les années 1920, donc bien avant Allais. Certains l’articulent avec la proposition d’un revenu minimum d’existence. Pas d’orthodoxie monétaire dans ce cas…
Jean Michel Servet
J’ai lu le rapport (parlementaire ?) islandais, il y a deux ans. Il m’avais fait penser à du Maurice Allais car je n’avais pas lu d’autres auteurs avant lui.
Je ne m’intéresse sérieusement à l’économie que depuis l’année 2008. Auparavant, je me croyais capable de comprendre et j’avoue que j’étais totalement à côté de la plaque.
Ceux qui prennent du recul se rendent compte rapidement que le système est bâti sur des principes qui génèrent et l’inégalité, et des crises. Il n’est pas étonnant que de nombreuses personnes s’en soient émues et aient fait des propositions.
Quelles sont, selon vos connaissances, les incontournables ? Merci pour votre réponse.
Yves Vermont me demande
« Quelles sont, selon vos connaissances, les incontournables ? »
je cite un certain nombre de ces auteurs ayant traité de la monnaie pleine, gagée etc dans
. « Propositions citoyennes de ‘monnaie pleine’. La monnaie comme bien commun », Banque et Stratégie. Cahier de prospective bancaire et financière, N°345, mars 2016, p. 24-28.
. « Interdire aux banques commerciales de créer la monnaie », Les Dossiers d’Alternatives économiques, Réinventer la monnaie, mai 2016, p. 48-51.
Je suis loin de ma documentation mais si mon souvenir est exact le rapport islandais (en anglais) comporte plusieurs pages faisant l’inventaire des différentes propositions des années 1920 jusqu’à nos jours et analysant leurs différences. Le site le mieux documenté est celui de Positive Money au Royaume Uni.
Comme l’écrit l’économiste hétérodoxe André Dorleans, à quoi sert-il d’avoir autant de « grands économistes » si ils disent tous la même chose? M. Tirole est la face convenable d’un système qui ne l’est pas. Faisant partie de ce système, il perd toute légitimité à se présenter comme un expert indépendant maîtrisant une réalité qui nous échappe. Tout comme la masse des « grands journalistes », il défend une politique réactionnaire précise en la naturalisant, car TINA. Les louanges qui lui sont décernées par la presse spécialisée ou pas mettent en lumière les engagements idéologiques et politiques de cette dernière, ce qui n’étonnera personne.
@M Pucciarelli
Croyez-vous que nous ayons encore besoin d’économistes. Tout a été déjà dit et écrit, des plus grosses c… au meilleur. Le bon sens me parait plus judicieux que tous les papiers et commentaires idiots qui flottent sur le web.
Voici une remarque d’un niveau qui dépasse l’entendement. Ce raisonnement est inaccessible au commun des mortels (foutage de gueule total, c’est vrai).
Supposons une économie qui croisse en moyenne de 0%. Supposons que la croissance des revenus se répartissent suivant une gaussienne, ce qui est probablement faut, la réalité étant pire encore. Certains voient leurs revenus croitre, d’autres décroitre. C’est très difficile à démontrer, il y a forcément des intégrales triples, des dérivés, des régressions linéaires, etc, sans parler de E = MC2 et de la dérivée de la relative restreinte. Après deux pages d’équations, j’arrive à une question à laquelle je n’arrive pas à répondre : quels sont ceux dont les revenus croissent, quels sont ceux dont les revenus décroitre ?
Et je me pose une question auquel je ne vois aucun moyen de répondre, sauf à amplifier le phénomène : la société doit elle corriger le phénomène ?
Questions à Monsieur Jean Tirole : pourquoi la société vous paye-t-elle un salaire ? Quels sens souhaitez-vous donner à vos travaux, quelle est votre utilité sociale ?
Pour ma part, je suis Keynésien, je préfèrerais vous payer à ne rien écrire et ne rien faire. La société serait gagnante.
Le nombre de fotes d’orthografe est à la hauteur de mon mécontentement
Bon, voici le décor attendu :
Une économie au service des humains et du vivant dans le respect absolu de leur planète, de ses ressources et de sa capacité à se régénérer.
Voici maintenant les acteurs humains :
Des êtres dont beaucoup ne sont pas philosophes, affligés de tares considérables : une tendance forte à l’illimitation, une volonté insatiable de dominer d’autres hommes et femmes, les animaux, la nature, une cécité absolue devant les injustices, l’incapacité à croire ce qu’ils savent, dont le nombre est en augmentation constante, à la recherche d’un perpétuel équilibre en raison des naissances et des décès quotidiens nombreux.
Dans la société humaine, chacun est en mesure de produire objets et services susceptibles d’intéresser les autres dans un réseau où chacun dispose d’une place qui ne peut être remise en question.
Comment les êtres humains peuvent-ils s’organiser pour que chacun puisse faire valoir dès sa naissance et où qu’il aille son droit inaliénable et imprescriptible au bonheur ?
Tirole, pas plus que les autres ne peut rien pour nous, car il n’est capable de se mouvoir que dans un seul cadre, celui de sa seule formation universitaire. Il s’y déplace habilement certes mais il ne découvre jamais que ce qui existe déjà. Il n’a pas d’imagination et prend la complexité pour un progrès. Lui et ses semblables nous font perdre du temps car ils n’ont d’autres projets que la préservation de leur habitat.
L’homme n’a besoin que de vivre, d’y prendre du plaisir et pour simplifier sa vie, d’une monnaie dont il gardera collectivement la maîtrise.
Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais d’aller enfin de l’avant.
Je souscris
Tirole économiste mécaniste, idolâtre le bien commun hors de ses conditions morales de réalisation
https://twitter.com/SartonduJonchay/status/759330611085516800
Et que dire dans ces conditions de l’ingénierie procédurale (et interstitielle) des nouveaux dévots de l’économie sociale et solidaire revisitée ?
Jean Tirole, membre de la société des économistes, atterrés, atterrants, orthodoxes, hétérodoxes…membre de l’imposture économique qui veut faire passer cette branche de la sociologie écosystémique pour une science dure.
Pas un qui ne soit arrivé à penser la surproduction, la surexploitation et qui ne se soit pas rendu compte que la micro économie insérer dans la société ne peut se réduire à cette chimère qu’est la macro économie.
D’aucun me rétorqueront qu’un Passé a souhaite réintégrer le vivant dans l’économie mais lui aussi reste sur un surtechnologisme.
Alors Tirol, mieux vaut Ma grand mére.
Passet et non Passé
[…..Toutefois sa critique de ce qui serait une économie non fondée sur la concurrence paraît particulièrement sommaire lorsqu’elle se résume dans une formule du type : « Auriez-vous envie de vivre sous le régime politique et économique de la Corée du Nord ou du Cuba ?]….
Je ne connais pas l’économie de la Corée du Nord, mais il faut admettre qu’une économie administrée (correctement?!) peut avoir quelques avantages: le prix fixé pour un réfrigérateur à Las Tunas est le même que celui pratiqué dans les magasins de La Havane, le carburant est au même prix partout, etc…, l’on ne crée donc pas de désavantage pour ceux qui n’ont pas la chance d’habiter une grande ville ou de se trouver proche d’une raffinerie.
La concurrence dans le système égoïste où nous vivons, crée des inégalités, c’est le chacun pour soi, mais rassurez-vous, l’être humain étant ce qu’il est, les cubains cherchent aussi à contourner leur système et de tenter de s’enrichir, mais l’état veille encore et saisi tout ce qui s’apparente à un enrichissement illégal (decomisa)
S’enrichir peut-être pas, juste s’en sortir. A 1 dollar le litre de super pour 20 dollars de salaire mensuel, c’est clair que t’es content de pas avoir de caisse à nourrir.
En passant…
voilà à quoi je faisais allusion, lorsque sur un autre fil, j’écrivais:
« TROP d’intelligence… stérile »
http://www.pauljorion.com/blog/2016/07/26/petit-casse-tete-logique/#comment-595355
donc un gros naif
Pour le moment je n’ai lu que 250 pages du livre de Jean
Tirole.J’ai néanmoins pris connaissance de l’analyse qu’en
donne Michel Servet.Cette dernière est tout à fait intéressante par sa dimension critique.J’y reviendrai plus
tard à l’occasion.
Cela dit,on peut relever une lacune de Michel Servet,facile à déceler quand on connaît quelque peu les
travaux de J.J.Laffont et J.Tirole,et qui est apparente même si l’on se limite aux 250 premières pages.Le fait que Tirole,à la suite de JJ Laffont ,met l’accent dans ses
analyses sur les ASYMETRIES D’INFORMATIONS et par
ailleurs les INCITATIONS.C’est à l’évidence une démarche utile.Michel Servet a tort de ne pas l’avoir
souligné.
Cela dit j’ai pour ma part des critiques FONDAMENTALES à formuler à l’endroit des éléments
développés par Tirole.Elles ne rejoignent celles de Servet que partiellement.J’en ferai état lorsque j’aurai
terminé la lecture complète de cette « économie du bien
commun ».
A propos de la remarque de Guy Deville Bichot sur la nouvelle économie comportementale
Elle a fait l’objet du rapport 2015 de la Banque mondiale sur les développement et travaillant sur l’inclusion financière je suis particulièrement critique sur les applications et les tests auxquels ce type d’approche donne lieu (voir l’ouvrage d’Isabelle Guérin paru en 2015 contre Duflo and co)
Ma critique a été d’abord sur ce blog
2015 « A la World Bank tout doit changer pour que … tout reste pareil », à propos du rapport 2015 de la Banque mondiale sur le Développement dans le monde intitulé « Pensée, société et comportement ».
ttp://www.pauljorion.com/blog/2015/09/04/a-la-world-bank-tout-doit-changer-pour-que-tout-reste-pareil-par-jean-michel-servet/
puis sur deux articles dans le site Veblen où j’ai développé
. 2015 « L’économisme rampant de la « nouvelle » Banque mondiale, Une lecture critique du Rapport sur le développement 2015 de la Banque Mondiale » », Site de l’Institut Veblen, 15 novembre 2015,
http://www.veblen-institute.org/L-economisme-rampant-de-la?lang=fr.
: nouveaux enjeux, nouvelles perspectives », Juillet 2015, Lyon, France https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01169131
.2015 “L’économisme rampant des études comportementalistes (2) : usages de l’épargne et de la monnaie”, Site de l’Institut Veblen, 17 décembre 2015,
http://www.veblen-institute.org/L-economisme-rampant-des-etudes?lang=fr.
Ces écrits sont la raison de mon silence pour un compte rendu de Tirole déjà bien long. Une revue de gestion m’a demandé de reprendre mon compte rendu de Tirole. Je ferai un note. Merci
Bien merci à Michel Servet pour ces 2 articles dans les
publications de l’Institut T. VEBLEN.