Une forme mathématique qui échappe à la mathématique en dansant…
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Une forme mathématique qui échappe à la mathématique en dansant…
Quelle soit croyante ou pas, elle devrait s’alarmer de la banalisation, « dédiabolisation », de la mise à genoux, mains sur la…
Inquiète, la jeunesse devrait se préoccuper que soit criminaliser les initiatives pacifiques de mouvements sociaux comme eXtinction Rebellion… que soit…
Encore merci pour la sensibilité aiguë de votre témoignage en ce qui concerne le vécu de votre expérience au sujet…
@konrad ou une tête de petit homme vert qui aime les pâtes avec une symétrie quadrangulaire forcée.
Probablement une épicycloïde : http://eljjdx.canalblog.com/archives/2018/02/15/36145181.html comme https://storage.canalblog.com/49/04/210892/119160992_o.gif mais avec un facteur 4 et non 5. une épicycloïde allongée http://serge.mehl.free.fr/anx/trochoide.html x…
On dirait un enfant contrarié qui boude.
C’est un travail du département de mathématique de l’université de Palerme, sur le mouvement du Tango à l’intention d’élèves du…
J’appelle ça tourner en rond . Et comme plus rien ne tourne rond dans notre monde autant admirer ce magnifique…
Comme ces deux êtres s’emboitent bien ! N’en feraient ils qu’un ?
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
20 réponses à “Audition de Robert Mueller le 24 juillet 2019 : un bilan”
Le documentariste Michael Moore fait partie de ceux qui attendaient Batman. Ce qui lui offre une occasion de faire le jeu de Trump : Le réalisateur Michael Moore critique durement Robert Mueller… pour le plus grand plaisir de Trump
Bonsoir monsieur
Que pensez vous de l’analyse de ce commentateur Québécois :
https://www.youtube.com/watch?v=u8HFWv4CDRY.
Bien cordialement
Alain Malfatti
Son analyse n’était malheureusement pas dans cette vidéo là. Vous avez un autre lien 😉
Plus sérieusement, c’est du niveau « réaction épidermique », et bien que je me considère comme une personne « de gauche », je n’ai pas davantage de respect pour de la « réaction épidermique de gauche » que pour de la « réaction épidermique de droite ».
J’espère que vous voyez la différence entre ce que fait ce monsieur : « Est-ce que Mueller est dans notre camp ? Je croyais qu’il était dans notre camp mais je m’étais trompé », et ce que je fais moi, et qui mérite je le pense d’être appelé « analyse ».
Le souci avec Trump c’est que c’est un pervers narcissique mais contrairement aux autres pervers narcissiques lambda on ne peut se débarrasser de Trump facilement car il occupe un poste important. Son influence néfaste sur les autres et sur le monde est donc amplifiée.
in La vérité et M. Trump, le 27 mars 2017
Plutôt que pervers narcissique, à ce que j’ai entendu dire (mais peut-être est-ce faux ?) Trump ne serait-il pas plutôt un psychopathe ? Les psychopathes ont un défaut de câblage au niveau du cerveau et sont absolument incapables de se mettre à la place d’autrui. En témoigne par exemple le comportement de Trump à l’égard des enfants qu’il a séparés de leurs parents. Les psychopathes n’ont d’affection que pour leur famille qui est une extension d’eux-mêmes. La relation de Trump avec sa fille Ivanka est caractéristique de ce point de vue.
TRENDS – TENDANCES, LA DYNAMIQUE PERVERSE DU NARCISSISME DES TYRANS, LE 21 JUIN 2018
La dynamique perverse du narcissisme des tyrans
Erich Fromm, né en 1900 en Allemagne, mort en Suisse en 1980 après avoir passé de très nombreuses années aux Etats-Unis, était psychanalyste et sociologue. Il devint une figure respectée de la fameuse École de Francfort.
Fromm a publié en particulier en 1964 « Le coeur de l’homme. Son génie pour le Bien et pour le Mal », où il s’efforçait d’expliquer la personnalité d’Adolf Hitler et les raisons pour lesquelles le peuple allemand l’avait suivi. À cette fin, Fromm introduisit dans le vocabulaire psychanalytique, une nouvelle catégorie, celle de « perversion narcissique » (malignant narcissism).
Si j’évoque cet ouvrage, c’est qu’il est la principale référence à laquelle renvoient les contributeurs d’un livre publié en octobre 2017, intitulé The Dangerous Case of Donald Trump : le cas dangereux de Donald Trump, vingt-sept psychiatres et spécialistes de la santé mentale évaluent un président. Plusieurs articles de ce livre sont des allocutions présentées à l’Université de Yale en avril 2017, lors d’un colloque intitulé « A Duty to Warn », le devoir d’avertir : une règle adoptée en 1974 par 38 des 50 états américains, stipulant que si un médecin est conscient que l’un de ses patients constitue une menace pour autrui, il doit enfreindre la règle de confidentialité et doit avertir soit la police, soit directement la personne menacée.
Alors que la personnalité normale fait preuve d’un narcissisme modéré qui lui permet d’avoir un souci de soi lui permettant d’assurer sa propre survie, le pervers narcissique en a une représentation exagérée qui le conduit sur le rebord de la folie. Il peut aller jusqu’à confondre sa propre personne avec l’univers tout entier, et entrer en dépression au moindre démenti par les faits. Il n’y aurait là qu’une simple curiosité, s’il n’y avait des individus prêts à embrayer dans la mégalomanie d’un autre, permettant à celui-ci de gagner davantage de pouvoir, lequel pouvoir lui permet de modeler toujours plus le monde selon son souhait, confirmant ainsi son sentiment de toute-puissance. Fromm écrit : « grâce à son pouvoir César a su plier la réalité à ses folies narcissiques » et « ces personnalités publiques ont pu prévenir une flambée flagrante de leur psychose latente en récoltant les applaudissements et l’approbation de millions de gens », et il ajoutait : « Paradoxalement, c’est cet élément de folie dans de tels dirigeants qui contribue aussi à leur succès. Il leur procure une certitude et une imperméabilité au doute, susceptibles de subjuguer l’individu moyen. »
Hitler s’explique ainsi : il « est l’exemple même [d’] une personne extrêmement narcissique qui, sans doute, aurait pu souffrir d’une psychose manifeste s’il n’avait réussi à convaincre des millions de personnes de croire à son image de soi-même […] et à transformer même la réalité de telle manière qu’elle semblait prouver à ses partisans qu’elle était correcte. »
Qui constituera les troupes d’un pervers narcissique accédant au pouvoir ? Les candidats à un narcissisme collectif prêts à se rallier derrière l’idée d’un peuple élu, de son drapeau, de ses slogans (« Make America Great Again ! »), de son idéal de rejet des autres, autrement dit tous ceux dont la propre personne est insuffisante à constituer le support d’un sain narcissisme individuel. Fromm écrit : « Pour ceux qui sont pauvres économiquement et culturellement, la fierté narcissique de groupe est la seule source de satisfaction » et, en particulier, « la classe moyenne basse […] privée de tout espoir réaliste de voir évoluer sa situation (car ses membres sont les survivants d’un monde d’autrefois à l’agonie). »
Il existerait donc un cycle pervers conduisant à la catastrophe lorsqu’un narcissisme individuel et un narcissisme collectif s’alimentent l’un l’autre.
Est-il possible d’éviter l’apparition périodique de telles dynamiques toxiques ?
Fromm en 1964 était pessimiste : « À partir de la Renaissance, ces deux grandes forces contradictoires : le narcissisme collectif et l’humanisme, se sont chacune développées de leur côté. Malheureusement le développement du narcissisme collectif a pratiquement éradiqué l’humanisme. »
Ne nous contentons donc pas de sourire devant l’apparition d’un nouveau tyran : une mobilisation pour un retour en force de l’humanisme est une question de vie ou de mort.
En mécanique quantique, on nous apprend « l’ensemble complet d’observables qui commutent », un outil qui assure que vous savez tout ce qu’on peut savoir du système que vous entendez décrire, comprenant les inévitables incertitudes type Heisenberg.
Pour la sociologie des dirigeants, pouvons nous savoir « en général » (donc a priori) s’il existe à tout moment un discours permettant de faire avaler à ses soutiens (partis, sondages, médias, donateurs, administration, …) du grand n’importe quoi ? Si oui, il suffit qu’un candidat « tombe dessus », pour que le mal soit fait a minima pour la durée du/des mandat/s.
Sinon, cela veut dire qu’il existe un système formé par une opinion et qui entretien une relation en aller-retour avec certains candidats, les faisant « apparaitre » là où ils ne seraient pas apparus « par hasard ».
Bref, plutôt que de nomme Trump (ce qui est fait en trois volumes à paraitre, donc passons à la suite de la réflexion -;) ), ne convient-il pas de savoir nommer en creux la force qui rend son existence favorable aux oreilles et aux yeux de ladite opinion ? L’insatisfaction dépasse en quelque sorte les métriques naïves (70% des choses iraient mal et 30% bien par exemple, et on penserait à un programme pour que les 70% etc..). Elle « infinitise » (pour reprendre des mots de Bernard Stiegler pour un usage opposé au sien) la perception négative, désublime infiniment le sujet et ses sphères, (la « bêtise systémique » de Stiegler, dans le sens qu’il emploie pour le coup).
Autrement dit il s’est fait en creux la place de tous les Trump, un « déphasage » massif, qu’un discours an sens d’une accumulation de plans (à la Elizabeth Warren « j’ai un plan pour ça ») ne peut guère rattraper. L’alternative doit d’abord parvenir à « faire système » au sens sans doute de l’hégémon gramscien, pour percer. Et même si comme beaucoup j’aime le « squad » les femmes démocrates AOC, et ses trois collègues, il y a une grosse marge entre ce qu’elles peuvent faire et ce stade. Pas de « à quoi bon », mais une interrogation sur le territoire suivant à prendre (Berlin puis Manhattan…), au moins en pensée.
« First we take Manhattan, then we take Berlin »
https://www.youtube.com/watch?v=JTTC_fD598A
C’est l’ été, la canicule et même la pluie qui est tombée cette nuit, en même temps que la température:
https://www.youtube.com/watch?v=3SfSQ3lQmJw
Donc il peut continuer son mandat tranquillement. va t-il faire un faux pas ? En tout cas qu’il ne nous emmene pas à une 3e guerre mondiale il en est capable.
Et peur qu’il soit reelu pour qu’il echappe à la justice et vu les suiveurs qu’il a et qui sont complètement aveugles c’est inquietant. Effectivement ça ressemble à Hitler ça fait peur.
A un moment donné vous aviez dit qu’un des enfants pourraient être accusé et que Trump pourrait démissionné pour eviter ça. Est ce que vous pensez que c’est toujours possible ?
Je doute que ses enfants ne soient pas dans la confidence et les mefaits de leurs père
Oui, je continue de penser que c’est le cas. Je vais vous retrouver le passage dans la retranscription – très loin d’être innocent – où il est question de Donald Jr.
Une autre vision
https://lesakerfrancophone.fr/laudition-de-robert-mueller-au-congres-us-est-un-desastre-pour-les-democrates
Pour qui roule lesakerfrancophone ? N’est-ce pas pour un ami très cher de M. Trump ?
Désinformation, quand tu nous tiens !
P.S. Ajoutons Zerohedge et dedefensa à la liste. Michael Moore, c’est une autre affaire, j’avais parlé de sa réaction de manière anticipée : les Démocrates qui croyaient qu’avec Mueller, Batman était de retour en ville !
C’est effrayant, horrible. Nous sommes cernés, tournés sur notre droite et sur notre gauche, notre centre enfoncé, aucun échappatoire possible.
Tous les sites cités , et beaucoup d’autres, roulent pour nos ennemis, les connus et, plus désespérant, les inconnus. Et tous ceux qui s’ignorent. Le Mal a tant de complicité et le Bien si délaissé.
Mais nous serons courageux, pavillon haut et tout ça. Trump est condamné.
Face à votre obsession anti trump tout ce qui présente une opinion contraire ou plus équilibre dans cette affaire est désinfomer.
Seul vous détenez la vérité
Ce n’est pas une obsession : c’est un combat, nuance !
Trump, c’est le fascisme façon Hitler, il faut l’abattre.
Tous ceux qui le soutiennent, lui trouvent des excuses (il est inexcusable : il dit que ses camps de concentration n’est sont pas parce que la gestion est bien faite), sont dans le même camp que lui, celui d’une transnationale fasciste.
Avez-vous noté comment les organes de presse, blogs, qui nous rebattent les oreilles en permanence : « Scandaleux ! Personne ne parle de… X ou Y ! » ont été prompts à affirmer à propos de l’audition de Mueller : « il ne s’est rien passé ». Le « Scandaleux ! Personne ne parle de… X ou Y ! », ils ne l’utilisent que quand ça les arrange.
« Tous les sites cités , et beaucoup d’autres, roulent pour nos ennemis, les connus et, plus désespérant, les inconnus. Et tous ceux qui s’ignorent. Le Mal a tant de complicité et le Bien si délaissé. »
Ma bite, mon couteau 😉
https://www.stage-survie-tribaudeau.com/stage-survie-bite-couteau
Lawrence O’Donnell (MSNBC) a bien repéré le pivot de l’audition de Mueller, articulant les deux parties du rapport :
Joyce Vance on the most important exchange in Mueller’s testimony
https://www.youtube.com/watch?v=yNjBV0WrydQ