@Ruiz Bien vu, ‘Albert’ ne sera pas Einstein quant aux courriers générés en réponse aux demandes trop pointues, il faudra…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
@Ruiz Bien vu, ‘Albert’ ne sera pas Einstein quant aux courriers générés en réponse aux demandes trop pointues, il faudra…
L’effet est sans doute de donner une impression de réactivité, et de remplacer des services de soutien téléphoniques aux résultats…
The Outlaw ?
Un aspect particulier de l’IA qui abouti à la mise en place de « chatbot » au sein d’entreprises ou d’administrations publiques,…
No comment ! (Dans le cas de la mise en place de l’un des plans alternatifs qui verrait le la…
Selfie avec le peintre. https://scontent-fra5-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/438253667_965930818213746_4501017865480091366_n.jpg?_nc_cat=1&ccb=1-7&_nc_sid=5f2048&_nc_ohc=34q7Y4nKpzMQ7kNvgFF4TfA&_nc_ht=scontent-fra5-2.xx&oh=00_AfAY4DMFMoyX0GxO-kgb8onNt_EiHhXaoBt3dGODeFgjxQ&oe=662FE127
The Outlaw ? Ce mot m’est revenu en lisant les nouvelles du jour sur la probabilité que Trump soit mis…
@tttt Les scandalisés préfèreraient-ils qu’elles soient sniper sur le front ? ou qu’elle endoctrinent de jeunes yakoutes dans les méfaits…
Je m’étonne que Paul Jorion n’intervienne pas, avec notamment son article passé sur la conscience ‘a posteriori’ qui m’avait fort…
Et le scandale de la répression contre ceux qui manifestent en faveur des palestiniens, il est aussi hors norme et…
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78 réponses à “Désapprendre le mythe de l’innocence américaine, par Suzy Hansen”
J’ai toujours constaté un fort dégré d’ethnocentrisme chez les Américains. Exemple: durant la guerre de l’Iraq, les politiques et journalistes amércains m’on parlé de leur étonnement du fait que la population locale ne saluait pas les troupes US comme les allemands l’ont fait en printemps 1945. Les Américains étaient convaincus que le monde entier devrait fonctionner selon leur système, puisqu’il était le seul modèle acceptable.
Mais il y a invariablement une autre Amérique, celle qui propage une immense sensation de liberté. Quand on remonte à partir de Philadephia le Susquehenna jusqu’à sa source près de Cooperstown/NY, on ressent ce que les premiers Européens ont pu sentir: tout est neuf, il y a tout à créer, contrairement à l’Europe ou tout est figé. L’Amérique d’aujourd’hui est quelque peu différente, elle s’est en quelque sorte « européanisée », mais cet esprit de liberté allié aux vertus protéstantes existe toujours.
« Les vertus protestantes »
Je serais très curieux de savoir ce que vous mettez là-dedans…
Touchés par la grâce.
« Selon une formule de Tillich, Dieu ne nous demande pas de devenir un peu plus acceptable ou un peu moins inacceptable pour nous accepter. En Jésus Christ, il nous accepte, bien que nous soyons inacceptables*. Cette bonne nouvelle, qu’annonce l’évangile, la Réforme la redécouvre et la proclame. »
http://andregounelle.fr/protestantisme/cours-1998-9-la-grace-et-la-foi.php
Je ne vais pas donner ici, sur le blog de Paul Jorion, un cours magistral sur le protéstantisme. Reseignez-vous via le web, par exemple sur le rôle du protestantisme en Hollande (Amsterdam) du 17ième siecle, en Amérique du nord……
Looks like freedom, but it feels like death, it s something in between I guess…
Closing time, L.Cohen.
« []… rétrospectivement je sais qu’au fond je pensais que l’Amérique était la pointe avancée d’une sorte d’évolution des civilisations, que tout le reste du monde essayait de rattraper. »
Idem en France où – explicitement du temps de l’empire colonial, plus discrètement depuis qu’il ne s’agit plus que de tenir son rang dans l’alliance atlantique – la prétention d’apporter au reste du monde non seulement les progrès des techniques mais aussi ceux hérités de l’époque des lumières et de 1789 semble avoir laissé des traces profondes.
Tout a fait, et c est sans doute pour ca que de nombreux Francais qui n ont pas abandonne cette pretention sont si permeables au supremacisme moraliste Americain issu de la meme matrice des Lumieres. N ayant plus les moyens de ses pretentions cette France pseudo universaliste se range immanquablement du cote de la politique neo con de Washington. C est ce qui explique le desastre lybien, l errance hollandaise en Syrie etc. Comme cette France se donne l illusion d etre a la pointe du progres et de l humanisme alors qu elle s enferme dans une lente regression dont on ne voit pas l issue. La seule difference est qu en France imperialisme et nationalisme sont dissocies voire meme opposes l un a l autre. Aux etats unis nationalisme et imperialisme se confondent presque.
Oui… il y a ce qu’elle dit, cette nécessité de l’analyse, de la confession pour comprendre d’où elle vient, ce qu’elle est et toute l’importance de l’écriture, de cette construction par les mots choisis comme des notes pour y mettre une musique venue d’ailleurs car le raisonnement, les mots ne suffisent pas.
Elle a bien raison !
J’ai la chance de savoir que Kurusawa est un très grand cinéaste :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vivre_(film,_1952)
et qu’il y a plus grand que l’Amérique.
Le film « Vivre » chuchote très bien tout cela.
De Kurusawa, mon préféré reste « Barberousse »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Barberousse_(film,_1965)
Une grande leçon d’humanité que tout étudiant en médecine devrait regarder avant de penser carrière et compte en banque.
Humanité et humilité.
Pardon aux mânes de ce grand cinéaste pour la faute de frappe:
Kurosawa (黒澤 明)
Magnifique témoignage, merci pour cette traduction. J’ai souvent ris au cours du texte pour la naïveté, mais aussi pour ce qu’on sait des étasuniens ici en France, ce témoignage le reflète tellement bien.
Cette femme est admirable. Il est rare que des individus soient dans cette capacité d’autocritique. Se porter volontaire pour aller en Turquie fut un courage inconscient de sa part. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais elle l’a fait. Et tout c’en est suivi…
J’ai croisé quelques étasuniens, je vais témoigner ici de 2 cas qui, comme il est décrit ici, se croient les maitres du monde.
Dans un bar à Paris. Face à face une Brésilienne et un Étasunien, à un moment il dit : je suis Américain, elle répond je suis Brésilienne, et moi j’éclate de rire, et ne peux m’empêcher de « révéler » au mec qu’elle aussi est Américaine.
Au Vietnam, ayant du mal à comprendre et me faire comprendre d’un ex-appelé américain – comme beaucoup d’étasuniens qui vont au Vietnam, était là pour faire son « c’est ma faute ma très grande faute » (moi accent de Londres face à un Middle West c’était assez hard), je lui dis que j’ai du mal à communiquer avec lui, il me répond : « mais enfin pourquoi vous continuer de parler français, vous devriez parler anglais comme tout le monde ». Mon honneur de Française en a pris un coup ! et je lui ai appris qu’une bonne partie de l’Afrique parlait français… il n’en croyait pas ses oreilles, lui aussi interloqué que moi par sa réflexion. Et j’ai rajouté qu’il ferait bien d’apprendre l’Espagnol car aux EU ça va lui être indispensable.
@G L
Cependant comme vous le dites notre légende nationale française d’avoir apporté la liberté, la démocratie, et je ne sais quoi encore, dans toutes nos colonies est dans le même genre.
Je pense, ou crois, que les gens qui votent FN, en tout cas pour une bonne partie, sont convaincus aussi que les Français sont supérieurs au reste du monde. C’est ce genre d’idéologie que MLP crie avec conviction dans ses meetings et tout le monde d’applaudir avec chaleur.
S il y a un clair rejet des immigres chez les electeurs du FN ils sont loin d etre les seuls en France a eprouver ce sentiment de superiorite qui se traduit entre autres, dans le chef des elites politiques tant de droite que de gauche, par des interventions militaires en territoire etrangers, au nom de valeurs humanistes.quand la France agit au nom des droits de l homme elle pose de maniere implicite sa supposee prerogative dans l interpretation de ces droits, en tant que « Patrie des droits de l homme ». Bref, ce sentiment de superiorite qui peut s exprimer de maniere plus ou moins subtil,, est loin d etre l apanage du » pannier de deplorable » du FN, et il n est pas sur que sa forme droit de l hommiste ne soit pas la plus pernicieuse en cela qu elle se confond avec un sentiment partage par quasiment tous les pays du bloc occidental, EU en tete.
Racisme d’en bas, racisme d’en haut, extrait du film de Coline Serreau « La crise »:
https://youtu.be/rIP7e0IZL9I
🙂 🙂 🙂
Bien en amont, « Les Autres » trois petites pièces de Jean-Claude Grumberg sur le racisme des années 60 est pas mal non plus. J’ai les ai revues relativement récemment, c’est toujours aussi bien ! Genre coup de poing, on est essoufflé à la sortie.
Jouées alors dans un théâtre privé qui accueillaient des femmes en robe longues chignons – qu’on ne voit rien derrière – (?! ça existe encore) et des maris aux souliers lustrés, ce qui m’a frappée, c’était de les voir zombis à la sortie. Ça mouftait pas trop, le genre je vais oublier tout ça assez vite…
C’est pas comme un livre, ils ne pouvaient guère s’éclipser au milieu de la représentation, ça-ne-se-fait-pas !
Ils ne pouvaient pas dire qu’ils étaient « français moyens » comme dans la pièce. Mais par contre, propriétaires avec Madame regardant les voisins par la fenêtre ou écoutant aux portes puis siffler des blablateries au dîner : oui.
I am not your negro est encore visible en 2 parties sur Arte
https://www.arte.tv/fr/videos/073221-003-A/i-am-not-your-negro-1ere-partie-rencontre-avec-raoul-peck
Extraordinaire travail critique, et pédagogique en même temps. Sur l’hyper-nationalisme d’un pays dominant, et cela concerne aussi, différemment, celle que nous connaissons bien, la France effectivement (comme République Universelle, mais aussi comme Royauté et Pays de Jeanne d’Arc). Tous sans doute, nous avons une forme d’hyper-nationalisme européen (la pointe de la civilisation) dont nous rêvons qu’on restaure la grandeur, avec notre UE ou en en sortant c’est pareil au même, une forme de patriotisme de la civilisation gréco-chrétienne laïcisée. Et pour un petit pays, il y a des mythes inversés, tel notre petite Belgique d’héroïsme qui a civilisé son Congo (!), notre petite Hollande aquatique qui a conquis les mers avant tout le monde, etc. Et il faut un choc pour sortir de ce rêve victorieux, de ce « fascisme doux » (une idée à creuser).
Et si des êtres humains mâles parmi les lecteurs voulaient échapper à leur rêve de supériorité sur les femmes, « désapprendre le mythe de l’innocence » (titre de l’article), ils devraient entendre en l’adaptant à leur situation cette phrase de Baldwin : « Mais j’ai toujours été frappé, en Amérique, d’une pauvreté émotionnelle sans fond et d’une terreur de la vie humaine, du toucher humain, si profond, que pratiquement aucun Américain ne semble parvenir à établir un lien viable et organique entre sa vie publique et sa vie privée. » (et les autres citations parlent de nous également). Mais c’est un autre sujet.
A l’heure où il est de bon ton de charger les (ex) soixante-huitards de tous les péchés, peut-être serait-il bon de rappeler que 68 et les années qui ont suivi ont entraîné un formidable mouvement de voyage des jeunes occidentaux vers l’Asie, l’Afrique et l’Amérique du Sud.
Je parle ici de voyages, pas de prendre un billet d’avion A/R pour un exotisme de trois semaines garanti par contrat, ou même d’une gentille bourse d’échange étudiant qui vous assure une sécurité matérielle et morale à peu près complètes. Non, il s’agissait de bosser (généralement en usine), puis de se tirer par la route (mânes de l’auto-stop, où êtes-vous? Tuées par Bla Bla Car? Ah bon…) et de se contenter d’un « confort » réduit au strict minimum, pour pouvoir voyager le plus longtemps possible: partir six mois ou un an n’avait rien d’exceptionnel.
Dans ces conditions, la rencontre avec l’autre était assurée, était obligatoire, était le sel même du voyage. Elle conduisait de manière à peu près inévitable à une remise en question drastique de ses propres croyances, préjugés, connaissances, affects, et jusqu’à son conditionnement kinesthésique, lui aussi affaire de culture. Pour ce qui me concerne, c’est cette suite d’expériences fondatrices qui m’a conduit à l’anthropologie.
Alors, je sais bien… ce n’était certes pas la même époque – un jeune adulte pouvait facilement trouver à s’embaucher pour quelques mois, et avait une certitude raisonnable de retrouver du boulot en rentrant. Ce n’était pas non plus la même situation géopolitique – de ce point de vue, la guerre froide avait du bon. Et tous n’ont pas fait leur miel des chemins parcourus: certains, nombreux, sont restés en carafe dans une seringue ou un shilom. Une aventure sans risques n’est tout simplement pas une aventure – ne permet pas de grandir.
Il n’empêche que l’on peut regretter que ces formidables opportunités de se former véritablement, loin du ronron rassurant des universités, de prendre conscience de l’extrême relativité de nos hochets mentaux – patrie, drapeau, bien, mal, valeurs, certitudes… – soient désormais à peu près complètement forcloses.
Esprit de Nicolas Bouvier, je te salue.
Faut dire que le système français n’encourage pas les jeunes à parcourir le monde, contrairement à d’autres pays :
http://cursus.edu/article/9802/annee-sabbatique-pour-les-etudiants-entre/
En observant mes enfants et leur entourage, je constate que beaucoup s’emmerdent à l’université mais qu’Internet leur permet de s’évader virtuellement, le cul bien au chaud dans une piaule financée par papa-maman 😉
Mouais !
Si l’occident n’avait pas prêté la main à l’arrogance US après voir avant la chute du Mur de Berlin (n’anticipons pas sur le Mur de Tijuana), le monde serait peut-être plus calme.
Et maintenant que fait-on ?
On écrit des livres des billets on convainc et on se rebelle, voilà voilà.
Lucas écrit:
« On écrit des livres des billets on convainc et on se rebelle, voilà voilà. »
…
ET…
on dérange !
Le risque est pris, bravo Paul Jorion…
Coucou,
Texte vraiment trés interessant.
Comme beaucoup, j’ai eu le sentiment que l’on pourrait remplacer américain blanc par français de souche !
De P. de bonnes questions !
« …Un parcours sans cesse à refaire… »
Que vive le blog de Mr jorion
Bonne journée
Stéphane
Merci pour la traduction de ce magnifique article qui fait écho à des pensées que j’avais quand j’avais 10 ans (j’en ai actuellement 33).
J’ai commencé ma vie au Ghana et je suis revenu en Europe à l’age de 7 ans.
Ce fut le plus gros traumatisme de ma vie que de me retrouver dans la société européenne qui se gargarisait de ce qu’elle était alors qu’elle détruisait le reste du monde sous couvert de jolie concept comme la démocratie (qu’elle ne respecte pas elle-meme).
Je sais maintenant que cela était un peu plus compliqué mais le regard naïf que j’avais est encore beaucoup plus valable maintenant qu’a l’époque.
Encore merci d’avoir partagé cette prise de conscience qui peut totalement être transposée à l’Europe.
On en a des choses à comprendre à trente ans !
Et il en reste encore des tonnes à résoudre , plus de cinquante ans plus tard .
Mais pas les mêmes .
Commentaire mis au mauvais endroit. Je rectifie !
Armelle :
Merci pour l’article, sa lecture est très agréable.
Ah quel fardeau ces identifications. Les ressentiments fréquents que nous nourrissons envers notre pays laissent deviner que nous n’avons pas digéré les cailloux dans la soupe droits de l’homme. Nos oripeaux des grandeurs, incrustés au corps, ont du mal à se fossiliser.
Je ne suis allée qu’une fois en Amérique, quatre mois à 16 ans en Arizona, mon frangin m’avait inscrite à l’école. Heu, comment dire, en fait j’ai halluciné complet. A 16 ans les filles parlaient de mariage et imaginaient leur belle robe blanche catalogue à l’appui, les propos racistes en plein repas de gens comme il faut, le salut et signe de croix avant les cours devant la photo de Nixon, les armes qu’on déposaient à l’entrée, etc, etc, etc. Ah la douche mazette !! J’étais complètement sonnée, surtout par la vie des femmes et ses perspectives. Enfin, ce que j’en ai perçu à un moment où l’engagement politique me paraissait une voie prometteuse. Et comme point d’orgue, de retour à Paris, au temps où une pluie permettait de s’engouffrer dans une salle de cinéma au hasard, à n’importe quelle heure, je me suis pris dans la gueule « l’Amérique interdite ». Alors là c’était l’hallu.
Mais, ce voyage choc m’a permis de mettre en regard, au fond, à l’époque, ma propre vision de la France.
« Les cours devant la photo de Nixon » ? En quelle année ? (cette immense daube putassière qu’est L’Amérique Interdite c’est 77 au plus tôt).
Exact ce voyage se situe en 1976 sieur Vigneron… en revenant de là, le film sortait dans les salles crasseuses parisiennes….
Un problème ? Je me suis replacée au même moment que cette jeune femme, c’est à dire au moment d’une des premières confrontations des cultures.
Je dois dire qu’il m’a paru que les copains copines de l’époque qui, effectivement, partaient au large vers les terres népalaises (que j’ai connues beaucoup plus tardivement) me paraissaient autrement plus cooooool (enfin à leurs 18 ans). Mais, le frangin était aux US à l’époque, c’était l’occase de lui faire la bise ! Dé–coif–fant !
Pourtant, l’année précédente, la découverte d’un trou paumé en Espagne (Avila) au moment de la mort de Franco était pourtant si difficile que je n’avais bafouillé un minimum de truc à mes parents au retour n’est RIEN comparé à mes premier pas sur la Lune… heu… aux US !
Photo Nixon, j’ai oublié le crucifixxxx juste en dessous. Pour l’anecdote, la fumette battait son plein quand même et j’ai accepté un oinj histoire de m’intégrer dans ce petit monde. Et j’ai explosé de rire au salut et signe de croix quotidien devant la photo !… moyennement reçu….
Il y avait deux cours en options, en plus : histoire des indiens d’Amérique (je vous dis pas les cours d’histoire car j’ai choisis ça), et !! je ne me souviens plus comment ça s’appelait mais c’était un cours pour bien tenir sa maison 🙁
Non, en 76 pas de Nixon dans les salles de classe. Pas d’Amérique Interdite sur les écrans français avant les années 80.
Rien de plus idéologique que cette auto-flagellation identitaire.
« Suzy ! Nikademus ! Faudrait peut-être sortir de ce bain moussant, vos pieds vont palmer. Sortez de la salle de bain ! Vous pompez toute l’eau chaude. Je ne vais quand même pas faire la vaisselle à l’eau froide parce que vous vous complaisez honteusement dans votre brand new mousse Deconstruction. I’m neither not your White ! I’m not your anything ! »
Yep, merci Schisosophie.
Je ne retiens qu’une phrase de ce texte (bon ok pas fini, me suis arrêté là puisque tout y était dit, in a nutshell) :
Celui qui ne rit pas est un idiot – après un temps d’arrêt éventuellement. Celui qui continue sa lecture…
« Ainsi leur rencontre avait eu l’importance d’une aventure. Ils s’étaient, tout de suite, accrochés par des fibres secrètes. D’ailleurs, comment expliquer les sympathies ? Pourquoi telle particularité, telle imperfection, indifférente ou odieuse dans celui-ci enchante-t-elle dans celui-là ? Ce qu’on appelle le coup de foudre est vrai pour toutes les passions. Avant la fin de la semaine, ils se tutoyèrent. »
https://fr.m.wikisource.org/wiki/Bouvard_et_Pécuchet/Texte_entier
Idéologique, peut-être. Depuis que le mot idéologique est devenu systématiquement péjoratif, il me semble que l’idéologique, ce sont souvent simplement les idées d’autrui que l’on rejette, organisées ou pas en un système cohérent. Mais qualifier une thèse d’idéologique ne saurait suffire à l’infirmer.
De même qu’isoler une phrase trop candide et non essentielle au propos d’un assez long article pour prétendre pouvoir rejeter tout le reste d’un bloc n’est pas un argument très convaincant. En tous cas pour la banane que je suis.
L’auto-critique et la remise en question des supposées évidences dans lesquels nous grandissons tous ne mènent pas nécessairement à l’auto-flagellation. Ce n’est pas parce qu’on se rend compte qu’on se voyait trop beau qu’on doit se mettre plus bas que terre. En revanche, ça peut vous aider à comprendre que tout le monde ne vous aime pas, et vous inciter à des réajustements salutaires dans vos rapports à l’autre.
Mon cher schizo!
Tu nous vois Suzy et moi, braquant des petites vieilles, au festival de la repentance, à Tulle peut-être?, arborant fièrement chacun un t-shirt « Victime de la société » ou même pire encore « Victime du système »!
Et James, et Malcolm, faisant la queue à la Caisse des Réparations, prêts à encaisser leur chèque et à jurer la main sur le coeur, que puisque c’est comme ça, tout est pardonné, ce monde est vraiment bien sympa, en fait!
Comme tu le conclus fort bien, et Suzy ne dit pas autre chose, ni nègre, ni petit blanc « white trash », ni rien du tout. Tant que les manants que nous sommes se complairont dans ces sortes de déterminations sociales, psychologiques, idéologiques étrangères et aliénantes, les seigneurs de ce monde continueront à regarder la mêlée d’en haut et à faire tourner le monde comme il ne va pas.
Elle dit que réaliser ça l’a mise en colère.
Mon cher Nika,
Ah donc, Suzy a réalisé, tant mieux, pas de développement personnel ni de sagesse au moins, puisque de la colère. D’où viennent donc ces petites vieilles de Tulle ? Ce ne sont sûrement pas celles du marché de Brive-la-Gaillarde.
Je vous vois devant le miroir de la salle de bain.
Baldwin : « Une grande proportion de l’énergie absorbée par ce que nous appelons le problème noir est donc produit par le profond désir qu’a l’homme blanc de n’être pas jugé par ceux qui ne sont pas blancs, de ne pas pas être vu tel qu’il est et, simultanément, une grande proportion de l’angoisse des Blancs a ses racines dans le désir également profond de l’homme blanc d’apparaître enfin sous son vrai jour, d’être affranchi de la tyrannie du miroir » (1962, The Fire Next Time, p. 125, trad. fr, Sciamma)
Et je ne me permets pas d’appeler James ou Malcolm par leur prénom, lesquels avaient quelques désaccords, Elijah Muhamad passant par là.
Cela dit si vous voulez en parler sérieusement plutôt que de vautrer vos énergies dans la culpabilité chromatique… À la mode, euh, à la mode ; à la mode de chez…
“I’m Dreaming of a White President” Randy Newman (2012).
https://youtu.be/mW7IF8hZ-LA
Désapprendre l’innocence, quel beau titre !
C’est ça la révélation, ou la conversion, au sens judéo-chrétien du terme : c’est voir par les yeux des victimes, et c’est donc se rendre compte de sa propre responsabilité, de sa propre culpabilité.
C’est s’efforcer de ne plus faire partie de ceux qui « ne savent pas ce qu’ils font ».
C’est déjà très bien de » voir » qu’il y a des victimes pour comprendre que comme dit Montaigne » il n’y a rien de pur en nous »
Le WaPo a adoré!
» timely and urgent »
Donc je passe.
Bsr Mr JORION !
Je reprends contact avec vous …. sans conviction, je l’avoue !
Je vous ai quitté , et non lu pendant plusieurs années , car vous êtes un CON, il faut se rendre à l’évidence …
PEUT IMPORTE QUE VOUS ME PUBLIEZ OU PAS ? C4EST VOTRE PROBLématique … MAis si vous souhaitez que nous avancions ,, il faut changer de mode opératoire ! C’est une question survivale! DESOLE, que vous l’acceptiez ou pas ! Maintenant , si vous êtes ou non un de ces mandatés , j’ai ordonné votre fin, à cet instant du 25/08/2017 à 21H11 ! —> Désolé , il ne fallait pas me provoquer : c’est irrévocable ! Tous serez ôtés de vos vies , car telle est ma volonté ! Dans le cas contraire , bougez vous ! Synthétiquement, il nous faut, pour le 1er septembre 2017 :
– 117 FN HERSTAL P90 avec 78 chargeurs pleins en munitions non blanches
-234 FN HERSTAL SCAR avec 156 chargeurs pleins en munitions non blanches + Silencieux
-468 FN HERSTAL Seven avec 936 chargeurs pleins en munitions non blanches + Silencieux
Précisions :
– libre à vous de me publier : aucune importance ! tout est déjà planifié , contrairement à vous !
– libre à vous de me dénoncer ! Il est déjà trop tard … et ils sont …VOUS êtes en retard …. actions correctrices mises en oeuvre ou pas , quelquesoit leurs dates de départ d’actions !
PS : CONTENT DE VOUS REVOIR DEPUIS PLUSIEURS SEMAINES .
VOUS ETES UN VRAI « CONNARD » , ce qui selon notre terminologie … rassemble les termes de : » Soumis, vendu, mandaté, non-rebel affirmé, détenteur de vies en devenir… de morts, ESPOIR en DEVENIR ! « .
Heureux de vous relire depuis plusieurs semaines … un vrai CONNARD !
Bonjour aux Autres …. l’Index levé ….même coupé !!!!
Patrice LEVEQUE
P : 06 24 47 54 06
Etant en déplacement, je n’ai pas d’autre manière de réagir envisageable à ce « commentaire » que de le rendre public. Je vais en faire également un « billet » à proprement parler.
Ce type existe vraiment?
Parce qu’avec un nom et un n° téléphone, il y a de quoi faire intervenir la maréchaussée…
Bonjour
Allez en discuter avec des représentants de l’autorité…vous aurez peut-être plus d’éléments (troll , maladie mentale, extrémiste connu/inconnu) pour décider : main courante, plainte, abandon…
Cdlt
Apres cette divulgation publique: dépôt de plainte contre X.
Ça ressemble à une histoire belge , une fois , ne serait ce que par le choix des armes ( wallonnes ).
Bonjour cher commentateur,
désolé de vous décevoir encore une fois, mais le 1er septembre, je pars pour la Belgique pour dédicacer mon nouveau livre, « Pour un Nouveau Monde » aux éditions Renaissance du Livre.
Nous pouvons convenir d’un rendez vous ultérieur. Le plus tard sera le mieux vous en conviendrez.
Si toutefois vous désiriez mener votre plan à exécution, vous pouvez me retrouver, moi et François, au café Lr Vicompte, où je pourrai vous dédicacer ce livre pour la modique somme de 14,95€.
Celui ci vous permettra de vous ouvrir l’esprit dans votre cellule de la prison de Lantin.
Avec toute mon attention,
Paul
Continuons d’espérer et d’œuvrer pour que la panique ne l’emporte pas. Car nous devons malheureusement et « humainement » compter là-dessus aussi, en plus du reste.
Que quelqu’un lui fasse un gros câlin ! … et lui enfile discrètement un camisole… juste au cas ou… Biz’ à tous !
Pourquoi répondre à quelqu’un qui souffre de délire ? Il faudrait transmettre ce billet à la police !
Ah bon ! Et dans l’hypothèse où c’est la police qui garde ton coffre fort ? Le délire, ton délire, me semble bien flou.
Je subodore une addiction. Heureusement il y a des solutions pour en éliminer les méfaits. Aucun Politique ne peut y remédier, seule la personne qui en souffre le peut. Belle journée
Soutien à vous, Paul Jorion. Vous avez très bien réagi en rendant cela public. La publicité (au bon sens du terme : rendre public) est la meilleure réaction immédiate à avoir, sous réserve d’autres suites.
Je suis également frustré et parfois en colère que, malgré votre bonne volonté (et vous n’êtes pas seul dans ce combat) votre action ne serve à rien pour éviter la catastrophe qui s’annonce. De là à ressentir que vous (et les autres) êtes en mission pour contenir et canaliser ces frustrations et colères…
Que répondre ?
Que l’alcoolisme est un naufrage, du point de vue individuel, et un fléau du point de vue collectif.
J’ajoute qu’il n’est absolument pas exclu que l’on puisse y ajouter la consommation conjointe de Cannabis et autres dérivés.
Et je m’y connais ……
Il n’y a pas de lutte armée dans le silicium et le numérique, qui est par construction sous contrôle militaire, et est antinomique de la lutte clandestine.
Les Brigades rouges, la Fraction armée rouge et Action directe ne sont pas des exemples d’efficacité ni de mobilisation politiques.
La mobilisation des soldats de l’An II ne s’est pas faite par une distribution d’armes, mais pour la Patrie en Danger !
Pour le reste, je n’y comprends rien !
Des insultes, et des menaces, si j’ai bien compris. C’est assez confus, mais que comprendre d’autre? S’il suffit d’être un con, ou un connard, pour devoir être eliminé, alors je crains un grand massacre! On est toujours le con de quelqu’un….Moi-même je suis parfois un vrais con à mes propres yeux…. Je vais éviter de me supprimer tout de suite, le temps s’en charge.
Franchement le courrier de se monsieur ne me semble intéressant que pour la police, et sans doute les psychiatres.
Que ce soit un canular, l’oeuvre d’un désaxé ou une vraie menace, la nature des propos justifierai la saisine de la DGSI
Pour moi ,soit meurtre symbolique du père, soit publicité à peine déguisée pour les établissements FN Herstal.
P90 + SCAR + Seven = Joueur de Counter Strike GO qui n’a pas pris ses médicaments
http://www.millenium.org/cs-go/accueil/guides/armes-et-accessoires-arsenal-de-counter-strike-global-offensive-74170?page=1
Se faire traiter de con, ça promet de rentrer en connection avec une grande confrérie. Ça peut être plaisant.
Mais « j’ai ordonné votre fin » est un appel au meurtre. C’est pas drôle, c’est puni par la loi. C’est vraiment con du coup.
Soit c’est du ressort de la psychiatrie soit vous vous êtes déjà fait des ennemis parmi les I.A. à logiciel de communication défaillant .
Outre une atteinte psychiatrique manifeste, cette personne souffre de surcroît ( ce n’est vraiment pas de chance …) d’une maladresse pour le moins hors norme au vu de la provision de munitions !
Blague à part : « La loi, d’après l’article 222-17 du code pénal sanctionne la menace de mort de 6 mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende. »
« Après une menace de mort que faire ? Si la menace a été proférée par courrier, sms, ou email il est primordial de conserver la trace de celle-ci, elle pourra constituer un élément central en cas de poursuites. »
Je crois qu’il a surtout besoin d’aller faire une petite – non, grande – visite auprès des hommes en blanc de l’hopital psy le plus proche de chez lui. Envoyez lui l’adresse et le téléphone de l’hôpital.
Vous voulez que je vous dise?
Nous les exotiques des Confettis de l’Empire, nous vous percevons, vous de l’Hexagone, pas très différemment que les turcs de l’article perçoivent les états-uniens…
Sans offense.
Il faut dire aussi que, visitant les monuments de la capitale (Paris), je comprenais qu’il soit difficile pour vous qu’il en soit autrement…
Et souvent, à lire ce Blog et les commentaires, je me sens très « Turc ». 🙂
En fait , le génie hexagonal ( au moins ancien ), c’est d’arriver à se mettre lui même dans la peau du » turc » .
Montesquieu et les » lettres persanes » en sont les témoignages les plus connus .
C’est d’ailleurs un peu ce qui peut faire la différence entre « génie français » et génie » nord américain ». Toujours cette histoire de rapport au temps . « Nous » plutôt dans le hors temps ( et l’utopie ) , « les nord américains » plutôt dans le présent ( comme les allemands et les japonais) . Les britishs inclassables ( entre traîtrise et courage inouï).
@Juannessy
Tout à fait… 😀
Désirez-vous un peu de chantilly pour améliorer votre commande? Un filet de cointreau ne serait pas mal non plus !
Cher Monsieur, franchement, vos arguments sont un peu légers et manquent singulièrement d’originalité: Connard! quel manque d’imagination ! Je suis sûre que vous pouvez faire mieux !
Toutefois, il faudrait quand même développer votre rhétorique parce que franchement, je ne vois vraiment pas pourquoi Paul Jorion mérite une telle énergie négative et vindicative. Ce n’est pas très clair dans vos propos, je ne comprend pas ce que lui reprochez. . La seule chose que j’ai comprise c’est que vous voulez des armes. D’accord, mais vous auriez pu, au moins, lui expliquer pourquoi vous en avez besoin. Parce que quand même, c’es un nombre impressionnant ! Et d’ailleurs, cela nous permettrait, peut-être, de vous aider dans dans votre combat. Pourriez-vous argumenter?
je vous saurai donc gré, de bien vouloir expliciter votre démarche.
Bien à vous !
Constat d’huissier + signalement au procureur.
Avant que cette personne instable fasse une bêtise.
Au-delà de la sensiblerie montrée par ce texte, 3 livres permettaient très tôt de servir de guide et d’information sur les USA dans leurs affaires extérieures essentiellement.
Theodore Roszak (2004) :
« La menace américaine: le triomphalisme américain à l’âge du terrorisme. »
Edward Behr (1995) :
« Une Amérique qui fait peur. »
Roszak était un universitaire pacifique, intellectuel et artiste, qui se disait blessé par les évolutions de son pays.
Tout autre était Edward Behr , un journaliste parfois contesté…. Il livre des faits bruts, des exemples concrets dans une perspective d’involution…
Je regrette d’avoir oublié l’auteur et le titre du troisième. Mais nous ne sommes pas sans ressource. L’auteur a été une connaissance de Paul dans une université anglaise. L’auteur commence par les tribulations d’un jeune anglais dans la Sud des USA, promu presque Dieu vivant et références culturelles et religieuses ( j’exagère…). L’essentiel du bouquin est une fine analyse de la formation religieuse des USA et de la persistance de la multitude des formations religieuses, d’origine grande-britannique qui se sont stratifiées. Il distingue par exemple les Ecossais d’Ecosse des Ecossais propriétaires en Irlande coloniale… En fait , le livre est beaucoup plus riche et débouche sur les malaises des USA moderne…
Superbe texte et comme l’on dit plusieurs intervenants, l’héroïne de ce récit: c’est en fait un peu nous tous: les occidentaux!
Bonne continuation.
Des Américains il y en avait beaucoup à Bruxelles, beaucoup de firmes (Monsanto) et le très célèbre OTAN.
J’en ai fréquenté me débrouillant en anglais pour communiquer avec eux ; une fille de Los Angeles, très anti conformiste qui travaillait sans visa pour le théâtre royal de la Monnaie, un autre qui a plaqué son boulot d’avocat pour se tirer en Afrique, je les aimais bien ces gens.
Leur culture m’a bien plus influencé que la culture française (bien plus moderne dans le sens contemporain), leur cinéma était génial (Chinatown, les hommes du Président, …) et ils ont d’excellents romanciers (j’ai lu Faulkner, superbe et les Raisins de la colère de Steinbeck fait partie des meilleurs romans que j’aie lu).
J’en ai détesté qui braillaient leur langue avec leur sale accent dans le métro bruxellois.
Ici j’en vois par groupe de cinq ou dix, souvent très jeunes voir ce qu’est la France. Je me demande souvent de quel état ils viennent, pour qui ils ont voté.
Il ne faut pas lire Kerouac, chiant, il faut Ginsberg, sublime.
Mais j’ai commencé à détester les US un jour, enough is enough (l’invasion de l’Irak, Guantanamo et les prisons secrètes en Europe.
Et en ce sens l’auteure de l’article est très lucide, nous les Blancs occidentaux, histoire d’aller foutre la misère chez les autres, pour ça on est au top. Un écrivain noir Américain dit que c’est le seul pays a avoir bombardé sa propre population, lire J Edgar Wideman, sa population noire s’entend.
Belle Amérique, sinistre Amérique!
Deux possibilités :
1- Il s’agit d’un canular
2- Ce monsieur devrait consulter un psychiatre
Les météos ont averti des dangers d’ictus cérébraux par ces temps caniculaires, et ça peut donner des trucs vraiment bizarres…
Je n’ai pas vérifier mais je me demande si l’ouragan Harvey ne doit pas son nom à « Double Face », le personnage particulièrement timbré du film de Nolan « Le chevalier noir ».
Dans un monde dérangé les esprits dérangés fleurissent.
Dieu est grand !
James Baldwin disait que nous les Blancs ne nous rendions pas à quel point nous étions malades.
Si nous le sommes c’est parce que nous nous trouvons inscrits dans des formes de société qui favorisent cet état.
Nous laissons des gens devenir criminels, nous en méprisons d’autres parce que jugés non aptes ou non conformes, nous les enfermons ou confions à des gens qui emploient des méthodes qui ne devraient plus être ou n’avoir jamais été (je parle de la psychiatrie dans ce qu’elle peut avoir de plus destructeur).
Beaucoup de gens n’ont tout simplement pas la culture pour collaborer avec des psys, parce qu’il en faut un minimum ; au moins savoir s’exprimer.
De fait nos sociétés sont remplies de gens dits dérangés (et qui le sont vraiment) ; il y a aujourd’hui des attaques qui ne sont pas qualifiées de terroristes mais qui en ont les mêmes aspects qui sont l’oeuvre de dérangés.
Nous vivons dans une ignorance quasi totale de ces faits, comme nous n’en avons pas grand chose à faire de ce qui n’est pas de notre monde (et ça rejoint le billet).
Des gens sont malades, ils peuvent être dangereux et nos réponses, malgré toute la bonne volonté de certains, restent insuffisantes.
Qu’en penser?
Si Monsieur Jorion pouvait tenir compte de ces lignes dans l’éventuel billet qu’il compte rédiger comme dit un peu plus haut, ça pourrait être le sujet d’une discussion où bien des choses seraient à dire.
une excellente émission ce jour sur F-Cul :
La revanche des vieux conflits (1/4)
Du Général Lee aux Néo-confédérés : la cause perdue des suprémacistes blancs
https://www.franceculture.fr/emissions/culturesmonde/la-revanche-des-vieux-conflits-14-du-general-lee-aux-neo-confederes-la-cause
à écouter
De Charleston à. Charlottesville en passant par Prague, statut des statues et socles des siècles, parcours de Kevin Levin, historien des mémoires de la Civil War.
https://www.theatlantic.com/politics/archive/2017/08/why-i-changed-my-mind-about-confederate-monuments/537396/
Ahh folie si raisonnable des êtres humains! Que de chance avons nous eu d’exister jusqu’à ce jour…. Faut il qu’il y ait un Dieu pour rendre possible cette situation inextricable ?
Je viens de découvrir qui était Suzy Hansen après être tombé par hasard sur une vidéo vue sur un autre média qui m’avait intéressé. Le monde étant petit, je retombe via Google sur le blog de Paul Jorion comme un chat jeté par la fenêtre tombe sur ses pattes. Je veux saluer ici, dans les méandres du Web, Susy Hansen, pour cet article et pour sa force intérieure, oui, simplement vivement la remercier et lui tirer mon chapeau ! – Point barre.