Brel avant « Quand on n’a que l’amour »

Ouvert aux commentaires.

1953 – Brel avant Brel : à écouter attentivement (quoi d’autre ?)

Qu’en pensez-vous ?

Si c’était vrai

Les enfants du roi

Ballade

L’orage

Bonus :

Quand on n’a que l’amour

Partager :

12 réponses à “Brel avant « Quand on n’a que l’amour »”

  1. Avatar de Chabian
    Chabian

    « Sur la place ». En ce temps-là de ces chansons-là, il chantait dans les fêtes catho, je pense l’avoir vu enfant.

  2. Avatar de Dup
    Dup

    Je ne connaissais que la première et ne la situait pas chronologiquement si tôt. Je ne sais pas vraiment que penser de votre invitation à méditer? Faudrait il trouver une rupture entre le Brel méconnu et le Brel célèbre? Ces morceaux là ne la mettent pas en évidence. Bien au contraire, toutes les briques du «  »Brelisme » » sont là : Le désespoir mais sans tristesse, les rêves à réaliser, la bonté inhérente à l’être humain (la méchanceté n’existe pas il n’y a que la bêtise), et la peur dévorant « l’accident biologique qui fait ce qu’il peut » (« un homme qui n’a pas peur n’est pas un homme »). J’en vois cependant deux qui manquent : le lyrisme et la colère : corolaires respectivement du travail et de l’expérience du monde donc venus plus tardivement? …………

    L’enfance de l’art ??? 😉

  3. Avatar de timiota
    timiota

    (Hors sujet vs. Brel) Sur Félix Guattari parlant de Trump (encore « jeune ») en 1989 dans une comparaison avec l’algue.
    La politique a même permis à Trump de coloniser des surfaces qu’on n’attendait pas: comme l’algue, il s’est allié avec des champignons (NRA, fondamentalistes, …) pour devenir un lichen, une variété du genre qui fait pourrir le bois.

    1. Avatar de un lecteur
      un lecteur

      Pendant que l’oligarchie s’en lave les mains en se disant « laissons lui faire le sale boulot, on se partagera le magot à vil prix le lendemain de son inculpation ».

  4. Avatar de timiota
    timiota

    J’indique (davantage dans le sujet de ce billet sur « l’amour ») cet article du club de Mediapart (dispo sans abo, je crois) écrit en espagnol originellement par le philosophe espagnol Amador Fernandez Savater, qui arrive à montrer que certains choses se déclenchent au-delà des clichés (même si celui du bisounours m’a effleuré) , en relation avec les conséquences des mouvements M-15 et M-8 là bas…

    https://blogs.mediapart.fr/amador-fernandez-savater/blog/080518/la-destruction-de-l-empathie-sur-la-situation-politique-en-espagne

    1. Avatar de Nathalie Ros
      Nathalie Ros

      À l’époque de « l’abbé Brel », comme l’appelait, je crois, Brassens, ma chanson préférée est « Sur la place »… une évocation magnifique d’une fille qui danse « ondulante comme un roseau », d’une fille qui chante un « hymne d’amour et de bonté », comme une flamme que les hommes et les femmes refusent de voir, d’entendre…
      il a écrit mieux, plus dense, plus complexe, mais ce texte tout simple, un peu naïf, moi il me touche.

  5. Avatar de Pierre-Yves Dambrine
    Pierre-Yves Dambrine

    La guitare discrète semble écouter religieusement la voix de l’homme qui chante. S’il existe un miracle de la chanson, c’est Brel !

  6. Avatar de Lucas
    Lucas

    Je pense que les milliardaire capitalisent bien trop sur notre AMOUR.

    1. Avatar de Lucas
      Lucas

      Merci pour ces partages monsieur.

  7. Avatar de Raga
    Raga

    Celle-ci, il pourrait la chanter encore de nos, toujours malheureusement d’actualité :
    https://www.youtube.com/watch?v=Gbzxcg5reOE

    Les hommes s’amusent comme des fous
    Au dangereux jeu de la guerre
    Ça va
    Les trains déraillent avec fracas
    Parce que des gars pleins d’idéal
    Mettent des bombes sur les voies
    Ça fait des morts originales
    Ça fait des morts sans confession
    Des confessions sans rémission
    Ça va
    Rien ne se vend mais tout s’achète
    L’honneur et même la sainteté
    Ça va
    Les États se muent en cachette
    En anonymes sociétés
    Ça va
    Les grands s’arrachent les dollars
    Venus du pays des enfants
    L’Europe répète l’Avare
    Dans un décor de mil neuf cent
    Ça fait des morts d’inanition
    Et l’inanition des nations

  8. Avatar de Emmanuel

    Bon, peut-on croire à l’immortalité ? Celle de l’IA, ou celle de l’art, la musique, la peinture, la littérature, la philosophie, etc…A écouter ces chansons de Brel, mon coeur a fait son choix (il est mort mais toujours vivant)…. (mais je sais, ça se discute).

Répondre à Juannessy Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta