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L’explication du prix par le rapport de force (VI) En quoi mon approche du prix diffère de celle des économistes
L’explication du prix par le rapport de force est ouvert aux commentaires.
(I) Quand plusieurs mécanismes se greffent les uns sur les autres
(II) Keynes et le double mécanisme de détermination du prix
(III) L’intervention du temps dans la détermination du prix
(IV) Le « prix » d’un emprunt ou d’une obligation (première partie)
(V) Le « prix » d’un emprunt ou d’une obligation (deuxième partie)Je signale que si certains éléments de l’explication que j’ai offerte dans les cinq sections précédentes sont connus de la théorie financière et si leur mécanisme est expliqué dans les manuels, le mécanisme global … Lire la suite…
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Keynes et le mystère du taux d’intérêt (VII) La préférence pour la liquidité
Nous avons vu que Keynes considère que la « préférence pour la liquidité » fixe le taux d’intérêt au niveau-seuil où il est également tentant pour un prêteur éventuel de prêter une somme ou de la conserver sous forme d’argent liquide. Ou, pour utiliser les notions que nous venons de voir à propos de l’argent, la préférence pour la liquidité, c’est la reconnaissance d’une transition entre l’argent en tant que réserve (l’argent en puissance) et en tant que moyen d’échange (l’argent en acte), dont, selon Keynes, le taux d’intérêt est la matérialisation au niveau précis où cette transition … Lire la suite…
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LES ENFANTS « BONS EN MATHS » QUI RESTERONT CEPENDANT SCEPTIQUES QUANT AUX MÉRITES DE CETTE BRANCHE DU SAVOIR
Être « bon en maths » a toujours été une qualité dont parents et éducateurs ont voulu maximiser le potentiel, si bien que tout enfant présentant cette disposition qui n’a pas fini mathématicien, physicien ou ingénieur, ne l’a dû qu’à sa détermination personnelle.
Telles furent les pressions que John Maynard Keynes dut lui aussi endurer. Pour lui, la maîtresse de toutes les formes de connaissance était la philosophie, dont l’une des qualités et non des moindres à ses yeux est sa résistance à toute tentative de restreindre le domaine de sa compétence. En 1901, alors que le jeune Maynard vient … Lire la suite…