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15 rôles splendides pour grandes actrices (de 15 à 11)
#15 – Mira Sorvino – Mighty Aphrodite (Woody Allen – 1995)
#14 – Claire Bloom – L’espion qui venait du froid (Martin Ritt – 1965)
#13 – Bette Davis – Jezebel (William Wyler – 1938)
#12 – Helena Bonham Carter – Fight Club (David Fincher – 1999)
#11 – Bernadette Lafont – Une belle fille comme moi (François Truffaut – 1972)
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Nelly Kaplan (1931 – 2020)
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ENCORE UNE (enfin 1/3) MINUTE DE BERNADETTE LAFONT
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LE TEMPS QU’IL FAIT LE 26 JUILLET 2013
Sur YouTube, c’est ici.
Jérôme Cahuzac et la vérité
Blog de PJ : Bernadette Lafont (1938-2013), le 25 juillet 2013
Blog de PJ : Bloguer dans deux langues, le 29 avril 2007
Le nom qui ne me revient pas, c’est : Pauline Lafont ; l’expression qui ne me revient pas, c’est : langues romanes. … Lire la suite…
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La maman et la putain , par Jeanne Favret-Saada
Billet invité.
J’ai revu il y a quelques semaines La maman et la putain (1973) de Jean Eustache. Quelle claque ! Bernadette Lafont apportait une générosité personnelle, toujours profondément engagée, à la libération sexuelle. Cet état d’esprit était rare dans les pratiques de l’époque, et ensuite, il a été carrément absent. J’ai appris avec surprise qu’elle était franchement plus jeune que moi : elle a été pour moi un idéal de ce qu’il faudrait être dans la libération « culturelle » de l’époque, un mélange de bonhomie et de générosité.
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BERNADETTE LAFONT (1938 – 2013)
Un 25 juillet, un jour un peu inattendu pour avoir une actualité qui se bouscule.
Elle nous a tant fait rire et tant fait… Ah ! une belle fille comme elle !