La taille de la machine influe directement sur le niveau de l’IA. Dans le livre de Paul Jorion « l’avènement de…
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La taille de la machine influe directement sur le niveau de l’IA. Dans le livre de Paul Jorion « l’avènement de…
Musique électro, fin du XXème siècle https://www.youtube.com/watch?v=Mkd7LbQnfIQ
Quand même, il met le doigt sur le mysticisme possible de certaines motivations à créer une AGI , alors que…
@timiota Le pilotage de l’évolution de la biomasse animale sur la terre semble vouloir être orientée vers la maximisation de…
@gaston Mon petit doigt me l’a dit ! n’est-ce pas celà le micro-digital ! la toute connaissance de la NSA…
@timiota Jusqu’à la destabilisation de la Palestine par l’arrivée temporaire des occidentaux Britanniques ayant à coeur d’abattre l’Empire Ottoman pour…
@Pascal Magnifique titre du à un journaliste responsable (pas encore remplacé apparemment par une IA) qui n’a même pas été…
@ilicitano OK par jour ! On a gagné un facteur 400 donc une puissance moyenne apparente de 20 000 kW…
@Pascal Oui Bien sûr c’est un dieu solaire dimanche=sunday ! plein d’énergie
Pas très convaincu que monothéisme rime toujours avec totalitarisme. Rime souvent mais pas toujours. Les ottomans ont régné de façon…
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6 réponses à “Les temps qui sont les nôtres : Donald Trump, le 2 mars 2018 – Retranscription”
Ce n’est pas gentil pour les gorilles.
Merci, bonne journée Monsieur Paul Jorion.
“Les hommes ne sont pas faits pour savoir ; les hommes ne sont pas faits pour comprendre ! Ils n’ont pas ce qu’il faut pour cela. Un cerveau d’homme est plus grand et plus riche en circonvolutions qu’un cerveau de gorille, mais il n’y a de l’un à l’autre aucune différence essentielle. Nos plus hautes pensées et nos plus vastes systèmes ne seront jamais que le prolongement magnifique des idées que contient la tête des singes. Ce que nous savons de plus que le chien sur l’univers nous amuse et nous flatte ; c’est peu de chose en soi et nos illusions croissent avec la connaissance.”, Anatole France, Histoire comique, Pléiade, tome III, p.932.
Auteur irremplaçable. Héros de mon adolescence.
le choix le plus impressionnant de Mueller, c’est quand il quitte un cabinet d’avocats en vue et grassement payés pour demander à s’occuper d’être attorney (procureur) de Washington DC, ville qui hors du gros quartier de gouvernement est alors un des pires endroits pour la criminalité aux USA (ghetto noir etc. si j’ai bonne mémoire). Le ministre concerné lui donnera de force un titre un peu plus haut que ce qu’il voulait. Et il viendra peu ou prou à bout de cet état de criminalité.
Leonard Cohen a écrit « Everybody knows the good guys lost ». Heureusement, le courant s’inverse : Mueller is casting a wide net. We now know the target is Trump.
Trump, un symptôme de quoi ? Car demain, par exemple, s’il devait quitter (si possible, avant d’avoir commis trop de dégâts irréversibles pour l’espèce humaine et le monde vivant en général….), qu’est-ce qui lui succéderait ? Là-dessus les citoyens américains devraient vraiment réfléchir, et au moins, avec Trump, les choses sont visibles à l’oeil nu . Par extension, que cette « expérience » nous serve de leçon à nous citoyens européens pour éviter de tomber dans cette même ornière (s’il est encore temps), et là, ça rejoint l’autre sujet du jour à propos de l’Europe….Mais (permettez ce coq à l’âne), avec une « élite » tranquille et assurée d’elle-même comme ce monsieur tout à fait représentatif (et au demeurant certainement tout à fait respectable, enfin je suppose) avec qui vous avez partagé le dernier interview à l’Université de Lille, nous ne sommes pas du tout, mais pas du tout sortis de l’auberge (au moins une guerre de retard….) (au passage, une perle : ce monsieur de déclarer : « pauvre Madame Bettencourt » : il faut se rappeler que cette dame est (pardon, était) la femme la plus riche du monde (ou presque) ? le mot « pauvre » devait signifier quelque chose d’autre pour cet homme….c’est ça de vivre trop dans « l’entre-soi », ça fini par brouiller le bon sens).