Email a copy of 'Les robots décideront si on vous embauche ou non pour un des quelques boulots qui restent' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
un certain Julian que je n’ose même pas nommer ici N’hésitez pas à mentionner Julian Assange, je vous rappelle que…
Demander gentiment aux IA de nous aider à nous débarrasser de ce que je persiste à nommer (capitalisme) et que…
👍
Je vous fais confiance : vous n’auriez pas été ébranlé par l’invention de l’imprimerie il y a 570 ans, ni…
https://youtu.be/Wo_FVJhzaG0?si=K4nZ8PKnhL45_ofe » Un rescapé de l’Holocauste parle du déni de la société israélienne sur les massacres de la Palestine «
https://www.youtube.com/watch?v=QLOwycKenCI » En 1965, le philosophe Paul Ricoeur commente la contre-culture beatnik «
@Tout me hérisse ce n’est pas dit ainsi . >A la chambre des représentants les élus du PR font une…
@l’arsène « Mais c’était pour confirmer aussi que la troisième guerre mondiale est en très bonne voie car vouloir à tout…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
11 réponses à “Les robots décideront si on vous embauche ou non pour un des quelques boulots qui restent”
Cette technique va donner naissance à des écoles, aux tarifs exorbitant au début, équipé avec le même logiciel, pour apprendre à le leurrer. Plus tard, d’autres logiciels pourront reproduire en 3D votre avatar plus vrai que nature qui fera la même chose pour un prix dérisoire (puisque piraté) alors que vous prendrez votre apéro » À la Brasserie du Parc. »
Santé !
Là où il y a encore un chouïa de boulot , ça fait belle lurette que les syndicats ont le sentiment de discuter avec un ordinateur , quand ils demandent à négocier .
J’avais d’ailleurs en intro de mon agenda , en 1988 , un dessin représentant l’arrivée d’une délégation syndicale dans le bureau d’un PDG , environné de diagrammes et d’ordinateurs ( déjà , oui , mais sans doute plus Olivetti ou IBM que Apple ou Sun ) , lequel leur racontait , hilare :
» le plus simple est que vous discutiez avec l’ordinateur directement » .
30 ans plus tard , c’est le potentiel salarié qui en est au même point .
Sur notre asservissement démentiel ,au sens propre , à l’appréciation des robots et des soit disant évidences , bien aimé les fulgurances , au détour de certains de ses sketchs , de Blanche Gardin repérée à juste titre comme l’héritière de Desproges .
@juhannessy,
Et oui les syndicats ne negocient pas les travaux realises parce qu’ils ne connaissent pas ces travaux. Les syndicats ne connaissent pas tous les travaux realises dans l’entreprise.
Il devient democratique que tous les salaries participent a la negociation
Ils se fatigueront avant le robot .
Oui, ce qui est dramatique c’est qu’aux salariés qui restent on demande de se comporter comme des robots.
Leurs souffrances viennent en grande partie de là, la négation de l’humanité dans le travail.
L’effondrement viendra de là aussi.
En fait le salarié est devenu la propriété de l’employeur le jour où le libéralisme philosophique est mort , c’est à dire quand le capital a phagocyté le libéralisme, conduisant « l’actionnaire » a devenir « propriétaire » du résultat du travail puis des salariés eux même .
Le robot reste selon moi le seul « vecteur » de cette relation maitre- esclave sans vraiment en changer les acteurs .
Juste le décor .
Belle synthèse en quelques lignes percutantes de l’œuvre de Paul. Chapeau!
Un sale décor, c’est pas bon pour le moral, mais heureusement il y a des Chief Happiness Officer
https://fr.wikipedia.org/wiki/Responsable_du_bonheur
Voir » Troisième contradiction » :
https://www.pauljorion.com/blog/2012/10/16/les-forces-collectives-proudhoniennes-un-complement-a-misere-de-la-pensee-economique-par-jacques-langlois/#comment-371300
J’ai l’impression d’être dans Le meilleur des mondes, d’Huxley. La finalité, dans le cadre qui est le nôtre, fait peur. Après le marché du travail, les écoles maternelles ? les foyers familiaux ? On sélectionnera notre partenaire, nos collègues, voire nos enfants à l’aide de logiciels ?
L’éthique doit être présente en robotique et en IA. L’autorégulation serait une blague…
Je suis retraitee et n’ai pas la meme vue pour le bien etre au travail. Le PDG et ses sous fifres, les collegues doivent respecter l’environnement humain qui existe dans l’entreprise. Passer plus de 8h sur les nerfs a entendre des critiques malveillantes va deboucher sur le burn out et le travail ne sera pas bon.
C’est complètement con. Et ce qui est con, on peut le refuser. Ou on peut y aller pour rigoler un bon coup, si on n’a rien de mieux à faire.