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4 réponses à “Les temps qui sont les nôtres : Trump, un Parrain comme un autre, le 13 avril 2018 – Retranscription”
Trump vs. Comey – ce sont des luttes de pouvoir entre mafiosi. Avant Trump nous avions des menteurs, des tortionnaires et des tueurs de drones et maintenant nous avons un gangster. Qu’ont-ils en commun ? Tous sont des amis du Daesh Blanc – comme Macron, Mai, Merkel, etc. Ils bénéficient tous du génocide des Yéménites.
Macron: « La position de la France est claire : plein soutien à la sécurité de l’Arabie saoudite, condamnation de l’activité balistique venant des Houthis »
Kamael Daoud: » Daesh noir, Daesh blanc. Le premier égorge, tue, lapide, coupe les mains, détruit le patrimoine de l’humanité, et déteste l’archéologie, la femme et l’étranger non musulman. Le second est mieux habillé et plus propre, mais il fait la même chose. L’Etat islamique et l’Arabie saoudite »
Daesh tout court , c’est surtout le bébé des radicalismes de l’islam , chiite d’une part , sunnite d’autre part .
Que l’islam se réconcilie sur des bases un peu plus modernes et compatibles avec la république , on a déjà assez de mal par ailleurs avec les paranos de toutes races , sans en faire les boucs émissaires des turpitudes des autres .
A chacun sa merde et sa responsabilité .
« Que l’islam se réconcilie sur des bases un peu plus modernes ».
Impossibles rêves.
Lisez « Américains Arabes: l’affrontement ». Nicole Bacharan et Antoine Sfeir. Seuil, 2006.
Vieux, mais pas daté. De grandes constantes mises à jour.
Deux changements:
L’abandon officiel par l’Arabie Saoudite de sa promotion du Wahabisme. Même sa version soft à usage occidental était rien moins que « particulière ».
Le voisin du nord de la Syrie et son autocrate Recep Tayyip Erdogan, frère islamiste de plus en plus affirmé. Et c’est un euphémisme.
Ce sont des infos générales, bonnes à savoir. Elles ne préjugent en rien de la situation dans notre grande République… laïque.
Passe qu’au niveau individuel, E. Todd est beaucoup plus positif.
Questions loyauté et le «nous contre eux» type maffieux, on a précédent: Nixon. Dès avant sa réélection, c’est ce qu’il exigeait de ses subordonnés de la Maison Blanche et de ses ministres. Il avait peur des fuites recueillies par les journalistes de la côte est. Il les méprisait en bloc, accordant quelque crédit au seul Los Angeles Times. Et pour pas longtemps. Il se sentait un plouc devant la «sophistication», selon lui importée d’Europe, du Département d’État, des intellectuels et universitaires de New-York à Boston. D’horribles décadents prêts à se soumettre à Moscou ou Hanoï et saboter ses efforts diplomatiques.
Après sa réélection, il s’est terré dans «sa» Maison Blanche au personnel de confiance devenu rare, de plus en plus parano et rageur envers les USA tout entier.
Ce qui est bien avec ce rapprochement sont le mots magiques: menace de destitution, démission comme un malpropre.
Trump va-t-il rencontrer son Watergate? Jusqu’à présent, seule la roupie de sansonnet est au rendez-vous. Je manque d’informations. Il me semble quand même équitable de ne rien retenir contre lui de ce qu’il a pu faire de délictueux avant son élection. Un crime étant tout autre chose.
En a-t-il fait assez, en fonction, pour suivre le parcours de Nixon ? C’est LA question. Et on est bien obligé de répondre par la négative. Dans ce cas, -que les Dieux et des enquêteurs accrocheurs nous en préservent-, il est bon pour une réélection. L’éloignement nous autorise un brin de superstition: je touche du bois et croise les doigts.