John Lewis, les bras croisés, en 1965 à Selma, Alabama. Il aura le crâne fracturé par la police plus tard dans la journée.
Dion, en 2011, qui avait créé la chanson en 1968. Une surprise venant de la part de ce chanteur yé-yé (cf. ici).
John Lewis, les bras croisés, en 1965 à Selma, Alabama. Il aura le crâne fracturé par la police plus tard dans la journée.
Dion, en 2011, qui avait créé la chanson en 1968. Une surprise venant de la part de ce chanteur yé-yé (cf. ici).
1961 (I) : Joey Dee, Del Shannon, Elvis Presley, Roy Orbison, c’est ici. Ouvert aux commentaires.
Ray Charles : Hit the Road Jack!
Gary U.S. Bonds : Quarter to Three
Dion (di Mucci) : Runaround Sue
Chubby Checker : Let’s twist again
Comme je travaille en ce moment sur le moyen ou le long terme, je veux dire à préparer des chroniques ou des interventions dans les jours qui viennent (comme vous pouvez le voir : à Namur, Bruxelles ou Liège, sans compter une autre à Saint-Denis, que j’annoncerai dès que les informations seront en ligne), et que le climat général est celui que les Américains appellent « waiting for the other shoe to drop », à savoir qu’une catastrophe est sur le point d’avoir lieu sans qu’on sache exactement laquelle ni quand, si ce n’est que c’est très bientôt, je suis parti à la recherche d’une vidéo pour nous donner le moral.
Quoi de mieux que Dion di Mucci en octobre 1961, une année où les enfants des écoles apprenaient à se cacher sous leur banc dès qu’ils apercevraient l’éclair blanc d’une explosion thermo-nucléaire ?
La crise des missiles de Cuba, le passage à un millimètre de la Troisième guerre mondiale, ce serait exactement un an plus tard : en octobre 1962.
Mais rassurez-vous : ce n’est sans doute que partie remise, l’Homme est encore très très loin de tirer les leçons de l’histoire !