Sur les bateaux où j’ai appris la pêche en mer, quand ça tournait mal, le français disparaissait instantanément : il n’y avait plus de jurons, plus d’ordres, plus de mots du tout en français. Il n’y avait plus que le breton et il y avait intérêt à le comprendre !
Après, une jeune fille de Lignol, près de Guémené-sur-Scorff, m’a enseigné cette langue posément, comme sur les bancs de l’école. Mais comme disait Nietzsche, ce qu’on apprend dans les cris et la fureur, on ne risque jamais de l’oublier !
Selfie avec le peintre. https://scontent-fra5-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/438253667_965930818213746_4501017865480091366_n.jpg?_nc_cat=1&ccb=1-7&_nc_sid=5f2048&_nc_ohc=34q7Y4nKpzMQ7kNvgFF4TfA&_nc_ht=scontent-fra5-2.xx&oh=00_AfAY4DMFMoyX0GxO-kgb8onNt_EiHhXaoBt3dGODeFgjxQ&oe=662FE127