Étiquette : Lawrence Summers

  • LE MONDE : « Amnistie financière », lundi 25 – mardi 26 novembre 2013

    Amnistie financière

    Dans un article daté du 12 novembre, intitulé : « Why Have No High Level Executives Been Prosecuted In Connection With The Financial Crisis ? », le juge américain Jed Rakoff pose la question de savoir pourquoi aucun banquier n’a été poursuivi à la suite de la crise des subprimes, huit cent d’entre eux l’ayant été, par exemple, dans le sillage de la crise des Savings and Loan, les caisses d’épargne américaines, au milieu des années 1990. Le juge Rakoff souligne qu’il y aura bientôt prescription pour les faits commis et rappelle que le rapport de la commission … Lire la suite…

  • MONSIEUR OBAMA, RÉVEILLEZ-VOUS : VOTRE PAYS FOUT LE CAMP !

    M. Obama s’apprête à annoncer que le candidat de son choix au poste de gouverneur de la Federal Reserve, la banque centrale américaine, est Mme Janet Yellen, qui sera le successeur à ce poste de Ben Bernanke, non renouvelé.

    Mais non M. Obama : le candidat de votre choix, c’était Larry Summers, l’homme qui pensait, quand il dirigeait l’université de Harvard, que s’il y a moins de femmes que d’hommes dans les carrières scientifiques, c’est en raison d’un problème lié à leur cerveau, l’homme qui préconisait, quand il était économiste en chef de la Banque Mondiale, de polluer de préférence … Lire la suite…

  • LAWRENCE SUMMERS RETIRE SA CANDIDATURE AU POSTE DE GOUVERNEUR DE LA FEDERAL RESERVE

    Une note en passant, il faudrait y revenir plus longuement, sur le retrait de sa candidature au poste de gouverneur de la Federal Reserve, par Lawrence Summers, symbole des pires errements des milieux financiers durant la dizaine d’années qui a précédé la crise : exécuteur du Glass-Steagall Act, saboteur de toute tentative de réglementation des produits dérivés, utilisant en plus des sarcasmes, l’intimidation contre ses adversaires, jouant la banque contre l’administration alors qu’il faisait partie de celle-ci. Sans compter bien entendu qu’il ait dû quitter l’Université de Harvard dont il était le président, non pas comme on le dit aujourd’hui … Lire la suite…

  • États-Unis : la fin de l’ère du semblant ?

    Ce texte est un « article presslib’ » (*)

    On ne manque pas depuis hier d’établir un lien entre le réveil inopiné d’Obama – accompagné de la montée au front de Paul Volcker, le prédécesseur d’Alan Greenspan à la tête de la Federal Reserve, et le désaveu cinglant du bilan de sa première année à la direction des affaires que constitue l’élection du candidat républicain Scott Brown aux sénatoriales partielles dans le Massachusetts.

    Mais il y a peut-être à ce sursaut, une autre raison : l’audition qui doit avoir lieu mercredi 27 devant une commission du Congrès américain, et devant … Lire la suite…