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Crises financières : pourquoi l’inéluctable retour du même ?
Un exercice intéressant aura lieu demain : je serai interrogé par la revue Savoir/Agir sur mon article intitulé La compréhension des crises financières et de leur répétition qui parut en juin 2008 dans le numéro 4 de la revue (pages 11–18). Je vous en avais proposé ici le texte complet, le 20 juin 2008.
« Juin 2008, pour la publication de l’article ? », me direz-vous, « n’est-ce pas en septembre, trois mois plus tard, que la crise a eu lieu ? » Si ! Les prophètes, voyez-vous, c’est comme ça ! Et jugez vous-même si, avec trois mois … Lire la suite…
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Bayrou, Ferrand, Goulard, etc. en France, Mayeur, Peraïta, etc. en Belgique
Ouvert aux commentaires.
Bayrou, Ferrand, Goulard, etc. en France, Mayeur, Peraïta, etc. en Belgique, pourquoi soudain tant d’affaires ? L’économiste américain John Kenneth Galbraith (1908 – 2006) connaissait la réponse.… Lire la suite…
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LE MONDE, « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés », jeudi 4 – vendredi 5 avril 2013
Le texte qui suit est plus long que celui qui paraît dans Le Monde. La raison en est que le format qui m’avait été communiqué dans la matinée était de 6 500 signes maximum. On me signalait en début d’après-midi qu’il serait en réalité de 5 200. C’est moi qui ai abrégé.
Sur le site du Monde : La crise accroît l’intolérance à la fraude fiscale des élites.
Quand Mme Lamblin, élue EELV de Paris, fut accusée de blanchiment d’argent sale, son avocat affirma en substance : « Beaucoup de bruit pour rien ! » parce qu’il n’y avait … Lire la suite…
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BFM Radio, lundi 31 mai à 10h46 – La faute à pas d’chance ou la faute à quelqu’un ?
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Je ne sais pas si vous avez remarqué comme moi, l’évolution insensible qui se fait dans les esprits dans la représentation que l’on se fait des causes premières de la crise. Au départ, je veux dire en 2007 ou en 2008, on a surtout été impressionné par sa soudaineté : le coup de tonnerre dans un ciel sans nuage. Il est vrai que ça n’avait pas été une bonne idée de faire signer des contrats de crédit au logement d’une trentaine pages, et rédigés en anglais, par des emprunteurs latino-américains. Il … Lire la suite…